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1.
目的:探讨脑电地形图在精神性疾病中的应用价值。方法:106例精神性疾病患者进行了脑电地形图检查,并进行了分析。同时,进行了脑CT检查,并进行了对比。结果:精神性疾患者的脑电地形图有明显的改变。结论:脑电地形图在精神性疾病中有重要应用价值。  相似文献   

2.
目的:探讨脑电地形图在脑梗死中的应用价值。方法:在43例脑梗死患者中,进行了脑电地形图和脑CT检查,并进行了对比。结果:脑电地形图和脑CT的改变是一致的,但脑电地形图改变早于脑CT。结论:脑电地形图在脑梗死患者中有重要的应用价值。  相似文献   

3.
目的:探讨脑电地形图在血管性痴呆中的应用价值。方法:56例血管性痴呆患者进行了脑电地形图检查,并进行了分析,同时进行了脑CT的检查。结果:血管性痴呆患者的脑电地形图有较明显改变。结论:脑电地形图在血管性痴呆中有重要应用价值。  相似文献   

4.
目的:探讨脑电地形图在脑瘤疗效判断上的应用价值.方法:通过对30例脑瘤治疗前后脑电地形图改变进行对比研究.结果:脑电地形图在治疗前后有明显改变.结论:脑电地形图可以作为脑瘤疗效评价的一个有价值的指标.  相似文献   

5.
为了进行国际交流,本刊除刊登一些英文稿件外,从本期开始也将刊登些其他外文稿件,如法文或日文稿等。本期刊登一篇法文稿,供大家参考。  相似文献   

6.
目的:探讨脑电地形图在脑瘤疗效判断上的应用价值。方法:通过对30例脑瘤治疗 前后脑电地形图改变进行对比研究。结果:脑电地形图在治疗前后有明显改变。结论:脑电地形图 可以作为脑瘤疗效评价的一个有价值的指标。Objectif: De explorer valeure appliq6e de encephale adas dan evaluation de effet cur atif de tumeur cerebral. Methode: Etude comparative de encephale adas de 30 malades avec tumeur cerebral avant et apr6s traitement est realise. Resultat: Encephale adas est change manifestement avant et apres traitement. Conclusion: Encephale adas est un index valable de jugement de effet curatif dans tumeur cerebral.  相似文献   

7.
目的:探讨脑电地形图在神经衰弱患者中的应用价值。方法:90例神经衰弱患者进行了脑电地形图和脑CT检查,并进行了对比观察。结果:神经衰弱患者的脑电地形图有较明显的改变。结论:脑电地形图在神经衰弱患者中有重要应用价值。  相似文献   

8.
Summary To obtain baseline standards of normal age-related development of the sphenoid sinus during childhood magnetic resonance images of the sphenoid sinus in 401 patients less than 15 years old were reviewed. T1-weighted sagittal and T2-weighted axial scans were evaluated for bone marrow conversion, development of pneumatization, spatial enlargement and septation of the sphenoid sinus. The sphenoid sinus had a uniformely low signal intensity (red bone marrow) on T1-weighted images in all children less than 4 months old. Signal intensity changes from hypo- to hyperintense (bone marrow conversion) started at age of 4 months. Onset of pneumatization was observed in 12% of the patients at age 13–15 months. By age 43–48 months, 85% of the patients showed pneumatization of the anterior part of the sphenoid bone. Pneumatization was complete in all patients older than 10 years. Enlargement of the sinus showed a characteristic profile in each dimension. Median septation was observed irregularly with age, with a maximum of 77%. Septum variants were noticed between 4.5% and 20%. The recognition of this phenomenon may serve as a reference for evaluating normal and abnormal development of the sphenoid sinus and may be of great value for diagnostic and therapeutic management of pathologic conditions of the child's sphenoid sinus and its surrounds.
Le sinus sphénoïdal pendant l'enfance : aspects en IRM du developpement normal
Résumé Afin de démontrer les aspects fondamentaux du développement du sinus sphénoïdal pendant l'enfance, nous avons revu l'aspect en IRM du sinus sphénoïdal de 401 patients agés de moins de 15 ans. L'étude de la moelle osseuse, le développement de la pneumatisation, la croissance et le cloisonnement du sinus sphénoïdal ont été explorés en séquences pondérées en T1 et en T2. Le sinus sphénoïdal se présente, en séquence pondérée en T1, avec un signal faible et uniforme (moelle osseuse rouge) chez tous les enfants agés de moins de 4 mois. Ce signal hypo-intense devient hyper-intense (transformation de la moelle osseuse) à partir du 4 ème mois. Le début de la pneumatisation est noté à 13–15 mois. A l'âge de 43–48 mois, la partie antérieure du sinus sphénoïdal est pneumatisée chez 85 % des enfants. La pneumatisation est complète chez tous les patients agés de plus de 10 ans. La croissance dans chaque direction de l'espace est caractéristique. L'apparition d'un septum médian est observée à une fréquence variable par tranche d'âge, avec un maximum de 77 %. Les variations existent dans 4,5 % à 20 % des cas. La connaissance de ce phénomène peut servir de référence pour évaluer le développement normal et anormal du sinus sphénoïdal et être d'un grand intérêt dans le diagnostic et le traitement des affections du sinus sphénoïdal et des régions voisines chez l'enfant.
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9.
Cardiac sympathetic denervation for intractable angina pectoris in patients unsuitable for conventional revascularization is currently gaining popularity since this procedure may be performed via minimally invasive surgery. A thorough understanding of cardiac innervation and its variations is crucial to successfully effect cardiac denervation. This study aimed to demonstrate the cervical and thoracic sympathetic contributions to the cardiac plexus. The cervical and thoracic sympathetic trunks in 21 fetuses and eight adults were micro-dissected bilaterally and documented (n=58 sides). The superior cervical cardiac ramus originated from the superior cervical ganglion (present in all specimens) in 53% of cases. The middle cervical ganglion (incidence 81%) gave rise to the middle cervical cardiac ramus in 88% of cases. The cervico-thoracic ganglion (incidence 85%) gave the cervico-thoracic cardiac ramus in 84%. In the thoracic region, four cardiac rami arose from the T2–T6 segment of the thoracic sympathetic trunk. All cervical and thoracic cardiac rami were traced consistently to the deep cardiac plexus. Khogali et al.'s (1999) success of limited T2–T4 sympathectomy in relieving pain at rest of patients with intractable angina pectoris appears to indicate that a significant afferent pain pathway from the heart is selectively interrupted. The variability in pattern of the cervical ganglia, cardiac rami and cervical contributions to the cardiac plexus does not appear to affect the outcome of limited sympathectomy. The complexity of cardiac pain pathways is not fully understood. The study is continuing and attempts to contribute to defining these cardiac neuronal pathways.

Electronic Supplementary Material The french version of this article is available in the form of electronic supplementary material and can be obtained by using the Springer Link server located at .
Contribution sympathique au plexus cardiaque
Résumé La dénervation sympathique cardiaque pour angine de poitrine réfractaire chez les patients ne pouvant bénéficier d'une revascularisation conventionnelle est en train de connaître un regain de popularité depuis que cette technique peut être réalisée en chirurgie minimalement invasive. Une compréhension approfondie de l'innervation cardiaque et de ses variations est cruciale pour réaliser une dénervation cardiaque réussie. Cette étude avait pour but de démontrer les contributions sympathiques cervicale et thoracique au plexus cardiaque. Une microdissection bilatérale des troncs sympathiques cervico-thoraciques de 21 ftus et de 8 adultes a été réalisée sous microscope et documentée (n=58 côtés). Le rameau cardiaque cervical supérieur naissait du ganglion cervical supérieur (présent dans tous les cas) dans 53% des cas. Le ganglion cervical moyen (présent dans 81%) donnait naissance au rameau cardiaque cervical moyen dans 88% des cas. Le ganglion cervico-thoracique (fréquence 85%) donnait naissance au rameau cardiaque cervico-thoracique dans 84% des cas. Dans la région thoracique, 4 rameaux cardiaques naissaient du segment T2–T6 du tronc sympathique cervical. Tous les rameaux cardiaques cervicaux et thoraciques étaient suivis jusqu'au plexus cardiaque profond. Les succès enregistrés par Khogali et al. avec une sympathectomie limitée à T2–T4 pour la sédation de la douleur au repos des patients présentant une angine de poitrine réfractaire, semblent indiquer qu'une importante voie afférente de la douleur du cur est interrompue de façon sélective. La variabilité dans l'organisation des ganglions cervicaux, des rameaux cardiaques et des contributions du plexus cervical au plexus cardiaque ne semble pas avoir d'impact sur le résultat de la sympathectomie limitée. La complexité des voies de la douleur cardiaque n'est pas complètement comprise. L'étude est à poursuivre et vise à contribuer à définir les voies nerveuses du cur.

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10.
Summary The attachment point of the transverse lig. of the atlas was investigated in a series of 234 human skeletons of different ages and 42 cadaver dissections. This attachment point was found to be a bony bump at the lateral mass of the atlas which we called thecolliculus atlantis. These findings were confirmed by a retrospective study of more than 20.000 radiographs of the cervical spine. Furthermore, the study showed that thecolliculus atlantis is developed by age 13 at the latest and that it is visible in the open-mouth view radiograph. The rare absence of thecolliculus atlantis in the adult was found to be associated with lack of tension in the transverse lig. and thus at its attachment points due to dysfunction of the craniocervical joints. This dysfunction may be congenital (e.g. Morquio's syndrome, Kniest's syndrome) or acquired before age ten (e.g. trauma). In conclusion, the attachment point of the transverse lig. was found to be a product of normal function of the craniocervial junction and changes in the morphology and site of thecolliculus atlantis in certain inflammatory processes (e.g. juvenile chronic polyarthritis, salmonellar spondylitis) or injuries (Jefferson's fracture) allow an early diagnosis followed by an early adequate therapeutic procedure
Intérêt radio-anatomique ducolliculus atlantis
Résumé La zone d'insertion du lig. transverse de l'atlas a été étudiée sur une série de 234 squelettes humains d'âges différents et de 42 dissections cadavériques. Nous avons constaté que ce point d'ancrage correspond à un relief osseux de la masse latérale de l'atlas, que nous avons baptisé lecolliculus atlantis. Ces données sont appuyées par l'étude en pratique clinique de plus de 20 000 examens radiographiques du rachis cervical. Notre étude a montré que lecolliculus atlantis est développé au plus tard à l'âge de 13 ans, et qu'il est visible sur un cliché radiographique en incidence bouche ouverte. L'absence ducolliculus atlantis chez l'adulte s'est montrée rare et alors associée à un défaut de tension du lig. transverse et rapport avec sa zone d'insertion par un dysfonctionnement de la jonction crânio-cervicale. Ce dysfonctionnement peut être congénital (syndrome de Morquio, de Kniest) ou acquis avant l'âge de 10 ans (traumatisme). En conclusion, la zone d'insertion du lig. transverse de l'atlas résulte d'un fonctionnement normal de la jonction crâniocervicale, et des modifications de la morphologie ou de la situation ducolliculus atlantis dans certains processus inflammatoires (polyarthrite chronique juvénile, spondylite à salmonelles) ou traumatiques (fracture de Jefferson) permettent un diagnostic précoce, qui autorise une prise en charge thérapeutique également précoce et adaptée.
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11.
Background: Tribal communities in India constitute a major part of the population and are vulnerable to many erythrocytic hereditary and haematological disorders such as haemoglobinopathies. Genetic studies so far undertaken on tribal groups are scanty, patchy and incomplete. No field-based systematic studies of hereditary haemolytic disorders in Orissa are available. Further, the extent of haemoglobin variants among the tribals in the state is not known. The present study was carried out in the Bhuyan and Kharia tribes of Sundargarh district in Orissa.

Aim: This study aims to find the prevalence/spectrum of haemoglobin variants in two major tribal groups, namely Bhuyan and Kharia and their subgroups, inhabiting the Sundargarh district in north-western Orissa.

Subjects and methods: Following the probability proportionate to size cluster sampling procedure for villages, a randomized sampling procedure was adopted irrespective of the age, sex and individual susceptibility pattern, selecting exclusive villages of each sub-group of tribes in five blocks. A total of 1603 blood samples of 836 Bhuyan and 767 Kharia tribals were screened for haemoglobin variants in the Sundargarh district of Orissa. Laboratory analyses of blood samples were carried out following standard procedures.

Results: The study showed a high prevalence of haemoglobin variants in the Bhuyan (9.8%) and Kharia (13.3%) tribes, sickle-cell disorders contributing 2.4% and 5.6%, respectively. The sickle-cell gene was found to be completely absent in the Dudh Kharia tribe, whereas the frequency in the Dhelki Kharia was quite high (12.5%). For the first time, 1.4% prevalence of haemoglobin E disorders (10 traits and one disease case) was recorded in a tribal population, i.e. Delki Kharia in Orissa. No other haemoglobin variant except β-thalassaemia trait was detected in the Dudh Kharia tribe (8.1%), showing their genetic isolation (p<0.001) from the Delki Kharia (4.1%), the average being 6.3% in the Kharia tribe. Out of three subgroups of Bhuyan studied, the sickle-cell trait was detected only in Paraja (0.9%) and Paik (7.4%), and not in Paudi (Hill) Bhuyans. However, the β-thalassaemia trait was detected in an average 6.5% in the Bhuyan tribe: in Paudi (2.1%), Paik (7.8%) and in Paraja (12.7%). For the first time in the tribes of Orissa a family was found with haemoglobin D trait (in Paik Bhuyan) and another with hereditary persistence of fetal haemoglobin (in Paraja Bhuyan). Clinical and haematological features of these disorders were similar to those reported in previous studies carried out in India.

Conclusion: Isolates of the Bhuyan and Kharia tribes show intra-group variations in prevalence of haemoglobin variants due to founder effect, genetic drift, and the practice of inbreeding in varied geographical and ecological niches in the Sundargarh district of Orissa.

Résumé. Arrière plan: Les communautés tribales de l’Inde forment la majeure part de sa population et sont vulnérables à de nombreuses affections érythrocytaires héréditaires ainsi qu’à des affections hématologiques telles que les hémoglobinopathies. Les études génétiques entreprises jusqu’alors sur des groupes tribaux sont rares, parcellaires et incomplètes. Aucune étude systématique des affections hémolytiques héréditaires fondée sur des données de terrain n’est disponible pour l’Orissa. De plus, l’étendue des variants de l’hémoglobine chez les membres de cette ethnie est inconnue. Le travail présenté a été effectué dans les tribus Bhuyan et Kharia du district de Sundargarh dans l’état de l’Orissa en Inde.

But: Cette étude cherche à définir la prévalence et le spectre des variants de l’hémoglobine dans deux groupes tribaux importants, Bhuyan et Kharia ainsi que dans leurs sous-groupes du district de Sundargarh dans la partie nord-ouest de l’Orissa.

Sujets et méthodes: On a adopté une procédure d’échantillonnage aléatoire définissant une probabilité proportionnelle à la taille des clusters villageois, indépendante de l’âge, du sexe et du profil de susceptibilité individuelle, en sélectionnant des villages exclusifs de chaque sous-groupe en cinq blocks. La recherche des variants de l’hémoglobine par les méthodes standard, a été effectuée sur un total de 1603 échantillons sanguins de 836 Bhuyan et 767 Kharia du district Sundargarh de l’Orissa.

Résultats: On trouve une forte prévalence de variants de l’hémoglobine dans les tribus Bhuyan (9,8%) et Kharia (13,3%), les sicklémies en représentant respectivement 2,4% et 5,6%. Le gène sicklémique est absent de la tribu Dudh Kharia alors que sa fréquence dans la tribu Dhelki Kharia est très élevée (12,5%). On a observé pour la première fois dans une population tribale (Dhelki Kharia) une prévalence de 1,4% des mutants de l’hémoglobine E (10 génotypes et un seul cas clinique). Aucune autre variante de l’hémoglobine à l’exception de la β-thalassaemia rencontré dans la tribu Dhudh Kharia (8,1%) n’a été trouvée, ce qui indique son isolement génétique (p<0,001) par rapport aux Dhelki Kharia (4,1%), la moyenne étant 6,3% chez les Kharia. Parmi les trois sous groupes Bhuyan étudiés, le trait drépanocytaire a été rencontré chez les Paraja (0,9%) et chez les Paik (7,4%) mais non chez les Paudi (petite montagne). Par contre le trait β-thalassémique est présent avec une moyenne de 6,5% chez les Bhuyan: (2,1%) chez les Paudi, (7,8%) chez les Paik et (12,7%) chez les Paraja. On a trouvé pour la première fois dans ces tribus de l’Orissa, une famille à hémoglobine D (chez des Paik Bhuyan) ainsi qu’une autre présentant une persistance héréditaire de l’hémoglobine foetale (chez les Paraja Bhuyan). Les caractéristiques cliniques et hématologiques de ces affections sont semblables à celles qui ont été décrites dans des études indiennes précédentes.

Conclusion: Les isolas des tribus Bhuyan et Kharia présentent des variations intra-groupes dans la prévalence des variants de l’hémoglobine provoqués par l’effet du fondateur et la dérive génique en association avec la pratique de mariages consanguins, dans diverses niches géographiques et écologiques du district de Sundargarh dans l’état indien de l’Orissa.

Zusammenfassung. Hintergrund: Stammesgemeinschaften in Indien stellen einen wesentlichen Teil der Bevölkerung und sind anfällig für zahlreiche erythrozytäre und hämatologische Erbkrankheiten wie z.B. Hämoglobinopathien. Bisher sind nur wenige genetische Untersuchungen in Stammesgemeinschaften durchgeführte worden. Systematische Feldstudien hämolytischer Erbkrankheiten gibt es in Orissa nicht. Zudem ist das Ausmaß an Hämoglobinvarianten bei Stämmen in diesem Bundesstaat nicht bekannt. Die vorliegende Studie wurde bei den Bhuyan und Kharia Stämmen des Sundargarhdistrikts von Orissa durchgeführt.

Ziel: Das Ziel dieser Studie ist, die Prävalenz/das Spektrum von Hämoglobinvarianten bei zwei größeren Stammesgruppen, insbesondere der Bhuyan und der Kharia und ihrer Untergruppen, die den Sundargarhdistrikt von Nordwest-Orissa bewohnen, zu bestimmen.

Probanden und Methoden: Gemäß der Wahrscheinlichkeit, die sich aufgrund von Größenverhältnissen bei Stichprobenerhebungen in Dörfern ergibt, wurde die Probandenerhebung randomisiert, unabhängig von Alter, Geschlecht und dem Muster an individueller Anfälligkeit, und es wurden ausschließlich Dörfer einer jeden Stammesuntergruppe in fünf Abschnitten gewählt. Insgesamt wurden 1603 Blutproben bei 836 Personen der Bhuyan- und bei 767 Personen der Kharia-Stämme auf Hämoglobinvarianten im Sundargarhdistrikt von Orissa untersucht. Die Laboruntersuchungen wurden nach Standardroutine durchgeführt.

Ergebnisse: Die Studie zeigte eine hohe Prävalenz an Hämoglobinvarianten bei den Bhuyan (9,8%) und bei den Kharia-Stämmen (13,3%), mit einem Anteil an Sichelzellerkrankungen von je 2,4%, bzw. 5,6%. Das Sichelzellgen fand sich überhaupt nicht bei Personen des Dudh Kharia-Stammes, während die Häufigkeit bei den Delki Kharia recht hoch war (12,5%). Zum ersten Mal wurde bei einer Stammesbevölkerung für eine Hämoglobin E-Erkrankung eine Prävalenz von 1,4% (10 Träger und eine manifeste Erkrankung) gezeigt, und zwar bei den Delki Kharia in Orissa. Abgesehen von der β-Thalassämie (8,1%) wurden weitere Hämoglobinvarianten bei den Dudh Karia nicht gefunden, was ihre genetische Isolation gegenüber den Delki Kharia (p<0,001) zeigt (4,1%), bei einer mittleren Häufigkeit von 6,3% bei den Kharia-Stämmen. Bei den drei untersuchten Untergruppen der Bhuyan wurden nur bei den Paraja (0,9%) und den Paik (7,4%), nicht aber bei den Paudi (Hill) Bhuyans Sichelzellträger gefunden. Allerdings wurden β-Thalassämieträger im Durchschnitt bei 6,5% der Personen des Bhuyan-Stammes gefunden, und zwar bei den Paudi (2,1%), den Paik (7,8%) und bei den Paraja (12,7%). Erstmals wurde bei den Stämmen in Orissa eine Familie mit Hämoglobin D gefunden (bei den Paik Bhuyan) und eine weitere mit genetischer Persistenz von fetalem Hämoglobin (bei den Paraja Bhuyan). Klinische und hämatologische Zeichen dieser Erkrankungen waren denen ähnlich, die in früheren Studien aus Indien bekannt geworden waren.

Zusammenfassung: Isolate der Bhuyan- und der Kharia-Stämme zeigen innerhalb der Gruppen Variationen der Prävalenz von Hämoglobinvarianten aufgrund von Gründereffekt, genetischer Drift und Inzucht in verschiedenen geographischen und ökologischen Nischen im Sundargarhdistrikt von Orissa.

Resumen. Antecedentes: En la India, las comunidades tribales constituyen una parte importante de la población y son vulnerables a muchos trastornos hematológicos y eritrocíticos hereditarios, como las hemoglobinopatías. Los estudios genéticos emprendidos hasta ahora sobre grupos tribales son escasos, poco uniformes e incompletos. No se dispone de estudios sistemáticos de campo sobre los trastornos hemolíticos hereditarios en Orissa. Además, se desconoce el número de variantes de la hemoglobina entre las tribus del estado. El presente estudio se realizó en las tribus Bhuyan y Kharia del distrito de Sundargarh, en Orissa.

Objetivo: Este estudio pretende encontrar la prevalencia/espectro de las variantes de la hemoglobina en dos grandes grupos tribales denominados Bhuyan y Kharia, y sus subgrupos, que residen en el distrito de Sundargarh, en el noroeste de Orissa.

Sujetos y Métodos: Para las aldeas, después de un procedimiento de muestreo de conglomerados, con probabilidades de inclusión proporcionales al tamaño, se adoptó un procedimiento de muestreo aleatorio independiente de la edad, sexo y patrón de susceptibilidad individual, seleccionando aldeas exclusivas de cada subgrupo de tribus en cinco bloques. Se analizó un total de 1603 muestras sanguíneas de 836 tribus Bhuyan y 767 tribus Kharia, con respecto a variantes de la hemoglobina en el distrito Sundargarh de Orissa. Los análisis de laboratorio de las muestras sanguíneas se realizaron siguiendo los procedimientos estándar.

Resultados: El estudio mostró una alta prevalencia de las variantes de la hemoglobina en las tribus Bhuyan (9,8%) y Kharia (13,3%), siendo la contribución de los trastornos de las células falciformes de un 2,4% y 5,6%, respectivamente. El gen de las células falciformes estaba completamente ausente en la tribu Dudh Kharia, mientras que su frecuencia en la tribu Dhelki Kharia era bastante alta (12,5%). Por primera vez se registró un 1,4% de prevalencia de trastornos de la hemoglobina E (10 rasgos y un caso de enfermedad) en una población tribal, la Delki Kharia en Orissa. No se detectó ninguna otra variante hemoglobínica, excepto el rasgo de la β-talasemia en la tribu Dudh Kharia (8,1%), mostrando su aislamiento genético (p<0,001) a partir de la Delki Kharia (4,1%), siendo el promedio en la tribu Kharia de un 6,3%. Fuera de los tres subgrupos de la tribu Bhuyan estudiados, el rasgo de las células falciformes se detectó únicamente en los Paraja (0,9%) y los Paik (7,4%), pero no en los Paudi (Hill) Bhuyans. Sin embargo, el rasgo de la β-talasemia se detectó en la tribu Bhuyan con un 6,5% de promedio: 2,1% en los Paudi, 7,8% en los Paik y 12,7% en los Paraja. Por primera vez en las tribus de Orissa se encontró una familia (en Paik Bhuyan) con el rasgo de la hemoglobina D y otra con una persistencia hereditaria de la hemoglobina fetal (en Paraja Bhuyan). Las características clínicas y hematológicas de estos trastornos eran similares a las señaladas en estudios previos realizados en la India.

Conclusión: Los aislados de las tribus Bhuyan y Kharia muestran variaciones intragrupales en la prevalencia de las variantes de la hemoglobina debidas al efecto fundador, a la deriva génica y a la práctica de la consanguinidad en nichos geográficos y ecológicos variados del distrito Sundargarh de Orissa.  相似文献   

12.
Background: Right–left discrepancies in normally symmetrical traits are assumed to result from inability of the individual to buffer environmental and genetic stresses. Fluctuating asymmetry (FA) may therefore signal the quality of an individual to potential mates, or to parents during early life. FA could signal the heritable ability to buffer stress—the ‘good genes’ hypothesis. Alternatively, FA could signal the degree of within-lifetime exposure to stress, in particular during specific sensitive periods of development—the ‘good development’ hypothesis.

Aim: We tested the hypotheses that FA at 9 years of age is positively related to (a) fetal growth rate, (b) early infant growth rate, and (c) total post-natal growth rate.

Methods: FA, weight and height were measured in a sample of 172 boys aged 9 years from Pelotas, Brazil, who had previous measurements of weight and height at birth and 6 months.

Results: Fetal growth was not related to FA, however FA was positively related to total weight gain after birth (p?p?=?0.075). Those currently obese had significantly greater FA than those non-obese (p?Conclusions: Our results support the ‘good development’ hypothesis, and suggest that growth rate during an early post-natal critical window, previously linked to numerous health outcomes, also has long-term effects on FA.

Résumé. Arrière plan:?On assume que les différences droite-gauche des traits normalement symétriques, sont le résultat de l’inaptitude des individus à amortir les stress environnementaux et génétiques. L’asymétrie fluctuante (AF) peut alors signaler la qualité d’un individu à des conjoints potentiels ou à ses parents tôt dans la vie. L’AF pourrait indiquer l’aptitude héréditaire à gérer les stress – l’hypothèse des «bons gènes». Par ailleurs, l’AF pourrait indiquer le degré d’exposition au stress dans le courant de la vie, en particulier au cours de périodes particulièrement sensibles du développement – l’hypothèse du «bon développement».

But:?On a testé l’hypothèse que l’AF à l’âge de neuf ans est positivement associée (a) au rythme de croissance foetale, (b) au rythme de croissance infantile et (c) au rythme de croissance post-natal.

Méthodes:?L’AF, le poids et la stature ont été mesurés dans un échantillon de 172 garçons de Pelotas (Brésil) âgés de 9 ans, dont le poids et la stature avaient été préalablement mesurés à la naissance et à 6 mois.

Résultats:?La croissance f?tale n’est pas associée à l’AF bien que l’AF soit positivement liée au gain de poids total après la naissance (p<0,05). Cette association pourrait en gros être attribuée au gain de poids au cours des six premiers mois de la vie post-natale (p<0,075). L’AF est significativement plus élevée chez les obèses que chez les non obèses (p<0,05).

Conclusion:?Nos résultats sont en faveur de l’hypothèse du «bon développement» et suggèrent que le rythme de la croissance au cours d’une fenêtre critique du début de la période post-natale qui a antérieurement été mise en rapport avec de nombreuses questions de santé, aurait également un effet à long terme sur l’AF.

Zusammenfassung. Hintergrund:?Es wird oft angenommen, dass Rechts-Links-Unterschiede bei normalerweise symmetrisch verteilten Merkmalen aus der Unfähigkeit des Individuums resultieren, umweltbedingte und genetische Belastungen abzufangen. Unterschiedliche Ausprägungen von Asymmetrie (fluktuierende Asymmetrie, FA) könnten daher als Ausdruck für die Güte eines Individuums in den Augen potentieller Lebenspartner oder – während früher Lebensabschnitte – der Eltern angesehen werden. FA könnte ein Zeichen für die erbliche Fähigkeit sein, Belastungen abzufangen—die Hypothese von den ‘guten Genen’. Andererseits könnte FA auch ein Zeichen für das Ausmaß von Belastungen sein, denen das Leben bisher ausgesetzt war, insbesondere während sensibler Entwicklungsphasen—die Hypothese von der ‘guten Entwicklung’.

Ziel:?Wir testeten die Hypothese, dass FA im Alter von 9 Jahren positiv mit (a) der fetalen Wachstumsrate, (b) mit der frühkindlichen Wachstumsrate, und (c) mit der gesamten postnatalen Wachstumsrate korreliert ist.

Methoden:?FA, Gewicht und Körperhöhe wurden in einer Stichprobe von 172 9-jährigen Knaben aus Pelotas, Brasilien, bestimmt, von denen frühere Messungen von Gewicht und Körperlänge bei Geburt und im Alter von 6 Monaten vorlagen.

Ergebnisse:?Fetales Wachstum war nicht mit FA korreliert, allerdings war FA positiv mit der Gewichtsentwicklung nach der Geburt korreliert (p<0,05). Diese Beziehung könnte großenteils dem Gewichtszuwachs der ersten 6 Lebensmonate zugeordnet werden (p?=?0,075). Diejenigen, die zum Zeitpunkt der Messung adipös waren, zeigten signifikant höhere FA als nicht-adipöse (p<0.05).

Zusammenfassung:?Unsere Ergebnisse stützen die Hypothese der ‘guten Entwicklung’, und legen nahe, dass die Wachstumsrate während eines frühen kritischen postnatalen Entwicklungsfensters, die schon früher mit zahlreichen Aspekten der gesundheitlichen Entwicklung in Beziehung gebracht wurde, auch einen Langzeiteffekt auf FA hat.

Resumen. Antecedentes:?Se asume que las discrepancias derecha-izquierda en los rasgos normalmente simétricos son el resultado de la incapacidad de los individuos para tamponar el estrés ambiental y genético. La asimetría fluctuante (AF) puede por lo tanto indicar la calidad de un individuo a los cónyuges potenciales, o a los padres durante las etapas tempranas de la vida. La AF podía indicar la capacidad hereditaria para tamponar el estrés – la hipótesis de los “buenos genes”. Como alternativa, la AF podría indicar el grado de exposición al estrés a lo largo de la vida, en particular durante periodos especialmente sensibles del desarrollo – la hipótesis del “buen desarrollo”.

Objetivo:?Comprobamos las hipótesis de que a los 9 años de edad la AF está positivamente relacionada con (a) la tasa de crecimiento fetal, (b) la tasa de crecimiento en la primera infancia, y (c) la tasa de crecimiento postnatal total.

Métodos:?Se midieron la AF, el peso y la talla en una muestra de 172 chicos de 9 años de edad, residentes en Pelotas, Brasil, a los que se les había medido previamente el peso y la talla al nacimiento a los 6 meses de edad.

Resultados:?El crecimiento fetal no estaba relacionado con la AF, sin embargo la AF estaba positivamente relacionada con el incremento total del peso después del nacimiento (p<0,05). Esta asociación podría atribuirse globalmente al incremento del peso en los 6 primeros meses de vida post-natal (p?=?0,075). Los niños actualmente obesos tenían una AF significativamente mayor que los no obesos (p<0,05).

Conclusiones:?Nuestros resultados apoyan la hipótesis del “buen desarrollo” y sugieren que la tasa de crecimiento durante una ventana crítica post-natal temprana, conectada previamente a los numerosos resultados de la salud, también tiene efectos a largo plazo en la AF  相似文献   

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