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Attitudes of Czech and Slovak gynecologists toward family planning
Authors:A Ph Visser  R Uzel  E Ketting  N Bruyniks  B J Oddens
Institution:(1) International Health Foundation, Brussels, Belgium;(2) Institute of Mother and Child Health Care, Prague, Czech Republic;(3) Netherlands Institute of Social Sexological Research (NISSO), Utrecht, The Netherlands;(4) Rosmalen, The Netherlands
Abstract:A survey was held among 155 gynecologists of the former Czech and Slovak Federal Republic (CSFR) who visited a national gynecological congress. The sample was fairly comparable to the total group of Czech and Slovak gynecologists concerning sex, age and county. Questions were asked on personal and professional characteristics, experience with the provision of contraception, attitudes toward family planning and knowledge about contraception. Almost all gynecologists rejected abortion as a birth control method and mentioned the lack of sex education, non-use of contraception and the widespread use of traditional contraceptive methods as main reasons for the high prevalence of abortion. About 60% of the physicians thought that at least some women would rather have an abortion than use contraception. According to the physicians, special family planning services should be developed and delivered by gynecologists. Opinions on proper services for teenagers varied. Only a few physicians felt that patients should pay the full price of contraceptives. Physicians' knowledge about the pill was found to be insufficient. The physicians overestimated the knowledge of their female patients about the pill. Apart from books and journals, colleagues and pharmaceutical firms were reported as important information sources. Overall, the present survey showed that introduction of well structured pre- and postgraduate courses in family planning should be encouraged.
Resumen Se realizó un estudio entre 155 ginecólogos de la antigua República Federal Checa y Eslovaca que asistieron a un congreso nacional de ginecología. La muestra fue comparable en general con el grupo total de ginecólogos checos y eslovacos en cuanto a sexo, edad y región. Se formularon preguntas relativas a características personales y profesionales, experiencia en la provisión de anticonceptivos, actitudes relativas a la planificación familiar y conocimientos del uso de anticonceptivos. Casi todos los ginecólogos rechazaban el aborto como método de control de la natalidad y mencionaban la falta de educación sexual, el no uso de anticonceptivos y la utilización difundida de los métodos anticonceptivos tradicionales como motivos principales del gran predominio del aborto. Alrededor del 60% de los médicos consideraban que al menos algunas mujeres preferían tener un aborto a utilizar anticonceptivos. Según los médicos, debían desarrollarse servicios especiales de planificación familiar, proporcionados por ginecólogos. Había divergencia de opiniones en cuanto a servicios apropiados para adolescentes. Muy pocos médicos consideraban que las pacientes debían pagar el precio completo de los anticonceptivos. Se observó que el conocimiento de los médicos acerca de la píldora era insuficiente. Los médicos sobrestimaban el conocimiento de sus pacientes de sexo femenino acerca de la píldora. Aparte de libros y publicaciones, se citaba a colegas y compañías farmacéuticas como fuentes importantes de información. En general, este estudio señaló que debía fomentarse la introducción de cursos de planificación familiar bien estructurados para estudiantes y para diplomados.

Resumé Une enquête a été menée auprès de 155 gynécologues de l'ancienne République tchèque et slovaque lors d'un congrès national de gynécologie. L'échantillon était assez représentatif de l'ensemble des gynécologues tchèques et slovaques du point de vue de leur sexe, âge et origine. Des questions leur ont été posées au sujet de leurs particularités personnelles et professionnelles, leur expérience en tant que pourvoyeurs de moyens contraceptif, leurs attitudes â l'égard du planning familial et leurs connaissances sur la contraception. Ils ont presque tous exclu l'avortement en tant que mesure de régulation des naissances et imputé la fréquence considérable des avortements principalement au manque d'éducation sexuelle, â la non utilisation des contraceptifs et â l'application généralisée des méthodes traditionnelles de contraception. Environ 60% des médecins ont estimé que certaines femmes au moins préféreraient un avortement âl'utilisation de contraceptifs. Selon les médecins, il faudrait développer des services de planning familial spéciaux et les placer sous la responsabilité de gynécologues. Quant aux services spécialement destinés aux adolescents, les avis étaient partagés. Peu de médecins seulement pensaient que les patientes devraient prendre en charge la totalité des coûts de la contraception. Les connaissances des médecins au sujet de la pilule se sont avérées insuffisantes; ils surestimaient les connaissances des patientes â cet égard. En dehors des livres et des journaux, les collègues et les sociétés pharmaceutiques étaient des sources d'information importantes. Dans l'ensemble, cette enquête a montré qu'il y aurait lieu d'encourager la mise en place de cours bien structurés de planning familial au niveau pré et post-universitaire.
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