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1.
Zusammenfassung Der Vortrag versucht, dort einzusetzen, wo bisher die meisten Plädoyers für die Gesundheitserziehung geendet haben: im Aufzeigen ihrer Voraussetzungen, Fragwürdigkeiten und Aussichten. Im ersten Teil wird nach dem Begriffsinhalt von «gesund» und «krank» in der heutigen Gesellschaft gefragt; ein Krankheitsbild zeichnet sich ab, dessen Deutung nicht mehr der Biologie und Naturwissenschaft, sondern der Sozialwissenschaft obliegt. «Die heutige Medizin ist bestimmt durch die innige Verschränkung von Naturwissenschaft, Psychologie und Soziologie» (Hans Schaefer). Im zweiten Teil wird die Abgrenzung der Gesundheitserziehung zur Gesundheitspolitik skizziert, wobei wiederum die soziologische Natur des Menschen als Maßstab dient. Die Bekämpfung und Verhütung der Krankheiten ist bereits seit vielen Jahrzehnten in den industrialisierten Ländern nicht nur dem einzelnen, sondern auch der Öffentlichkeit zur Aufgabe gestellt. Gesundheitserziehung soll daher nicht zuletzt auch als Erziehung zur kollektiven, staatsbürgerlichen Willensbildung aufgefaßt werden im Hinblick auf jene Zweige der Gesundheitsvorsorge, die nur die Allgemeinheit bewältigen kann. Abschließend wird der institutionelle und didaktische Standort der Gesundheitserziehung innerhalb der gesamten Erziehung umrissen.
Résumé La conférence essaye de poursuivre à un point où, jusqu'à présent, se sont arrêtés tous les plaidoyers en faveur de l'éducation sanitaire: à la démonstration de ses conditions, ambiguïtés et perspectives.Dans la première partie l'auteur examine le contenu du terme «sain» et «malade» dans la société actuelle; il se dégage un genre de maladie dont l'interprétation n'incombe plus à la biologie et aux sciences naturelles mais aux sciences sociales. «La médecine actuelle est déterminée par la liaison étroite entre les sciences naturelles, la psychologie et la sociologie» (Hans Schaefer).La deuxième partie comporte un aperçu de la différentiation entre l'éducation sanitaire et la politique sanitaire en utilisant comme mesure la nature de l'homme. Depuis plusieurs siècles la tâche de la lutte contre les maladies ainsi que de leur prévention incombe dans les pays industrialisés non seulement à l'individu mais également au public tout entier. Le terme d'éducation sanitaire est donc aussi à entendre en tant qu'éducation en vue de la formation d'une volonté civique collective comprenant les branches de l'activité sanitaire que seule l'universalité d'un peuple peut accomplir.Dans la conclusion l'auteur esquisse la place institutionnelle et didactique que prend l'éducation sanitaire dans le cadre de l'éducation toute entière.
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2.
    
Zusammenfassung Unter Gesundheitsdienst der Lebensversicherung werden sowohl prophylaktische wie therapeutische Maßnahmen verstanden, die von den Gesellschaften den Versicherten seit der Jahrhundertwende in zunehmendem Maße gewährt werden. Während in Europa zuerst Vergünstigungen im Krankheitsfall in Frage kamen, hat das Vorgehen der amerikanischen Gesellschaften mit ihren unentgeltlichen periodischen Gesundenuntersuchungen auch in Europa den Gedanken der medizinischen Prophylaxe wesentlich gefördert.Nach dem Ersten Weltkrieg hat vor allem der von der VITA in Zürich eingerichtete Gesundheitsdienst zur Nachahmung bei mehreren schweizerischen und zahlreichen ausländischen Gesellschaften geführt. Die von der VITA gewährten periodischen ärztlichen Untersuchungen stützen sich auf die freie Arztwahl durch die Versicherten und die Wahrung des ärztlichen Berufsgeheimnisses. Ein periodisch den Versicherten zugestellterGutschein enthält die Aufforderung zur ärztlichen Untersuchung, dem in steigendem Maße bis zu 60 Prozent vor allem von den schweizerischen und belgischen Versicherten entsprochen wird. Die Benützung des Gutscheines wird noch durch eine regelmäßig erscheinende aufklärende Vierteljahresschrift unterstützt.Um auch auf therapeutischem Gebiet etwas zu leisten, wird von der VITA seit 20 Jahren ein Beitrag an lebenswichtige Operationen gewährt, der eine jährliche Operationshäufigkeit von 0,85 Prozent der Berechtigten ergibt.Wenn auch bei dem System der freien Arztwahl und der fehlenden ärztlichen Berichterstattung das Ergebnis der prophylaktischen Untersuchungen nicht festgehalten werden kann, so haben Sterblichkeitsmessungen bei den Untersuchten und Nichtuntersuchten ergeben, daß die Sterblichkeit der Untersuchten günstiger verläuft als die der Nichtuntersuchten. Die Sterblichkeitsverbesserung dürfte weitgehend die Kosten des unentgeltlich gewährten Gesundheitsdienstes kompensieren und damit der Gesellschaft und den Versicherten von Nutzen sein.
Résumé Par Service de santé en assurance-vie, on entend les mesures tant prophylactiques que thérapeutiques prises de manière toujours accrue depuis le début de ce siècle par les compagnies en faveur de leurs assurés. Alors qu'en Europe il s'agissait initialement d'avantages accordés en cas de maladie, le système des compagnies américaines prévoyant l'examen périodique et gratuit des bien portants a fortement contribué à répandre sur notre continent également l'idée de la médecine prophylactique.C'est, après la première guerre mondiale, le Service de santé institué par la « VITA » à Zurich qui servit principalement de modèle à de nombreuses compagnies suisses et étrangères. Les consultations médicales périodiques accordées par la « VITA » se caractérisent par le libre choix du médecin laissé à l'assuré et la sauvegarde du secret médical. Les assurés reçoivent périodiquementun bon les invitant à se rendre chez le médecin. Le pourcentage d'utilisation de ces bons n'a cessé d'augmenter pour atteindre 60% en Suisse et en Belgique. De plus, une revue trimestrielle indiquant comment vivre de façon saine et naturelle rappelle régulièrement aux assurés de faire usage de leur bon.Sur le plan thérapeutique également, la « VITA » a, voici 20 ans, introduit une prestation sous forme d'une allocation aux opérations d'importance vitale. La fréquence annuelle des opérations est de 0,85% des ayants droit.Bien que la compagnie n'ait pas connaissance du résultat des examens prophylactiques puisqu'elle laisse à l'assuré le libre choix du médecin et respecte le secret médical, les statistiques démontrent cependant que le cours de la mortalité est nettement plus favorable chez les assurés qui utilisent régulièrement leur bon. L'amélioration de la mortalité compense sans doute dans une large mesure les frais occasionnés par l'institution d'un Service de santé gratuit et s'avère ainsi être intéressante pour la compagnie comme pour les assurés.


Nach einem am 7. internationalen Kongreß für Lebensversicherungsmedizin am 18. Juni 1961 in Lissabon gehaltenen Vortrag.  相似文献   

3.
Résumé Dans le cadre d'une monographie comparée de deux villages du canton de Vaud effectuée par le Groupe de Recherche en Anthropologie de Lausanne, l'alimentation de 8 familles paysannes (50 personnes) et de 4 familles non paysannes (16 personnes) a été étudiée pendant la totalité de l'année 1962. Les aliments provenant du domaine (autoconsommation) représentent le 59,6 % des calories consommées par les familles paysannes. Le calcul économique de l'autoconsommation, d'après le prix de vente des produits, donne une valeur d'environ 32 %. La comparaison de ces deux chiffres montre que le calcul économique, tel qu'il est effectué dans les statistiques rurales, minimise l'autoconsommation réelle, au point de vue alimentaire.L'alimentation des familles paysannes couvre largement les besoins en calories et en éléments nutritionnels; elle est supérieure de 25 % aux normes, ce qui la situe parmi les plus riches des régions rurales étudiées en Suisse et en France. L'analyse détaillée montre qu'elle se rapproche davantage de l'alimentation urbaine que de l'alimentation paysanne traditionnelle qui comporte plus de céréales, de pommes de terre et moins de viande, de sucre et de fruits.Les familles non paysannes ont au contraire une alimentation inférieure de 19 % aux normes. De type «économique» cette alimentation tendrait, par certains aspects, à se rapprocher de l'ancienne alimentation paysanne traditionnelle.La question d'une suralimentation des familles paysannes (comme celle plus générale de la population des pays occidentaux) reste ouverte en l'absence de critères scientifiques précis de la suralimentation.
Zusammenfassung Im Rahmen einer vergleichenden Monographie von zwei Dörfern des Kantons Waadt, die von der Anthropologischen Forschungsgruppe in Lausanne durchgeführt wurde, hat man die Ernährung von 8 Bauernfamilien (50 Personen) und 4 Familien aus dem nicht landwirtschaftlichen Bereich (16 Personen) während des gesamten Jahres 1962 untersucht. Die aus dem Gut entnommenen Nahrungsmittel (Selbstverbrauch) stellen 59,6 % der Kalorien dar, die von den Bauernfamilien verbraucht wurden. Der wirtschaftliche Wert des Selbstverbrauchs, der sich nach dem Verkaufspreis der Podukte berechnet, beträgt ungefähr 32 %. Der Vergleich dieser beiden Ziffern zeigt, daß die ökonomische Berechnung, wie sie in den landwirtschaftlichen Statistiken gemacht wird, den eigentlichen Selbstverbrauch herabsetzt, was die Ernährung anbelangt.Die Ernährung der Bauernfamilien deckt reichlich die Bedürfnisse an Kalorien und nutritiven Elementen; sie überschreitet um 25 % die Normen, was sie unter die reichsten der untersuchten ländlichen Gebiete in der Schweiz und in Frankreich setzt. Die Einzelanalyse zeigt, daß sie sich mehr der städtischen Ernährung nähert, als der überlieferten bäuerlichen Ernährung die in mehr Getreide, Kartoffeln, doch weniger Fleisch, Zucker und Früchten besteht.Die Familien aus dem nicht landwirtschaftlichen Bereich haben dagegen eine Ernährung von 19 % unter den Normen. Grundsätzlich «sparsam», neigt diese Ernährung in gewisser Hinsicht gegen die alte, traditionelle Ernährung.Die Frage einer Überernährung der bäuerlichen Familien (wie diejenige der Bevölkerung der westlichen Länder im allgemeinen) bleibt unbeantwortet, da genaue wissenschaftliche Kriterien für die überreichliche Ernährung fehlen.
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4.
Zusammenfassung In dieser Arbeit wird der Standpunkt des Schularztes zum Thema der Psychohygiene des Schulkindes geschildert. Der Autor will das so häufige Schulversagen der heutigen Kinder dem Verständnis näherbringen und warnt vor leichtfertigen Diagnosen. Er ist als Schularzt überzeugt, daß heute ein effektives Überlastungsproblem bei vielen Schülern existiert. Die Schule sollte den Gesamtstoff ehrlich abbauen. Der Begriff der «Scholar disease» wird erneut aufgenommen, ein Begriff, welcher die so häufigen, weitgehend psychogenen Schulschwierigkeiten zusammenfassen und dem der «Manager disease» als praktische Einheit an die Seite stellen soll. Bei der heutigen veränderten Weltlage ist ein Schulversagen, wie wir es häufig erleben, nicht sonderlich überraschend. Die Welt hat sich viel mehr verändert, als man gerne zu sehen gewillt ist. Als Beweis dafür werden moderne Bilder herangezogen. Zu allem will die Schule auch nicht realisieren, daß ein Eindringen unbewußter Inhalte in unsere Kultur stattgefunden hat, die neben den exogenen Schädigungen häufig schwere Veränderungen zur Folge haben. Im weiteren kämpft der Verfasser gegen allen Zwang in der Schule, in dem er eines der großen Übel sieht, das so häufig intelligente Kinder zum Versagen bringt. Es werden mehrere Verbesserungsvorschläge für die heutige, sehr unbefriedigende Schul-Situation gemacht.
Résumé Ce travail décrit la place que tient le médecin scolaire face au problème de l'hygiène psychique de l'écolier. L'auteur tente de faire comprendre les difficultés scolaires si courantes aujourd'hui et met en garde des diagnostics faits à la légère. En tant que médecin scolaire, il est persuadé qu'il existe aujourd'hui, pour beaucoup d'enfants, un problème de surmenage. L'école devrait réduire sérieusement son programme. La définition de «scholar disease» doit être renouvelée, elle doit englober les difficultés scolaires d'origine psychique si répandues et se rapprocher de la «manager disease» en tant qu'unité pratique. En vue de la situation mondiale actuelle, les difficultés scolaires que nous rencontrons souvent ne sont pas surprenantes. Le monde a changé plus qu'on ne se l'imagine généralement. Preuve en soit la peinture moderne. L'école ne veut pas se rendre compte que des influences inconscientes ont envahi notre culture et que ces dernières, à côté d'autres préjudices extérieurs, entraînent de graves changements. Ensuite, l'auteur dénonce toutes les contraintes scolaires, dans lesquelles il voit la raison de l'impossibilité pour maints enfants intelligents de suivre les programmes. Il propose de nombreuses améliorations à l'actuelle situation scolaire insatisfaisante.


Vortrag an der 10. Zürcherischen Schulärztetagung und Herbsttagung der Gesellschaft Schweizerischer Schulärzte, 3. November 1960, Kinderklinik Zürich.  相似文献   

5.
Zusammenfassung Die Autoren haben 4615 Kinderunfälle über 5 Jahre hinweg (1955–1959) untersucht. Es wurde festgestellt, daß die Zahl der Unfälle von Jahr zu Jahr zunimmt. Fast 1/4 der Unfälle sind Verbrennungen, Vergiftungen und Straßenunfälle.Die Autoren betonen die große Häufigkeit von Heimunfällen. Mehr als die Hälfte der Unfälle sind in den Monaten Juni-September vorgekommen. Ein Teil der Verunfallten wurde nicht zeitig genug zur Behandlung eingeliefert.Es wurde ebenfalls eine Verteilung der Unfälle nach Geschlecht, Alter und Diagnose vorgenommen. Auf Grund dieser Tatsachen wird die Unfallverhütung behandelt und Maßnahmen vorgeschlagen.
Résumé Les auteurs ont analysé les données de 4615 accidents infantiles survenus pendant 5 ans (1955–1959). Ils ont constaté que le nombre des accidents augmente d'année en année. Presqu'un quart des cas est constitué par les brûlures, les intoxications et les accidents de la route. Les auteurs attirent l'attention sur les accidents «domestiques» particulièrement fréquents. Presque la moitié des accidents est survenue au cours des mois de juin à septembre. Une partie des accidentés ne fut pas hospitalisée à temps. Les auteurs examinent également la répartition des cas selon le sexe, l'âge et les diagnostics. Sur la base de leur enquête, ils proposent des mesures de prévention.
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6.
Zusammenfassung 1. Die Definition des Begriffes «außereheliche Mutterschaft» ist immer abhängig von einer bestimmten Gesellschaftsordnung und der gesetzlichen Regelung eines Landes.2. Die Häufigkeit der außerehelichen Geburten kann sich richten nach : der Häufigkeit der sexuellen Beziehungen vor und neben der Ehe, der Verbreitung des Wissens über die Empfängnisverhütung und den Möglichkeiten zur künstlichen Schwangerschaftsunterbrechung.3. Säuglingssterblichkeit und Frühgeburtlichkeit sind bei den außerehelichen Geburten signifikant höher als bei den ehelichen.4. Die Ursachen für die außereheliche Mutterschaft können sowohl in ungeordneten psychischen, sozialen oder familiären Verhältnissen als auch in weniger problemreichen «Äußerlichkeiten» (z. B. Fehlen von Verhütungsmitteln usw.) liegen, die nicht als Symptom einer fehlgesteuerten Persönlichkeitsentwicklung überbewertet werden sollen.5. Hilfeleistungen für die außereheliche Mutter sollten mitberücksichtigen, daß die Situation der außerehelichen Mutterschaft von vorübergehender Aktualität ist.
Résumé 1. La signification et l'importance de la maternité illégitime dépendent toujours des règles sociales et légales d'un pays.2. La fréquence des relations sexuelles hors du mariage, la connaissance des contraceptifs et les possibilités de les recevoir ainsi que la législation de l'avortement peuvent influencer le nombre des naissances illégitimes.3. La mortalité néonatale et infantile des enfants naturels est considérablement plus haute que celle des enfants légitimes; la même différence peut être constatée en comparant les naissances avant terme légitimes et illégitimes.4. La maternité illégitime peut être causée par des problèmes sociales, psychiques et familiales ou par plusieurs raisons plus simples et moins graves (manque de contraceptifs, etc.) n'étant pas toujours symptôme d'une personnalité perturbée.5. L'aide aux mères non mariées devrait toujours considérer l'actualité éphémère de cette situation.
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7.
    
Zusammenfassung Die Kinder erleiden während der Schulzeit nachweisbar zunehmenden Haltungsverfall. Inwieweit diese Schäden durch verändertes Schulmobiliar aufgehalten werden können, ist ungewiß. Systematisch vergleichende Untersuchungen liegen nicht vor. Es widersprechen sich die Forderung nach aktiver Muskelbetätigung, nach Bewegung, und die Forderung nach Anpassung des Gestühls um größerer Bequemlichkeit und Ruhe willen.Die Empfehlungen für die Dimensionierung von Schulgestühl weichen im wichtigsten Maß, der «Differenz» (Tischhöhe — Sitzhöhe), am stärksten voneinander ab. Unter der Voraussetzung verantwortungsbewußter Sorgfalt bei der Ausarbeitung von Empfehlungen ist das überraschend.Die Sitzflächen werden für eine Körper-«Haltung» ausgebildet, die nur selten eingenommen wird. Sie sind nicht bewegungsfördernd, da sie das Krummsitzen auslösen und die Wirbelsäule in eine extreme, die Gelenke sperrende Lage treiben. Die Muskeln und Bänder des Rückens werden dadurch überfordert.Der Gestaltung der Sitzfläche wird zu wenig Aufmerksamkeit gewidmet. Mediziner und Schulträger dürfen das nicht den Fabrikanten überlassen.
Résumé On a pu démontrer que la tenue des enfants se détériore peu à peu pendant les années d'école. On ignore dans quelle mesure des modifications du mobilier scolaire permettent d'arrêter cette évolution. Il n'existe pas de comparaisons systématiques à ce sujet.Il y a contradiction entre deux exigences, soit celle d'une plus grande activité musculaire et celle de l'adaptation des sièges dans le but du confort et de la tranquillité.Les dimensions recommandées pour le mobilier scolaire divergent dans un point essentiel, à savoir la différence en hauteur entre la table et le siège. Ceci est surprenant à condition que ces recommandations aient été élaborées soigneusement.La surface du siège est conçue pour une position du corps qui n'est que très rarement adoptée. Elle n'incite pas au mouvement et provoque une position extrême de la colonne vertébrale coinçant les joints. Il se produit un surmenage des muscles et des tendons dorsaux.L'attention généralement accordée à la surface du siège est insuffisante. Il est inadmissible que les médecins et les responsables des écoles abandonnent ce problème au fabricant.
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8.
Zusammenfassung Bei Kindern ist eine Zunahme von Vergiftungen festzustellen. Wegen der Verbesserung der therapeutischen Maßnahmen wirkt sich die zunehmende Morbidität nicht auf die Mortalität aus.In der Altersgruppe der Ein- bis Vierjährigen sind sowohl die Morbidität als auch die Mortalität am größten.Rund 50% der Vergiftungen von Kindern im Haushalt werden durch Arzneimittel, Reinigungs- und Lösungsmittel, ätzende Substanzen und andere Chemikalien verursacht. Unter den Arzneimitteln stehen die Schlaf- und Beruhigungsmittel an erster Stelle.Eine Befragung von 50 Zürcher Familien mit Kindern im Alter von 2–4 Jahren hat ergeben, daß die Mütter über die potentielle Vergiftungsgefahr zu wenig orientiert sind und sowohl Medikamente als auch giftige Chemikalien unzweckmäßig aufbewahren. Nur in 2 von 50 Familien konnten sich Kleinkinder keinen Zugang zu gefährlichen Substanzen verschaffen. Die als Aufbewahrungsorte von Medikamenten dienenden Hausapotheken und Kästchen sind leicht zu öffnen und leicht erreichbar. Ätzende und giftige Haushaltmittel liegen oft frei herum.Medikamentenkästchen mit Spezialschlössern und Medikamentenfläschchen mit Sicherheitsverschlüssen, die von Kleinkindern nicht geöffnet werden können, haben offenbar in der Schweiz noch keine Verbreitung gefunden.Als prophylaktische Maßnahmen werden unter anderen die Aufklärung durch alle zur Verfügung stehenden Medien, die Schaffung von Giftzentren und die Forschung im Hinblick auf den Ersatz hochtoxischer durch weniger giftige Substanzen genannt.
Résumé Les intoxications sont en augmentation chez les enfants. Mais grâce à l'amélioration des mesures thérapeutiques le taux de morbidité croissant n'influence pas le taux de mortalité.Environ 50% des intoxications de ménage qui surviennent chez les enfants sont dues à des médicaments, des produits de nettoyage, des solvants, des substances caustiques et d'autres produits chimiques. Parmi les médicaments ce sont les somnifères et les tranquillisants qui prennent la première place.Une enquête menée à Zurich auprès de 50 familles (ayant des enfants de 2 à 4 ans) a révélé que les mères sont trop mal renseignées sur les possibilités d'intoxication et qu'elles ne déposent pas les médicaments et les produits chimiques toxiques en lieux sûrs. Dans 2 familles sur 50 les enfants ne peuvent accéder à ces produits dangereux. Les étagères et armoires renfermant les médicaments sont faciles à atteindre et à ouvrir. Dans le ménage, les produits caustiques et toxiques se trouvent trop souvent à portée de main.Il semble que les armoires à médicaments avec fermeture spéciale et les flacons à médicaments avec fermeture de sécurité ne sont pas connus en Suisse.En tant que mesures prophylactiques l'auteur recommande entre autres l'instruction de la population par tous les moyens à disposition, la création de «centres toxiques» et la recherche en vue du remplacement des substances toxiques par d'autres moins toxiques.
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9.
    
Résumé A partir de 1964 une solution d'ensemble du problème de la pollution de l'air s'amorça et une loi-cadre dota les départements ministériels de pouvoirs efficaces.En particulier, dans le cadre du règlement général sur la police de la circulation routière, les efforts du Ministère des Communications portèrent sur la recherche des instruments et des méthodes de mesure et l'élaboration des dispositions réglementaires relatives aux dégagements de fumée des véhicules équipés d'un moteur diesel. L'opacimètre Hartridge et le fumimètre Bosch furent finalement retenus et, sur base des mesures effectuées par les organismes de contrôle technique, il fut procédé à l'établissement de normes. Exprimée en unité Hartridge, la limite autorisée en matière d'émission de fumées fut fixée à 75 pendant la période expérimentale; cette limite a été ramenée à 60 au ler janvier 1965 et sera fixée ultérieurement à 50.L'étude des corrélations et la mise au point des formules de conversion permettant l'utilisation d'autres appareils de mesure furent confiées aux universités belges.
Zusammenfassung Ab 1964 wurde mit der Gesamtlösung des Problems «Luftverunreinigung» begonnen, und ein Rahmengesetz verlieh den Ministerien die notwendigen Befugnisse.Insbesondere befaßte sich das Verkehrsministerium im Rahmen des Generalreglementes über die Straßenverkehrspolizei mit der Suche nach geeigneten Meßinstrumenten und -methoden und mit der Ausarbeitung von Verfügungen über die Abgase von Dieselfahrzeugen. Schließlich wurden der Trübungsmesser von Hartridge und das Bosch-Rauchmeßgerät ausgewählt, und auf Grund der von den technischen Kontrollinstanzen durchgeführten Messungen wurden Normen aufgestellt. Für die Versuchsperiode wurde die höchstzulässige Abgasmenge auf 75 Hartridge-Einheiten festgesetzt; dieser Wert wurde am 1. Januar 1965 auf 60 reduziert und soll später 50 erreichen.Die belgischen Universitäten wurden mit der Erforschung der wechselseitigen Beziehungen und mit der Errechnung von Umrechnungsformeln betraut, welche die Verwendung anderer Meßgeräte gestatten.
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10.
Zusammenfassung In der Frage der Höhenadaption in der Höhenlage von 1880 bis 3300 m wird versucht, anhand der Literatur und Erfahrung den gegenwärtigen Stand der Kenntnisse und Möglichkeiten in Kürze in bezug auf das Wesentliche zu schildern. Insbesondere werden die Aspekte für die Prophylaxe und Therapie von Zivilisations- und Adaptionskrankheiten auf dieser Höhe beleuchtet und auf die modernen Möglichkeiten hingewiesen, indem sie gewissermaßen als «taktische» Prophylaxe und Therapie empfohlen wird.Das Interesse richtet sich gleichzeitig auf die Probleme der Höhenphysiologie, die der Hochleistungssport wegen der kommenden Olympischen Spiele 1968 in Mexiko-City (2300 m) aufwirft. Im Mittelpunkt, hier wie dort, stehen die Probleme der Adaption, welche phasenweise abläuft. Die Hochleistungssportler müssen vor Mexiko höhenadaptiert werden, sollen sie keine Schädigungen in den sportlichen Wettkämpfen erfahren. Ihre Leistungsfähigkeit ist naturgemäß auf 2300 m, außer bei Kurzstrecken, Würfen usw., eingeschränkt zufolge der Hypoxie. Im Tiefland vermögen sie nach dem Höhentraining und Höhenaufenthalt ihre Leistungen zu steigern.Hier schließt sich der Kreis, hier liegt die Parallele des gleichen Zieles für den Kranken, den Prämorbiden und den Gesunden.
Résumé Dans la question de l'adaptation à l'altitude, à une hauteur de 1800 à 3300 m, l'on cherche, à l'aide de la littérature et de l'expérience, à décrire brièvement, dans ses lignes essentielles, le niveau actuel des connaissances et des possibilités. On met notamment en lumière les aspects relatifs à la prophylaxie et à la thérapeutique des maladies de la civilisation et de l'adaptation à cette hauteur et l'on mentionne les possibilités modernes en les recommandant en quelque sorte comme des moyens «tactiques» de prophylaxie et de thérapeutique.L'intérêt se porte simultanément sur les problèmes de la physiologie d'altitude qui prend de l'importance pour le sport de compétition à cause des prochains jeux olympiques de 1968 à Mexico-City (2300 m). Un peu partout, en effet, les problèmes de l'adaptation, qui s'accomplit phase par phase, y seront au point central. Les sportifs de performance doivent, avant Mexico, être adaptés à l'altitude, s'ils ne veulent pas subir des lésions dans les compétitions. Leur capacité fonctionnelle est naturellement limitée à 2300 m en dehors des trajets courts, du lancer, etc. par suite de l'hypoxémie. Dans les contrées basses, après l'entraînement et le séjour à l'altitude, ils peuvent améliorer leur capacité.C'est ici que se ferme le cercle, c'est ici que s'établit le parallèle d'un même but pour les malades, les prémorbides et les personnes en santé.


(z. B. des Engadins und auf 2250 m in Mexiko-City, dem Olympiaden-Ort von 1968)  相似文献   

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