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Social relations and smoking behavior: Results from the first MONICA survey Augsburg
Authors:Ursula Härtel  Jutta Stieber and Ulrich Keil
Institution:(1) GSF-Medis-Institut, Neuherberg;(2) Ruhr-Universität Bochum, Deutschland
Abstract:Summary This study examines the relationship between various aspects of social relations and the prevalence of smoking, using data from the first MONICA Survey, Augsburg, FRG, 1984/85. Study population of the survey was a two-stage cluster sample of 5312 men and women aged 25 to 64. The response was 79.4%. The measurement of social relations included a modified form of the Syme/Berkman social network scale, as used in the Alameda County Study. Analyses were carried out separately for the total four-level social network index in relation to smoking, and for specific components of that index (marital status, contacts with friends and relatives, activities in informal groups). The results showed for both men and women, that there was a significant association between the social network index and the prevalence of smoking: the more social ties and contacts, the lower the percentage of smokers. The results from multiple logistic regression analyses indicated an effect of social relations on smoking, that is at least partly independent of age, gender and educational level. In general, the findings may contribute to a better understanding of lsquorisk groupsrsquo, and the possible pathways leading from social relations to health and disease.
Soziale Beziehungen und Rauchverhalten. Ergebnisse der ersten MONICA-Augsburg- Querschnittsstudie
Zusammenfassung Mit Daten der ersten MONICA-Querschnittsstudie Augsburg, 1984/ 85, wurden die Zusammenhänge zwischen verschiedenen Merkmalen des «sozialen Netzwerks» und dem individuellen Rauchverhalten untersucht. Die Studienpopulation umfasste 5312 Männer und Frauen einer zweistufigen Zufallsstichprobe im Alter zwischen 25 und 64 Jahren. Die Teilnahmerate betrug 79,4%. Die sozialen Beziehungen wurden in einem Fragebogen zum Selbstausfüllen mit Hilfe eines «Sozialen Netzwerk Indexes» (SNI) erfasst, der sowohl den Familienstand, die Kontakte zu Verwandten und engen Freunden als auch Aktivitäten in Gruppen und Vereinen beinhaltete. Die Ergebnisse zeigten für Männer und Frauen statistisch signifikante Zusammenhänge zwischen den Gesamtscores des SNI und der Prävalenz des Rauchens: Je mehr soziale Beziehungen und Kontakte, desto geringer war der Anteil Raucher. Die Analysen einzelner Komponenten des SNI ergaben: Es fanden sich keine konsistenten Zusammenhänge zwischen den Aktivitäten in Freizeitclubs und dem Rauchverhalten, jedoch zwischen familiären Beziehungen, Kontakten zu engen Freunden oder Verwandten und der Häufigkeit des Rauchens. Besonders auffallend war der hohe Anteil Raucher bei den geschiedenen oder getrenntlebenden Männern. 70% von ihnen waren Raucher im Vergleich zu 37% der verheirateten Männer. Die entsprechenden Anteile bei den Frauen waren 42% bzw. 22%. Die Ergebnisse der multiplen logistischen Regressionen zeigten einen Effekt der interpersonellen Beziehungen auf das Rauchverhalten, der unabhängig war von den Faktoren Alter, Geschlecht, Bildungsstand und (bei Frauen) von der Erwerbstätigkeit. Die Resultate könnten zu einer besseren Erklärung und Identifizierung von Risiko-Gruppen und damit zu einer erfolgreicheren Bekämpfung des Rauchens beitragen.

Rapports sociaux et consommation de la cigarette
Résumé Les relations entre les différentes propriétés du «réseau social» et les habitudes individuelles en ce qui concerne la consommation de la cigarette ont été examinées à l'aide des données d'une première étude transversale, faite en région augsbourgeoise, dans le cadre du projet MONICA. L'échantillon aléatoire, divisé en deux étapes, comportait une population de 5312 hommes et femmes âgés de 25 à 64 ans. 79,4% des personnes interrogées participaient à l'enquête. Le recensement des rapports sociaux s'effectuait au moyen d'un questionnaire individuel à «l'Index du Réseau Social» (IRS) qui englobait aussi bien les données sur l'état civil que les sujets relatifs aux contacts sociaux et familiaux. Les résultats ont montré qu'il y avait une correspondance significative entre les valeurs totales du IRS et la prévalence de la consommation de la cigarette. Plus une personne avait de contacts sociaux, moins elle fumait de cigarettes. L'analyse des divers composants du IRS révèle un manque de relations cohérentes entre les activités dans les clubs de loisirs et la consommation de la cigarette. Cependant, la correspondance entre les rapports de famille, les contacts avec amis et parents et la fréquence de la consommation du tabac s'avérait révélatrice. Particulièrement frappant était le taux élevé de fumeurs chez les hommes divorcés ou vivant séparés. 70% d'entre eux étaient fumeurs par rapport à 37% des hommes mariés. Le taux correspondant chez les femmes était de 42% resp. 22%. Les résultats de la régression logistique multiple signalaient un effet des relations interpersonnelles sur la consommation de la cigarette, un effet qui était indépendant des facteurs tels que l'âge, le sexe, le niveau d'instruction et (chez les femmes) des activités professionnelles. Ces résultats pourraient contribuer à une meilleure identification et caractérisation des groupes à risque, et par la suite à combattre d'une manière plus efficace la consommation de la cigarette.
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