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1.
The present investigation was performed in order to evaluate the pure-tone frequency and/or averages of frequencies best correlated with speech intelligibility measured by the discrimination score (DS) in quiet and in background noise, and, in addition, indicate a valid low fence of the DS when correlated to a self-assessment procedure. The material comprises 158 male subjects with a median age of 60 years, range 52-72 years, drawn from an ongoing longitudinal epidemiological investigation. By self-assessment 36% indicated hearing disability in noisy backgrounds, while 64% had no hearing problems. The pure-tone frequency that correlated best with the speech intelligibility in quiet was the 2-kHz pure-tone frequency. In background noise the best correlation was found with the 3–kHz pure-tone frequency. In the group of subjects with complaints of hearing problems, the median discrimination score in background noise was 84% (IQR 72-92), while in the group of subjects with no complaints the median discrimination score in noise was 92% (IQR 88-96). Based on the results it is concluded that DS in background noise is a valuable measure in the assessment of hearing disability, but no low fence value can be indicated on the basis of the present results.

Le présent projet de recherche fut réalisé en vue d'évaluer la fréquence de son pur et/ou la moyenne des fréquences qui reflètent le mieux l'intelligibilité de la parole mesurée par le score de discrimination dans le silence et dans le bruit, et qui en outre indiquent une limite inférieure valable du score de discrimination lorsqu'on établit une corrélation entre ces fréquences par un processus d'autoévaluation. L'échantillon est extrait d'une investigation épidémiologique longitudinale en cours de réalisation portant sur 158 sujets de sexe masculin, aˇges de 52 à 72 ans (moyenne = 60 ans). Il ressort de l'autoévaluation que 36% des sujets ont indiqué une gěne auditive en ambiance bruyante, alors que 64% des sujets n'ont pas fait état de problèmes auditifs. La fréquence tonale qui donnait le meilleur accord avec l'intelligibilité de la parole dans le silence fut la fréquence 2 kHz. Dans le bruit, la meilleure corrélation a été obtenue avec la fréquence 3 kHz. Dans le groupe de sujets qui font état de problèmes auditifs, le score moyen de discrimination dans le bruit se situe à 84% (IQR 72 à 92), alors que dans le groupe de sujets sans problèmes, le měme score est de 92% (IQR 88 à 96). Sur la base des résultats acquis, on conclut que le score de discrimination dans le bruit donne une mesure valable dans l'étude d'un trouble auditif, mais il n'est pas possible d'indiquer une limite inférieure à partir de ces résultats.  相似文献   

2.
The same 18 normally hearing students and 18 matched normal-sighted students, as in part I of this study, were compared in regard to pure-tone integration, speech discrimination ability and late cortical-evoked potentials. The blind subjects showed increased disinhibition (‘cleaning’) with broad-band noise and a decreased inhibition with the same stimulus at the contralateral ear, better speech discrimination, especially with regard to sentence tests without and with competing environment-simulating noise, and, by electric response audiometry (ERA), a shortened N, latency. Thus, the hypothesis of a better utilization of auditory information after the loss of the visual information channel could be confirmed, and may be ascribed to the plasticity of the central nervous system.

Dans cette 2e partie de notre étude, nous avons examiné la fonction auditive centrale des měmes sujets que précédemment à l'aide des tests suivants: intégration binaurale du son pur; intelligibilité vocale monaurale à l'aide de chiffres binaires et de substantifs monosylla-biques et binaurale, d'une part et, d'autre part, à l'aide de phrases prononcées en présence ou en l'absence d'un bruit ambiant de 50 dB (A); latence et amplitude de N1/P2 des potentiels évoqués tardifs corticaux. Le groupe des aveugles présente: une plus faible inhibition de δl par un son de měme fréquence à l'oreille controlatérale; une meilleure activation de δI par un bruit à bande large, mais les résultats restent à la limite de la signification statistique; une bien meilleure discrimination de la parole à tous les niveaux, et surtout en présence de bruit en audition binaurale et, en ERA, une diminution significative de la latence de N1, sans modification de l'amplitude de N1/P2. Une conclusion définitive ne peut pas ětre formulée pour le moment, toutefois, ces résultats semblent confirmer l'hypothèse de l'existence, à la suite d'une cécité prolongée, d'une meilleure utilisation de l'information auditive graˇce à la plasticité du système nerveux central.  相似文献   

3.
4.
5.
Physical and subjective aspects of earmould occlusion are examined and related. In particular, measurements made in an ear-like coupler for various venting arrangements are compared with those obtained subjectively by a loudness balance procedure. The results demonstrate the effectiveness of an open (completely non-occluding) earmould at low-frequency sound reduction but indicate some of the factors which make its individual effect difficult to predict. It is further seen the group of hearing-impaired persons was less able to make systematic judgements on sound quality than was the control group of normally hearing persons.

Les facteurs physiques et subjectifs intervenant lors de l'emploi d'embouts d'appareils de correction auditive occlusifs ont été etudies et rapportés. Ont été comparés, en particulier, les mesures faites avec une oreille artiflcielle dans laquelle ont été aménagés plusieurs types d'ouvertures et les résultats obtenus subjectivement par balance alternée de la sonie. Les résultats démontrent l'efficacité de l'embout ouvert (sans occlusion aucune) pour les basses fréquences; mais, ils révèlent également un certain nombre de facteurs qui montrent que son effet peut varier d'un individu à l'autre. Nos résultats ont montré, par ailleurs, que les personnes souffrant de troubles de l'audition éprouvaient plus de difficultés à émettre des appréciations systématiques sur la qualité du son que le groupe témoin, composé de personnes jouissant d'une audition normale.  相似文献   

6.
This study sought to determine if a high-pass hearing aid can provide increased improvement in word recognition and consonant discrimination over that of a conventional high frequency emphasis hearing aid in listeners with hearing loss limited to frequencies above 1 000 Hz. Word and consonant discrimination were assessed in quiet and in the presence of 12 talker speech babble for 10 subjects under three listening conditions: (1) unaided; (2) wearing a conventional high frequency emphasis hearing aid, and (3) wearing an experimental high-pass instrument. The speech testing materials included: (1) Northwestern University Auditory Test No. 6; (2) California Consonant Test, and (3) eight voiceless English consonants. Results suggested that both instruments provided similar benefit in quiet for improving word recognition and resolving consonant errors. For the noise condition, however, the experimental high-pass aid provided a considerable advantage in both word recognition and consonant identification and was particularly sensitive to reducing within- and between-manner voiceless consonant confusions. Furthermore, measurements of real-ear gain revealed that the high-pass aid afforded considerably greater acoustic gain above 4 000 Hz than that shown for the conventional high frequency emphasis hearing aid.

Nous avons, chez 10 sujets atteints d'une pertc d'audition pour les fréquences supérieures à 1 kHz, cherché à établir si un appareil expérimental de correction auditive passe-haut peut, davantage qu'un appareil classique à amplification préférentielle pour les fréquences hautes et dont le gain chute après 4 kHz, améliorer la discrimination de mots et de consonnes dans le calme et aussi en présence d'un bruit de conversation de 12 personnes. Les deux appareils se sont révélés identiques pour la discrimination dans le calme; mais dans le bruit, l'appareil expérimental s'est révélé etre nettement plus efficace.  相似文献   

7.
Résumé

II y a vingt ans les appareils de prothèse auditive à lampe procuraient un gain acoustique suffisant, et les niveaux d'intensité convenaient à la plupart des malentendants appareiliés. On tenait à une courbe de réponse uniforme et lentement ascendante, ce qui était à peu près réalisé en pratique. On venait de perfectionner l'écouteur en l'accouplant à un embout moulé en matière plastique et adapté à l'individu, mais il était nécessaire de porter le boitier principal sur la poitrine. Partout, sauf en Grande Bretagne, la distribution des prothèses auditives était le fait des fabricants des commercants; la science audiologique se trouvait dans l'enfance.

Aujourd'hui nos orateurs résumeront ce qui s'est passé pendant ces vingt ans. M. Lybarger soulignera la miniaturisation progressive des appareils, accomplie sans sacrifice pour le fonctionnement électroacoustique, sauf en ce qui concerne la légère limitation du gain acoustique. Le Dr. Ewertsen décrira l'organisation et le fonctionnement d'un grand centre national moderne de la réhabilitation des malentendants, aussi que sa manière de procéder pour accorder la courbe de réponse d'une audioprothèse avec une surdité particulière, et pour la règlementation de la fabrication des prothèses.

Le Dr. Decroix nous montrera en film sa technique d'appareillage stéréo-phonique binaural. Enfin le Dr. Hirsh nous expliquera pourquoi les différentes courbes de réponse électroacoustique des appareils ne s'accordent pas, comme on l'a cru jadis, avec les déficits particulièrs de discrimination des individus possédant des audiogrammes différents. Certes, il existe des appareils qui peuvent accomoder tout le monde, mais le problème éternel du rapport son-masque et les imperfections de l'audiométrie vocale empěchent l'obtention parfaite d'avantages uniques. Le Dr. Hirsh discutera aussi des avantages de l'audition binaurale de l'application étendue des prothèses auditives aux enfants sourds.  相似文献   

8.
Résumé

Les sourds aˇgés de plus de 70 ans constituent une part de plus en plus importante parmi les malades fréquentant les centres audiologiques. Leur fournir un appareil est une des taˇches les plus difficiles de la correction auditive prothétique. La difficulté propre à ce problème provient de la synergie principalement d'un déficit auditif cochléobasal, d'une sensibilité plus forte aux sons intenses situés dans les hautes fréquences, d'une diminution de la transformation centrale des messages vocaux et d'une augmentation des seuils différentiels d'une part, ainsi que la réduction des fréquences et la distorsion de la réponse de la parole par la prothèse auditive d'autre part. Une amplification linéaire à large bande de fréquence donne généralement les meilleurs résultats. Mais pour cela les hautes fréquences doivent ětre au début moins amplifiées que les moyennes et les basses. L'appareillage stéréophonique à l'aide de petits appareils portés sur la těte échoue souvent, vu la maladresse manuelle ou le tremblement des personnes aˇgées, qui ne parviennent pas à se servir correctement des minuscules régulateurs. Si l'on prescrit un appareil de poche, il faut pourvoir à l'élimination optima des bruits de frottement. La meilleure solution est de placer l'appareil dans un sac en mousse de caoutchouc qui glisse à peine sur la peau et les větements. L'amplification doit ětre plus faible que chez un jeune malentendant de měme degré de perte auditive. La faculté de perception des signaux acoustiques chez le malentendant aˇgé est réduite; il ne veut pas à l'aide de l'appareil redevenir un entendant normal mais en quelque sorte un malentendant de degré faible ou moyen. Si la compréhension de la phrase à l'aide d'une prothèse reste imparfaite, un entraïnement de la fonction auditive dont on augmente graduellement le degré de difficulté est indiqué et promet du succès. il est avantageux de le combiner avec une substitution médicamenteuse à base d'hormones et de vitamines. En respectant ces règles on obtient, selon nos expériences, une compréhension suffisante de la conversation normale et à voix basse chez près de 80% des malentendants de plus de 70 ans utilisant pour la première fois un appareil.  相似文献   

9.
La stéréoaudiométrie consiste en la mesure du rendement de l'appareillage en stéréophonie. On applique des appareils identiques sur les deux oreilles; l'appareillage de l'oreille la plus sourde est régié afin de ramener le seuil d'intelligibilité à 30—35 dB environ au-dessus du seuil normal, puis on ramène le seuil d'intelligibilité de l'oreille moins déficiente au niveau du seuil de l'oreille la plus sourde précédement appareillée. II faut que les deux appareils soient en concordance de phase. Un gain de 5 dB dans le seuil d'intelligibilité s'obtient par l'appareillage bilatéral, mais ce gain ne réflète que très incomplètement le but essentiel d'un appareillage stéréophonique, c'est à dire d'améliorer la compréhension de la parole dans les conversations en groupe, en particulier dans le bruit, compréhension qui est intimement liée à la possibilité de localiser les sources sonores. La stéréoaudiomètre mesure cette possibilité. Les épreuves de localisation peuvent ětre également pratiquées en présence de bruit ou dans le silence. Les tests de discrimination spatiale prévoient l'amélioration de l'intelligibilité dans le bruit. La technique des épreuves sera illustrée en détail dans un film.  相似文献   

10.
Eight subjects with bilateral sensorineural hearing losses took part in a trial comparing listening unaided with listening binaurally through two types of hearing aid, aid A and aid B. Both aids incorporated slow-acting automatic gain control (AGC) operating on the whole speech signal. However, aid A also incorporated two-channel syllabic compression. The two aids were chosen to be as similar as possible in other respects, and both were worn behind the ear. Subjects were tested in a counter-balanced order, and had at least 2 weeks of everyday experience with each aid before testing took place. Performance was evaluated in three ways: by measuring speech intelligibility in quiet for sentences at three peak sound levels, 55, 70 and 85 dB SPL; by measuring the level of speech required for 50% intelligibility (called the SRT) of sentences in two levels of speech-shaped noise, 60 and 75 dB SPL; and by administering questionnaires about experience with the aids in everyday life. Both aid A and aid B improved the intelligibility of speech in quiet relative to unaided listening, particularly at the lowest sound level. However, aid A gave lower (i.e., superior) SRTs in speech-shaped noise than aid B or unaided listening. The questionnaires also indicated that aid A gave better performance in noisy situations. The results strongly suggest that two-channel syllabic compression, combined with slow-acting AGC operating on the whole speech signal, can give superior results to slow-acting AGC alone, particularly in noisy situations.

Huit sujets atteints de surdité de perception bilaté-rale ont pris part à une étude comparant l'audition sans appareillage et avec appareillage binaural, à l'aide de deux types de prothèse, A et B. Les deux prothèses possédaient un dispositif de contro?le automatique de volume (CAV) à action lente portant sur tout le signal vocal. La prothèse A disposait en plus d'une compression syllabique à deux canaux. Les deux prothèses étaient par ailleurs aussi semblables que possible, et chacune fut portée derrière le pavilion. Les sujets ont été testés dans un ordre équilibré, après avoir porté chaque appareil quotidiennement pendant au moins 2 semaines. Les résultats ont été évalués de trois façons: 1) en mesurant l'intelligibilité de phrases dans le silence à 3 niveaux sonores 55,70 et 85 dB SPL; 2) en mesurant l'intensité requise pour une intelligibilité à 50% de phrases entendues dans du bruit de 60 et 75 dB SPL, possedant les caractéristiques fréquencielles de la parole; 3) en faisant remplir un questionnaire aux malades sur l'intérět de la prothèse dans la vie de tous les jours. Les deux types de prothèse A et B ont amélioré l'intelligibilité de la parole dans le silence par rapport à l'écoute sans appareil, notamment à faible intensité. La prothèse A donna un meilleur seuil d'in-telligibilité dans le bruit caiqué sur la parole que la prothèse B. D'après les questionnaires, les performances de la prothèse A dans les conditions bruyantes sont elles aussi meilleures. II appparaiˇt done que la combinaison d'une compression syllabique à deux canaux et d'un CAV à action lente sur l'ensemble de la parole donne de meilleurs resultats que le CAV seul, en par-ticulier dans le bruit.  相似文献   

11.
The effects of time-expanded monosyllabic words (NU-6) on the auditory discrimination performance of 15 young adults with normal hearing and 20 elderly subjects were studied. Three conditions of time expansion, 30, 60 and 100%, plus a 0% control condition, were presented at four sensation levels (8, 16, 24, and 32 dB). For the normally hearing subjects, auditory discrimination performance at all ratios of time expansion was equal to the 0% condition. Results for the elderly subjects indicated intelligibility was inversely related to time expansion at the 30 and 60% conditions. However, at the 100% condition, speech intelligibility improved over the 60% condition at 8 and 16 dB sensation level. At 24 and 32 dB sensation level, performance at 100% was equal to the 60% condition. With the normal and elderly subjects, ear and list effects were minimal. The results are discussed in terms of the clinical value of this procedure and in light of literature that reviews the performance of subjects on tests employing various temporally altered stimuli.

Résumé

Nous avons étudié les effets de l'allongement temporel de mots monosyllabiques (NU-6) sur la discrimination auditive de 15 jeunes adultes ayant une audition normale, et de 20 sujets aˇgés. Trois conditions d'allongement temporel (30, 60 et 100%) aínsi qu'une condition de contrôle à 0%, étaient présentées à quatre niveaux de sensation (8, 16, 24 et 32 dB). Pour les sujets jeunes ayant une audition normale, la discrimination auditive restait la měme quel que soit l'allongement. Pour les sujets aˇgés, le taux d'intelligibilité était inversement proportionnel à l'allongement temporel de 30 et 60%. Cependant, lorsque l'allongement était de 100%, l'intelligibilité de la parole s'améliorait par rapport à l'allongemant de 60%, et pour les niveaux de sensation de 8 et de 16 dB; pour les niveaux de 24 et 32 dB, les résultats étaient égaux à ceux obtenus lors de l'allongement de 60%. Pour les sujets normaux et aˇgés, les effets d'oreille et de liste étaient minimes. Nous díscutons la valeur clinique de ce procédé.  相似文献   

12.
Speech discrimination performance was measured in sound field for 10 young normal-hearing subjects, 10 elderly ‘normal-hearing’ subjects with a mean pure-tone average of 9.9 dB HTL, and 10 elderly hearing-impaired subjects with a mean pure-tone average of 48.5 dB HTL. Speech discrimination abilities were assessed in quiet and noise (S/N = +10 dB) in a sound suite and under two levels of reverberation in a reverberant room (RT = 0.59 and 1.56 s). Results indicated that the elderly ‘normal-hearing’ and young normal-hearing subjects have similar speech discrimination performance in the sound suite for both the quiet and noise conditions. In addition, performance by these two groups was almost identical under both levels of reverberation in quiet. However, when noise was added to the reverberant conditions, performance by the elderly ‘normal-hearing’ subjects was significantly poorer than that obtained by the young normal-hearing subjects. The elderly hearing-impaired subjects yielded speech discrimination scores that were significantly poorer than the elderly ‘normal-hearing’ subjects and the young normal-hearing subjects for all of the listening conditions.

La discrimination de la parole a été mesurée dans un champ acoustique chez 10 sujets jeunes normo-entendants, 10 sujets aˇgés «normo-entendants» ayant un audiogramme moyen à 9,9 dB et 10 sujets aˇgés sourds avec une perte moyenne de 48,5 dB. La discrimination de la parole a été évaluee dans le calme et dans le bruit (S/B = +10 dB) dans une chambre sourde et dans une chambre réverbérante à deux niveaux de réverbération (0,59 et 1,56 s). Les résultats indiquent que les sujets aˇgés «normo-entendants» et les sujets jeunes normo-enten-dants ont des discriminations identiques en chambre sourde aussi bien dans les deux conditions de calme et de bruit. De plus, les performances de ces deux groupes étaient presque identiques pour les deux niveaux de réverbération, dans le calme. Cependant, lorsqu'on ajoutait le bruit, dans les conditions de réverbération, les performances des sujets aˇgés «normo-entendants» étaient significativement moins bonnes que celles des sujets jeunes normo-entendants. Les sujets aˇgés sourds avaient une discrimination significativement moindre par rapport á celle des sujets aˇgés «normo-entendants» et des sujets jeunes normo-entendants, dans toutes les conditions.  相似文献   

13.
Based on five years of observations of so-called “deaf”child, and on the data from the literature in this field, we can state that not only in hearing children, but also in those with severe hearing impairments, the process of the integration of acoustic stimuli may develop together with the maturation of the cerebral cortex, provided that they are stimulated by acoustic stimuli at the age corresponding to the physiological development of hearing. In order to develop hearing in children, who have hardness of hearing, up to the standard of the physiological development of hearing in normally hearing children, we have elaborated a programme for the development and rehabilitation of hearing in children between 6-48 months. The programme promotes the training that begins with the easiest environmental sounds, not as hitherto with the most difficult acoustic sounds which make up speech. The training is always carried out with the use of hearing aids or an amplifier. Hearing aids are recommended as soon as a hearing impairment has been determined, even in early infancy. We have introduced the functional tests of the rehabilitation efficiency of the hearing organ. Based on the tests for the usefulness of hearing aids it was determined that regardless of the power output of the amplifier, every child shows his own individual preferences with respect to amplifier gain. The introduction of tentative hearing aids and routine examinations of hearing impaired children between 1-5 years of age, carried out every 3-6 months, has enabled us to observe the development of auditory response in children hitherto considered as socially deaf. As the symptoms of the development of auditory response it was stated that the hearing curve lengthens, rises and reaches the frequencies which it would not approach, if hearing aids had not been applied. The infants responded to more and more extensive acoustic spectra within the process of rehabilitation. The curves obtained from the pure-tone audiometry of children do not reflect a constant and exact value of impaired hearing, but a mere picture of the response to a given stimulus imparted by the audiometer. In order to evaluate the substantial functional value of impaired hearing in children, one should apply tentative acoustic rehabilitation carried out by means of hearing aids, and the curve reflecting the efficiency of hearing organ should be drawn in accordance with the amplifier or the hearing aid used.

Résumé

En vertu des observations effectuées au cours de 5 années chez les enfants soit-disant sourds et vu les données bibliographiques on a constaté que le processus d'intégration des stimulants acoustiques peut múrir simultanément avec le processus de maturation du cortex et de la měme façon chez l'enfant entendant ou malentendant, si les stimulants acoustiques sont appliqués à l'aˇge correspondant au développement physiologique de l'audition. Pour que le développement auditif chez l'enfant mal-entendant soit analogue au developpement physiologique de l'audition chez l'enfant entendant, on a fixé un programme de développement et de réhabilitation de l'audition chez les enfants à partir du 6-ème jusqu'au 48-ème mois de la vie. Selon ce programme, l'entrainement auditif commence par les sons les plus faciles de l'entourage et non, comme jusqu'à présent par les signaux acoustiques plus difficiles formant la parole. L'entrainement auditif procède toujours à l'aide d'un appareil auditif ou d'un amplificateur de table. Le médecin recommande un appareil auditif dès qu'il constate la lésion auditive — měme à partir du tout jeune aˇge. On a élaboré la méthode d'examen de capacité de réhabilitation de l'organe auditif. L'examen de l'utilité de l'appareil auditif a permis de constater, qu'indépendamment de la puissance de l'appareil au point de départ, chaque enfant présente personnellement d'autres possibilités de tirer profit de l'amplificateur. L'introduction d'un appareillage d'essai et des examens auditifs de contrôle, effectués périodiquement tous les 3—6 mois, chez les enfants aˇgés de 1 à 5 ans avec une lésion auditive, a permis d'établir le développement de la réactivité auditive chez les enfants traités jusqu'à présent comme sourds. On a observé les symptômes suivants de développement de la réactivité auditive: allongement de la courbe auditive, son élévation et l'apparition de la courbe auditive sur des fréquences sur lesquelles elle n'apparait pas sans l'emploi d'un appareil auditif. On a constaté qu'au fur et à mesure du progrès de la réhabilitation le nourrisson réagit au spectre acoustique de plus en plus élargi. Les courbes obtenues dans l'audiométrie à sons purs ne présentent pas la valeur stable et absolue de la lésion auditive mais elles représentent l'image de la réaction au stimulant conventionnel de l'audiomètre. Pour pouvoir évaluer la valeur réelle fonctionnelle de la lésion auditive il faut adapter chez les enfants la réhabilitation acoustique d'essai, employant des appareils auditifs; et la courbe audiométrique de la capabilité de l'organe auditif doit ětre tracée à l'aide de l'amplificateur de l'appareil auditif.  相似文献   

14.
Interactive microprocessor-controlled speech pattern tests making use of high-quality synthetic speech have been used to assess the development of subjects' ability to process speech contrasts of increasing complexity, from prosodic contrasts to a ‘date-gate’ place contrast. These tests have been particularly useful in mapping the development or recovery of subjects functioning at the very first stages of processing ability. Some results obtained with profoundly hearing-impaired children and with adults suffering from brain stem disorders are reported, and further applications of speech pattern audiometric techniques are briefly discussed.

Des tests interactifs de perception de la parole, controlés directement par un microprocesseur et faisant usage de patterns synthétisés, sont appliqués à l'évaluation du développement de la capacité à traiter certains contrastes phonologiques. Ces tests sont particulièrement utiles dans l'évaluation des sujets qui n'en sont encore qu'aux premiers stades de l'évolution de leur capacité auditive. L'utilité de ces tests est démontrée par des exemples tirés d'études sur des enfants sourds et des adultes souffrant de désordres du tronc cérébral.  相似文献   

15.
It is generally agreed that the saturation sound pressure level of a hearing aid should not exceed the patient's loudness discomfort level (LDL) for speech. This study investigated (1) the stability of the test and retest LDLs when obtained on different days using McCandless's and Berger's instructional sets and (2) the effects of a psychophysical method (adjustment versus limits) on the speech LDL using McCandless's instructions. Good reliability was observed since one-half of the listeners had test-retest differences of 2 dB or less and nearly all subjects obtained LDLs within 8 dB. The mean LDLs for the respective methods of adjustment and limits were 86.8 and 92.9 dB SPL, and statistically significant. Additionally, a significant interaction between the two methods was observed. The LDL measurement is also discussed in relation to other tests used to evaluate hearing aid performance.

II est généralement admis que le niveau de saturation en SPL d'un appareil de correction auditive ne doit pas dépasser le niveau du seuil d'inconfort du malade pour la parole (SIP). L'importance de ce SIP nous a done amené a en étudier les conditions d'établissement. Considérant d'abord sur 25 sujets normaux la stabilité des valeurs SIP au cours de plusieurs jours en utilisant les instructions données au sujet soit d'après McCandless, soit d'après Berger, nous n'avons trouvé que de faibles variations (différence test-retest de 2 dB ou moins) pour la moitié des sujets, écart de 8 dB si Ton considere l'ensemble des sujets. Considérant ensuite sur 20 sujets normaux les effets de la méthode psycho-physique employée (méthode des limites ou methode d'adjustement), nous avons pu montrer que les effets sont significatifs: la moyenne des niveaux de SIP se situe à 86,8 dB SPL par la méthode d'adjustement et à 92,3 dB SPL par la méthode des limites. De plus nous avons pu observer une certaine interaction entre les deux méthodes lorsqu'elles sont utilisées successivement. Nous discutons en terminant la valeur comparée du SIP et de celle d'autres tests.  相似文献   

16.
Speech reception functions (maximum discrimination score for phonemes, speech reception threshold) and auditory functions (pure-tone audiogram, difference limens for frequency and intensity, temporal modulation transfer function, critical ratio and temporal integration) have been investigated in a group of severely hearing-impaired and deaf subjects (median Fletcher index: 80 dB), for different frequency regions (250, 1 000 and 2 000/4 000 Hz). The correlations between the different functions were calculated on the basis of characteristic numbers, derived from the originally measured functions, in the indicated frequency regions. The residual hearing capacities could be described best with two factors, one reflecting the distortion term in the speech reception threshold and the other representing the frequency discrimination for high-frequency tones. It was found that residual hearing capacities are present, at least up to a Fletcher index of 105 dB.

Nous avons examiné un certain nombre de fractions par rapport à la perception du son et par rapport à l'intelligibilité de la parole chez des sujets présentant des troubles auditifs importants (médiane de l'index de Fletcher 80 dB). Nous avons mesuré le score de discrimination maximale des phonèmes, le seuil d'intelligibilité de la parole, le seuil auditif, les seuils différentiels d'intensité et de fréquence, la fonction de transfert de modulation, le rapport critique et la constante de temps de l'oreille. Nous avons considéré ces fonctions pour trois régions de fréquence séparément (250, 1 000 et 2 000/4 000 Hz). Nous avons calculé les corrélations entre les fonctions individuelles sur la base de nombres caractéristiques, dérivées des fonctions mesurées dans les régions de fréquence indiquées. Nous pouvions décrire la capacité résiduelle de la faculté auditive avec deux facteurs: la composante de déformation dans le seuil d'intelligibilité et le seuil différentiel de fréquence pour des sons purs de haute fréquence. Nous avons trouvé une capacité résiduelle auditive au moins jusqu'à un index de Fletcher de 105 dB.  相似文献   

17.
A number of hearing-impaired individuals with near-normal thresholds for frequencies above 8 000 Hz who are characterized by good speech articulation have recently been identified. It is unclear whether this unusually good articulation is linked to the ability of such persons to process speech signals containing energy that falls within the range of their residual, high-frequency hearing (for example, certain consonants). This paper reports a detailed study of the signal-processing capabilities of one patient with a long-standing, severe to profound hearing loss in the standard audiometric range, and normal left-ear thresholds in the region of 13 000 Hz. Measures obtained include difference limens for frequency and intensity, gap detection, rate matching, temporal integration, and tone-on-tone masking profiles (psychoacoustical tuning curves). In addition, measures of speech production and perception were made when the patient was using an experimental hearing aid designed to transpose speech range frequencies into the region of her residual high-frequency hearing. Results indicate the patient can efficiently process signals which fall within the band of her best hearing, and suggest her ultra-audiometric hearing may be useful in speech communication.

Nous avons étudié la capacité de traiter les signaux auditifs chez une patiente présentant une détérioration sévère à profonde dans le champ conventionnel d'audibilité, et des seuils d'audition presque normaux pour des fréquences aux environs de 13 000 Hz. Nous avons enregistré les seuils différentiels de fréquence et d'intensité, la détection d'une interruption dans un signal, l'intégration temporelle, les courbes d'accord psycho-acous-tique de Zwicker et Schorn, la capacité d'extraire l'information concernant le taux de répétition à partir de signaux de haute fréquence spectrale. Nous avons aussi effectué des mesures de perception et de production de la parole lorsque la patiente utilisait une prothèse expérimentale transposant les fréquences de la parole dans la région de 13 000 Hz.

Les résultats indiquent que cette personne est capable de traiter les signaux aux environs de 13 000 Hz au moins aussi bien que ceux qui tombent dans la région de sa détérioration auditive, ce qui permet de penser qu'elle est en mesure d'utiliser le résidu auditif ultra-audiométrique pour la communication parlée.  相似文献   

18.
19.
Résumé

II existe environ 3% de la population qui présentent des déficits auditifs chroniques tels que cela les rend incapables, sans difficultés, de communiquer avec leurs semblables. Parmi ces malentendants, 1/5 ont besoin d'une amplification électroacoustique. Les appareils portès au niveau de la těte conviennent à 65% de nos patients, tandis que 35% ont des déficits auditifs d'une telle gravité qu'il leur faut des appareils portés dans la poche.

A mon avis la clinique d'audiologie idéale se trouve dans un hôpital; elle doit comprendre une quinzaine de services et compter 2 otolaryngologistes, un ingènieur, un technicien, un instituteur, une assistante sociale, 4 audiométristes, 2 techniciens dentaires, et 3 sténo-dactylos. Chaque personne d'une telle équipe doit se sentir complémentaire des autres, chacune doit comprendre les charges des autres, et tous parler la měme langue. Une surface de 400 à 500 mètre carrés est nécessaire comprenant 3 chambres insonores, une salle spéciale pour l'examen des enfants, un atelier de réparation ainsi que d'autres pièces nécessaires. Une clinique d'audiologie peut convenir pour une population de 500,000 habitants et servir à 4,000 à 5,000 clients chaque année.

Au Danemark, les Centres Nationaux de Réhabilitation ont la responsabilité du bien ětre des malentendants; leurs buts principaux sont: l'examen du fonctionnement auditif des enfants et des adultes; l'essai des appareils auditifs, s'il ne leur reste aucune autre possibilité; la recherche; l'éducation et la prophylaxie. Les frais moyens de l'appareillage acoustique atteignent $75. pour chaque malentendant.

L'achat des appareils est fait par soumissions publiques, afin de stimuler la compétition parmi les constructeurs. On mesure le gain de chaque appareil à l'aide d'une oreille artificielle, et de plus on fait l'examen des appareils des enfants quatre fois par an.

On peut calculer la pression sonore actuelle d'un appareil dans la portion la plus basse du conduit auditif d'un patient à l'aide d'une sonde et d'un microphone à condensateur (Voir fig. 2). La courbe de réponse de fréquence d'un appareil dans les 2 cc. d'une cavité d'oreille artificielle, ne correspond pas avec des courbes de pression sonore dans le conduit auditif des malentendants (Voir fig. 3).

La manière de procéder pour choisir un appareil convenable à un malentendant se fait à l'aide de l'audiomètrie vocale. On cherche à réduire le déficit vocal jusqu'à un déficit de moins de 30 dB, et à un déficit de discrimination inférieur à 20%. Dans des cas difficiles on se sert de la méthode appelée ←minibox-audiometry→.

L'appareil convenable une fois trouvé, toute une organisation nationale est mise à la disposition du malentendant pour compléter son rétablissement.  相似文献   

20.
Résumé

Les rapports de notre laboratoire ou d'autres, ont montré trois développements récents dans l'emploi des prothèses auditives. Le transistor et son voie de conséquence la miniaturisation des circuits ont permis la fabrication de prothèses très petites. Un avantage capital de ces petites prothèses vient de ce que le malade peut les porter au niveau de la těte, au lieu d'avoir un microphone fixé sur la poitrine. Un “pick-up” au niveau de la těte facilite le sens de la localisation et augmente l'intelligibilité de la parole dans le bruit, měme pour une oreille; il rend plus facile l'utilisation de la deuxième oreille pour l'audition binauriculaire. Deuxième conséquence des développements techniques, c'est à dire l'augmentation de la largeur des bandes passantes et de la puissance sans distortion des prothèses: c'est l'utilisation des prothèses personelles par les enfants sourds. Avant cet époque-ci, ces enfants devaient employer les prothèses de groupe, dans les salles de classe seulement, et presque toujours attachés aux bureaux. Les prothèses personelles, prèsque aussi bonnes en qualité que les grandes prothèses de classe, laissent aux enfants beaucoup plus de liberté personnelle en classe et, fait non moins important, procurent beaucoup ←lus d'heures d'audition en dehors de la classe, surtout à la maison, en famille et avec les camarades.

Une autre changement existe dans les systèmes de distribution des prothèses aux malades. Les différences acoustiques, assez importantes, entre les prothèses ne se réflěchissent pas dans les mesures audiologiques. Nous avons montré que les préférences d'un malade pour telle ou telle prothèse ne se retrouvent pas par suite d'un deuxième, troisième, ou quatrième test, au moins pour le seuil d'intelligibilité ou pour la discrimination des mots. Nous trouvons plus efficace les consultations générales sur les types, les problèmes, les possibilités des prothèses, que les tests, prèsque sans fin, pour leur sélection.  相似文献   

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