Health care provision and surgical education in South Africa |
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Authors: | Sandie R. Thomson Ch.M. Lynne W. Baker M.Sc. |
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Affiliation: | (1) Department of General Surgery, University of Natal Medical School, Congella 4013, Durban, Natal, South Africa |
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Abstract: | Apartheid policies have led to inequalities in the delivery of health care and the training of surgeons in South Africa. The nation's population of 33 million is comprised of 73.6% Blacks, 14.8% Whites, 8.8% Coloureds, and 2.7% Asians. Only 17% of the population are covered by medical insurance (78% of Whites, 28% of Asians, 26% of Coloureds, 4% of Blacks) that funds the private sector which accounts for 46% of the nation's total health care expenditure of 9.2156 million rand. The remainder receive care from curative state hospital based services, which consume 77% of the public expenditure on health. Preventive and promotive health services account for 23%. only 3.2% of South Africa's gross national product is spent on health care provision for 80% of the population-well short of the World Health Organization's recommendation of 5.8%. This figure translates into a per capita expenditure of 138, 340, 356, and 597 rands for Blacks, Coloureds, Asians, and Whites, respectively. Eight medical schools produce just over 900 graduates per year, 80% of whom are white. The medium of instruction is English at five (Cape Town, Witwatersrand, Natal, MEDUNSA, and Transkei) and Afrikaans at three (Pretoria, Stellenbosch, and Bloemfontein). Natal and MEDUNSA are creations of apartheid and have graduated almost all the Black South African doctors, of whom only 15 are practicing surgeons. Many universities are cognizant that dramatic change is needed to redress such imbalances, and admission policies are changing. Schools are addressing the implications of admitting many more Black African students from less privileged educational backgrounds into their medical faculties. Only then will more nonwhite graduates emerge with excellent, well monitored specialist training in surgery, which until now has been the domain of mainly white doctors.
Resumen Las políticas del Apartheid han resultado en desigualdades en cuanto a la provisión de la atención de la salud y a la capacitación de los cirujanos en Sur Africa. La población del país está conformada por 74% de negros, 14% de blancos, 8% de color y 2% de asiáticos. Sólo el 17% de la población se halla cubierta por seguros médicos (78% blancos, 28% asiáticos, 26% de color, 4% negros) que financian el 46% del total del gasto nacional en atención de la salud, 9.215,6 millones de rand. El resto recibe atención por parte de servicios con base en hospitales que consumen 77% del gasto público en salud. Los servicios de promoción y prevención de la salud representan el 23% del gasto. Sólo 3.2% del GNB de Sur Africa se emplea en la provisión de servicios de salud para el 80% de la población, una cifra muy inferior al 5.8% que recomienda la Organización Múndial de la Salud. Esto se traduce en un gasto per cápita de 180, 340, 356 y 597 rands para los negros, de color, asiáticos y blancos, respectivamente.Ocho facultades de medicina producen algo más de 900 graduados anualmente, 80% de los cuales son blancos. El idioma de la instrucción es el inglés en cinco de ellas (Ciudad del Cabo, Witwatersrand, Natal, MEDUNSA y Transkrei) y el Afrikaan en tres (Pretoria, Stellenbosch y Bloemfontein). Natal y MEDUNSA, como creaciones de apartheid, gradúan casi exclusivamente doctores sur africanos negros, de los cuales solamente 15 son cirujanos en ejercicio.Muchas universidades son conscientes de que se requiere un cambio dramático para corregir tales desequilibrios, y ya las políticas de admisión están en proceso de modificación. Las facultades de medicina se ocupan de estudiar las implicaciones de recibir un número muy superior de estudiantes negros y africanos provenientes de los sectores menos privilegiados. Sólo entonces lograrán muchos de los graduados no blancos ascender a excelentes programas de adiestramiento especializado en cirugía, los cuales hasta ahora han sido monopolio predominante de los doctores blancos.
Résumé La politique de l'arparthéid a considérablement influencé l'administration des soins et l'enseignement des chirurgiens en Afrique du Sud. La population de la nation est de 33 millions d'habitants, dont 74% sont noirs, 14% sont blancs, 8% de peau rouge et 2% sont des asiatiques. Seulement 17% de la population a une couverture médicale (78% sont des Blancs, 28% sont des Asiatiques, 26% sont des peaux rouges, 4% sont des noirs), assurée par une contribution de fonds privés qui correspond à 46% du total des coûts de la nation, et qui s'élève à quelques 9215.6 millions de rands. Le restant de la population reçoit des soins dans les hôpitaux de l'état qui sont responsbles de 77% des dépenses de santé de la nation. Les services de santé préventifs et éducatifs dépensent 23% des fonds. Seulement 3.2% du produit national brut de l'Afrique du Sud est dépensé pour soigner 80% de la population, bien moins que les 5.8% recommandés par l'O.M.S. Ceci veut dire que les dépenses par habitant sont respectivement de 138, 340, 356, et 597 pour les Noirs, les Rouges, le Asiatiques et les Blancs. Huit écoles de Médecine sont responsables de la formation de 900 diplômés par an, parmi lesquels 80% sont blancs. L'enseignement est fait en Anglais dans cinq écoles (Cape, Witwatesrand, Natal, MEDUNSA et Transkei) et en Afrikaans dans trois (Pretoria, Stellenbosch, et Bloemfontein). Les écoles de Natal et MEDUNSA sont des créations de l'Apartheid et fournissent pratiquement tous les diplômés en médecine noirs. Parmi ceux-là, seulement 15 sont des chirurgiens qui exercent réellement leur métier. La plupart des universités sont conscients qu'il faut réviser cette politique et des changements sont en train de se faire. Plusieurs écoles de médecine étudient acketuellement comment elles peuvent recevoir d'avantage d'étudiants noirs provenant des milieux moins favorisés. A ce monment-là, seulement, verra-t-on sans doute d'avantage de diplômés non blancs provement des écoles de chirurgie dont les enseignants sont reconnus comme spécialistes, postes jusqu'à maintenant reservés aux seuls médecins blancs. |
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