The myth of the rete mirabile in man

Summary A case is reported with narrowing of both of the carotid arteries in the neck extending to involve the vessels intracranially. A hypervascularized area surrounds the markedly attenuated carotid siphons. This condition was at first considered to be an example of the rete mirabile in man, but careful study disproved this view. The investigation and subsequent clarification of this fascinating mythological organ, as far as man is concerned, is reported. We have hoped by this report to make it clear why the use of the term rete mirabile, as has been practiced by many contemporary clinical workers, should be discontinued if only for the sake of accuracy. The collaterals between the external and internal carotid systems which have been observed in humans by angiography have no similarity either in gross anatomical characteristics, and certainly not in histological features, with the carotid rete which has been demonstrated so beautifully by Davis and Story, Daniel, Dawes and Pritchard and by Gillilan and Markesbery in sheep, cats, goats, oxen and pigs. The rete mirabile has never been dissected out in man, much less examined under the microscope, since it does not exist in the human. So, we would plead for the elimination of the term rete mirabile from use in clinical medicine until this structure of such fascinating personality and discreet structure in animals, has been demonstrated in man, not radiographically, but by gross anatomical and histological methods.

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Der Mythos des Rete mirabile beim Menschen

Zusammenfassung Die Verfasser besprechen ausführlich das Problem des Rete mirabile, das beim Menschen weder anatomisch noch histologisch nachgewiesen werden kann. Sie fordern, daß dieser Ausdruck in der klinischen Medizin nicht mehr verwandt wird.

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Le mythe du rete mirabile chez l'homme

Résumé Les auteurs rapportent un cas de rétrécissement des deux artères carotides au niveau du cou, rétrécissement tendant á s'étendre aux vaisseaux intracrâniens. Une zone hypervascularisée entoure les siphons carotidiens qui sont fortement rétrécis. Cette condition était initialement considérée comme exemple du rete mirabile chez l'homme, mais une étude attentive refuta ce point de vue. Les auteurs rapportent l'exploration et la clarification consécutive de cet organe mythologique fascinant en ce qui concerne l'homme. Ils espèrent par ce travail, expliquer l'emploi du terme rete mirabile par beaucoup de cliniciens contemporains et pourquoi il convient de l'abandonner ne serait-ce que pour des raisons d'exactitude. Les collatérales entre les systèmes carotidiens externe et interne observés chez l'homme par angiographie ne présentent aucune analogie ni du point de vue anatomique, ni certainement du point de vue histologique avec le rete carotidien si bien démontré par Davis et Story, Damil, Dawes et Pritchard et par Gillilan et Markesbery chez les moutons, les chats, les oies, les boeufs et les cochons. Le rete mirabile n'a jamais été disséqué chez l'homme, encore moins examiné au microscope, puisqu'il n'existe pas chez l'homme. Les auteurs désirent donc voir abandonner le terme de rete mirabile dans la médecine clinique jusqu'á ce qu'on ait réussi á démontrer chez l'homme l'existence de cette structure si currieuse et sie discrète chez l'animal et ceci, non par la radiologie, mais par des méthodes anatomiques et histologiques.