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1.
Résumé

Les sourds aˇgés de plus de 70 ans constituent une part de plus en plus importante parmi les malades fréquentant les centres audiologiques. Leur fournir un appareil est une des taˇches les plus difficiles de la correction auditive prothétique. La difficulté propre à ce problème provient de la synergie principalement d'un déficit auditif cochléobasal, d'une sensibilité plus forte aux sons intenses situés dans les hautes fréquences, d'une diminution de la transformation centrale des messages vocaux et d'une augmentation des seuils différentiels d'une part, ainsi que la réduction des fréquences et la distorsion de la réponse de la parole par la prothèse auditive d'autre part. Une amplification linéaire à large bande de fréquence donne généralement les meilleurs résultats. Mais pour cela les hautes fréquences doivent ětre au début moins amplifiées que les moyennes et les basses. L'appareillage stéréophonique à l'aide de petits appareils portés sur la těte échoue souvent, vu la maladresse manuelle ou le tremblement des personnes aˇgées, qui ne parviennent pas à se servir correctement des minuscules régulateurs. Si l'on prescrit un appareil de poche, il faut pourvoir à l'élimination optima des bruits de frottement. La meilleure solution est de placer l'appareil dans un sac en mousse de caoutchouc qui glisse à peine sur la peau et les větements. L'amplification doit ětre plus faible que chez un jeune malentendant de měme degré de perte auditive. La faculté de perception des signaux acoustiques chez le malentendant aˇgé est réduite; il ne veut pas à l'aide de l'appareil redevenir un entendant normal mais en quelque sorte un malentendant de degré faible ou moyen. Si la compréhension de la phrase à l'aide d'une prothèse reste imparfaite, un entraïnement de la fonction auditive dont on augmente graduellement le degré de difficulté est indiqué et promet du succès. il est avantageux de le combiner avec une substitution médicamenteuse à base d'hormones et de vitamines. En respectant ces règles on obtient, selon nos expériences, une compréhension suffisante de la conversation normale et à voix basse chez près de 80% des malentendants de plus de 70 ans utilisant pour la première fois un appareil.  相似文献   

2.
Résumé

Depuis l'introduction de l'appareillage auditif à lampes, il y a peut-ětre vingthuit ans, la concurrence dans l'industrie à fait diminuer continuellement le poids de les appareillages. Une étude d'appareils typiques montre que le taux annuel de diminution est de 11% pour les appareils conventionnels, tandis qu'il est de 20% pour les lunettes, les appareils ←contour d'oreille→ et les appareils ←dans l'oreille→.

Pour la plupart, la diminution de poids a été effectuée sans aucune perte de fonctionnement, mais pour les appareils portés à l'oreille, il faut que l'on fasse des choix pour l'effet esthétique. Par exemple, la choix de la grandeur de la pile détermine le côut de la marche de l'appareil, done sa puissance de sortie et son gain si l'on veut limiter le courant de la pile.

La diminution de grandeur des appareils auditifs peut diminuer aussi le gain, car la réaction, soit acoustique, vibratoire, ou magnétique, entre le récepteur et le microphone devient plus grande quand le boitier est petit. Un effet typique de réaction sur la courbe de réponse est discuté.

Dans une certaine mesure la diminution de la grandeur du microphone a fait réduire la réponse pour les fréquences basses. Cela ne nous gěne pas beaucoup, parce que la plupart des courbes audiométriques actuelles ont la chute graduelle ou měme brutale sur les aigus. D'autre part, les petits microphones actuels sont meilleurs dans les fréquences aigues.

La division des appareils fabriqués ou vendus aux Etats Unis, selon les modèles, dès 1959, est discuté. II y a une diminution très graduelle pour les lunettes et les appareils conventionnels, tandis que la vente des appareils ←contour d'oreille→ et ←dans l'oreille→ augmentent.

II existe aujourdhui une sélection d'appareils auditifs très étendue; ils sont plus petits que jamais et plus désirables du point de vue esthétique. En plus des appareils conventionnels et de ceux ←à l'oreille→ ordinaires, il existe des appareils spéciaux à réponse basse étendue, à réglage automatique de volume sonore, à ←Cros→, etc. II semble que dans l'avenir on continue à chercher à obtenir une diminution du poids et de la grandeur des appareils auditifs en měme temps qu'une amélioration de leurs propriétés acoustiques.  相似文献   

3.
The frequency-following response (FFR) is a short-latency scalp-recorded evoked potential elicited by the presentation of low-frequency acoustic stimuli. It is thought to be the result of the synchronous electrical activity in brain stem auditory nuclei to each wave in the acoustic signal. The present investigation constitutes an attempt to determine the generators of the FFR in the cat by analysis of the response and by section of brain stem auditory nuclei and tracts.

Among the results were the following: (1) the cochlear nuclei contribute approximately 50% of the amplitude of the scalp-recorded FFR in the cat. (2) The cochlea also makes a significant contribution, accounting for an average of nearly 25% of the response amplitude. (3) The superior olivary nuclei (and/or the nuclei of the lateral lemnisci) account for about 20% of the response amplitude. (4) The contributions from the inferior colliculi (contrary to earlier studies) were found to be relatively insignificant. (5) As a consequence of the existence of multiple generators, the FFR amplitude waxes and wanes with changing stimulus frequency. (6) There is a discrete area of hair cell excitation for each stimulus frequency involved in the mediation of the FFR, suggestion that scalp-recorded FFRs could be used to ascertain low-frequency hearing sensitivity in uncooperative human subjects.

La réponse suivant la fréquence (FFR) est un potentiel à latence courte enregistré au niveau du cuir chevelu en réponse à des stimuli acoustiques de basse fréquence. On pense que la FFR est le résultat d'une activité électrique synchrone des noyaux auditifs du tronc cérébral à chaque onde dans le signal acoustique. La présente étude a été entreprise dans le but de déterminer les générateurs de la FFR chez le chat, en analysant les réponses et en sectionnant les noyaux et les faisceaux auditifs du tronc cérébral.

Les résultats montrent que 1) le noyau cochléaire contribue à peu près pour 50% a l'amplitude de la FFR enregistrée au niveau du cuir chevelu du chat. 2) La cochlée contribue considérablement; elle intervient, en effet, pour près de 25% dans l'amplitude de la FFR. 3) L'olive supérieure (et/ou le noyau du lemniscus latéral) intervient pour environ 20% dans l'amplitude de la FFR. 4) La contribution du colliculus inférieur (contrairement à d'autres études antérieures) fut relativement mineure. 5) Une conséquence de l'existence de générateurs multiples est que l'amplitude de la FFR croiˇt et décroiˇt avec le changement de la fréquence du stimulus. 6) On trouve une région d'excitation bien délimitee des cellules ciliées pour chaque fréquence stimulant une FFR. Tout ceci suggère que la FFR enregistrée au niveau du cuir chevelu pourrait ětre utilisée en clinique afin de déterminer la sensibilité auditive pour les basses fréquences chez des patients non coopératifs.  相似文献   

4.
Upward spread of masking and remote masking were investigated in 4 subjects with closely matched high-frequency hearing losses. Masked thresholds in the presence of a high-frequency or a low-frequency bandpass noise were obtained using an adaptive-threshold procedure. ‘Abnormal’ upward spread of masking existed for the impaired subjects at some test frequencies when compared to the masking predicted on the basis of normal masking results and hearing-impaired quiet thresholds. Remote masking thresholds were usually shifted to the same absolute levels for normal and hearing-impaired subjects. These results demonstrate that speech reception in noise for listeners with high-frequency hearing loss could be affected by spread of masking and levels of hearing loss.

L'étalement du masquage vers le haut et le masquage à distance ont été analysés chez 4 patients présentant des pertes auditives de caractéristiques analogues sur les hautes fréquences. Les seuils masqués en présence d'une bande de bruit haute ou basse fréquence ont été obtenus en utilisant une procédure adaptative de seuil. Un étalement «anormal» du masquage vers le haut fut observé à certaines fréquences-tests pour les sujets sourds, en comparaison aux prédictions faites à partir des résultats normaux de masquage et des élévations de seuil dans le silence. Les seuils de masquage à distance furent généralement déplacés vers les měmes niveaux absolus pour les groupes de sujets sourds et normaux. Ces résultats montrent que la perception de la parole dans le bruit pour des sujets atteints de surdité sur les hautes fréquences pourrait ětre affectée à la fois par les niveaux de seuil et l'étalement du masquage.  相似文献   

5.
High-frequency hearing loss in children with cleft palate has been documented recently. The present study was designed to investigate whether hearing loss can result solely as a consequence of middle-ear disease in early life or as a result of cleft palate and its sequelae which include middle-ear disease. Our results demonstrate that auditory functions for test frequencies 250-6 000 Hz were not significantly different among the two investigational groups of children with high incidence of middle-ear disease, and a control group of children with virtually no middle-ear disease. However, for high-frequency thresholds (8 000-20 000 Hz), both groups of children with high incidence of middle-ear disease were statistically different from the control group. Moreover, the children with cleft palate had high-frequency hearing that was statistically similar to that of children with normal orofacial structures and high incidence of middle-ear disease. Middle-ear disease alone, then, is a sufficient condition for loss of high-frequency sensitivity.

La perte auditive des hautes fréquences chez les enfants porteurs d'une fissure palatine a fait l'objet d'une documentation récente. Cette étude a été organisée de façon à établir si la perte auditive pouvait résulter uniquement d'une maladie de l'oreille moyenne dans la petite enfance, ou d'une fissure palatine et de ses séquelles qui comprennent les otites moyennes. Entre les deux groupes d'enfants prédisposés aux otites moyennes, et un groupe de contro?le constitué d'enfants rarement atteints d'otites moyennes, nos résultats n'indiquent pas de différences significatives quant aux fonctions auditives pour des fréquences d'essai de 250 à 6 000 Hz. Néanmoins, en ce qui concerne les seuils aux hautes fréquences (de 8 000 à 20 000 Hz), les deux groupes d'enfants prédisposés aux otites moyennes étaient statistiquement différents du groupe de contro?le. En outre, les enfants porteurs d'une fissure palatine avaient une audition des hautes fréquences qui était statistiquement semblable à celle des enfants porteurs de structures orofaciales normales et qui étaient prédisposés aux otites moyennes. A elle seule, une atteinte de l'oreille moyenne semble done ětre une condition suffisante pour l'apparition d'une perte auditive sur les hautes fréquences.  相似文献   

6.
Ototoxicity is one of the unwanted side-effects of a number of medical drugs. As ototoxicity appears to be most pronounced in the higher frequencies, it can be assessed at an earlier stage by using high-frequency audiometry from 8 to 20 kHz. We have investigated the precision of these measurements. In spite of inaccuracies of headphone positioning, which may influence especially the high-frequency thresholds, standard deviations for frequencies above 8 kHz were obtained that were nearly as small as for audiometry up to 8 kHz. Age-related reference curves for the higher frequencies are presented. The results on 100 ears of patients treated with platinum-derivatives show the importance of high-frequency audiometry for the early detection of ototoxicity.

Certains médicaments ont un effet toxique sur l'oreille interne (ototoxicité). Cet effet se produit d'abord au niveau des hautes fréquences et peut ětre détecté plus töt par audiométrie dans les fréquences de 8 à 20 kHz que par audiométrie conventionnelle. Bien que la position des écouteurs sur la těte puisse influencer le seuil des hautes fréquences, nous avons obtenu des écarts-types presqu'aussi petits qu'avec audiométrie jusqu'à 8 kHz. Des courbes de référence en fonction de l'aˇge sont présentées. L'importance de l'audiométrie dans les hautes fréquences pour la détection précoce d'un effet ototoxique est démontrée à partir des résultats obtenus chez 100 malades traités par des dérivés du platine.  相似文献   

7.
Résumé

II existe environ 3% de la population qui présentent des déficits auditifs chroniques tels que cela les rend incapables, sans difficultés, de communiquer avec leurs semblables. Parmi ces malentendants, 1/5 ont besoin d'une amplification électroacoustique. Les appareils portès au niveau de la těte conviennent à 65% de nos patients, tandis que 35% ont des déficits auditifs d'une telle gravité qu'il leur faut des appareils portés dans la poche.

A mon avis la clinique d'audiologie idéale se trouve dans un hôpital; elle doit comprendre une quinzaine de services et compter 2 otolaryngologistes, un ingènieur, un technicien, un instituteur, une assistante sociale, 4 audiométristes, 2 techniciens dentaires, et 3 sténo-dactylos. Chaque personne d'une telle équipe doit se sentir complémentaire des autres, chacune doit comprendre les charges des autres, et tous parler la měme langue. Une surface de 400 à 500 mètre carrés est nécessaire comprenant 3 chambres insonores, une salle spéciale pour l'examen des enfants, un atelier de réparation ainsi que d'autres pièces nécessaires. Une clinique d'audiologie peut convenir pour une population de 500,000 habitants et servir à 4,000 à 5,000 clients chaque année.

Au Danemark, les Centres Nationaux de Réhabilitation ont la responsabilité du bien ětre des malentendants; leurs buts principaux sont: l'examen du fonctionnement auditif des enfants et des adultes; l'essai des appareils auditifs, s'il ne leur reste aucune autre possibilité; la recherche; l'éducation et la prophylaxie. Les frais moyens de l'appareillage acoustique atteignent $75. pour chaque malentendant.

L'achat des appareils est fait par soumissions publiques, afin de stimuler la compétition parmi les constructeurs. On mesure le gain de chaque appareil à l'aide d'une oreille artificielle, et de plus on fait l'examen des appareils des enfants quatre fois par an.

On peut calculer la pression sonore actuelle d'un appareil dans la portion la plus basse du conduit auditif d'un patient à l'aide d'une sonde et d'un microphone à condensateur (Voir fig. 2). La courbe de réponse de fréquence d'un appareil dans les 2 cc. d'une cavité d'oreille artificielle, ne correspond pas avec des courbes de pression sonore dans le conduit auditif des malentendants (Voir fig. 3).

La manière de procéder pour choisir un appareil convenable à un malentendant se fait à l'aide de l'audiomètrie vocale. On cherche à réduire le déficit vocal jusqu'à un déficit de moins de 30 dB, et à un déficit de discrimination inférieur à 20%. Dans des cas difficiles on se sert de la méthode appelée ←minibox-audiometry→.

L'appareil convenable une fois trouvé, toute une organisation nationale est mise à la disposition du malentendant pour compléter son rétablissement.  相似文献   

8.
Résumé

Bien qu'on ait reproché aux enquětes faites parmi la population d'ětre des etudes ←Ex post facto→, ces enquětes indiquent bien cependant les corrélations qui existent entre des mesures différentes. Elles ont done une certaine valeur en ce sens que toutes les explications scientifiques doivent ětre exprimés en fonction de rapports de dépendance établis. En outre, le rapport de cause à effet concernant deux variables corrélatives peut souvent ětre déterminé par induction.

L'examen direct de groupes choisis au hasard parmi différentes populations a révélé comme conséquence l'existence d'un affaiblissement aussi bien temporaire que persistant du seuil de la perception acoustique et autant pour les hautes que pour les basses fréquences de l'exposition au trauma acoustique. On a également démontré l'existence d'une contrariété subjective, par example à propos du bruit des avions, et qui, comme l'indique l'emploi de la měme méthode, varie en fonction du niveau du bruit et du nombre d'avions entendus par jour.

II est souhaitable que les enquětes sur la perception acoustique faites parmi la population répondent aux conditions suivantes:

1. Emploi de groupes choisis au hasard parmi la population, 2. obtention d'un pourcentage minimum d'erreurs, 3. preuve valable de l'age des sujets, 4. connaissance détaillée de. l'exposition de longue date ou récente au bruit, 5. vérification de l'histoire détaillée de l'exposition aux hasards audiologiques latents autres que le bruit, 6. examen otoscopique des sujets, 7. emploi d'un audiomètre stable, calibré, au rendement contrôlé, 8. disponibilité d'une salle d'examen aménagée pour obtenir une bonne acoustique, et 9. analyses des bruits professionnels.  相似文献   

9.
Résumé

Presque tous les enfants sourds ont encore des restes auditifs de basses fréquences, qui se prětent à une transformation de la parole. Au moyen d'une telle transformation on peut obtenir un code, dont les composantes principales se trouvent dans la zone fréquentielle encore conservée chez l'enfant sourd. ll a apparu qu'une telle parole synthétique peut ětre utilisée avantageusement pour la démutisation des enfants sourds (Institut Manilla près de Stockholm). L'auteur décrit la méthode et discute les résultats qui se rapportent spécialement aux consonnes.  相似文献   

10.
Proper choices of stimuli and of brain stem electric responses allow us to estimate peripheral auditory thresholds at 500,1 000, 2 000 and 4 000 Hz with an accuracy of about ±10 dB. With the help of sedation (secobarbital), such audiograms may be obtained from each ear of a child of any age in a single session.

Tone pips (filtered clicks) or very brief tone bursts give a frequency selectivity that is clinically adequate. The rise time must be adjusted to the center frequency. A rise time of two periods with a plateau from zero to one period gives a good compromise between frequency specificity and a synchronous neural discharge.

The best threshold indicator for tone pips of 2 000 Hz or higher (or unfiltered clicks) is P6 (Jewett V). At 60 dB nHL its latency is 6.0-7.0 ms (for children of 1 year or older), but near threshold it is 8.0-9.5 ms. An input pass-band of 140-3 000 Hz is appropriate.

The best threshold indicator at 500 or 1 000 Hz is a nearly neglected slower wave with a scalp-negative crest at about 10 ms following a 60-dB click. Latency is 15 ms following a 500-Hz tone pip at 15 dB SL. We call this wave ‘slow negative (ten)’ or SN10. To see it well a wider input pass-band such as 40-3 000 Hz is needed. SN10 is usually obscured by P6 or by frequency-following response at stimulus levels above 35 dB SL.

The details are given of a clinical routine that allows the determination (±10 dB) of 8 threshold endpoints within about 80 min. Several precautions and limitations are discussed, and also the origin of the SN10 wave.

En choisissant des stimuli appropriés, il est désormais possible, grâce aux réponses auditives rapides (réponse du tronc cérébral), d'établir, avec une précision de ± 10 dB, les seuils auditifs périphériques pour les fréquences de 500, 1 000, 2 000 et 4 000 Hz. En utilisant un sédatif (sécobarbital) intramusculaire, les seuils auditifs d'enfants de tous âges peuvent être déterminés pour chaque oreille au cours d'une seule séance. Pour l'application clinique, les »tone pips« (clics filtrés) ou les »tone bursts« de très courte durée donnent une sélectivité de fréquence suffisante. La pente d'attaque doit être adaptée à la fréquence du stimulus. Une pente d'attaque de deux périodes avec un plateau variant de zéro à 1 période constitue un bon compromis entre la spécificité fréquentielle et une décharge neurale synchronisée.

Le meilleur indicateur du seuil tant avec des clics non-filtrés qu'avec les »tone pips« (pour les fréquences de 2 000 Hz ou plus) est l'onde P6 (Jewett V). Sa latence à 60 dB nHL varie de 6,0 à 7,0 ms (chez l'enfant âgé de 1 an ou plus); près du seuil cependant, la latence varie de 8,0 à 9,5 ms. Nous recommandons l'utilisation d'un filtre rejetant les fréquences inférieures à 140 Hz et supérieures à 3 000 Hz.

Pour 500 ou 1 000 Hz, le meilleur indicateur de seuil est une onde lente jusqu'ici négligée et ayant une crête front-négative; elle apparaît a environ 10 ms à la suite de la présentation d'un clic de 60 dB; sa latence est de 15 ms pour un »tone pip« de 500 Hz à 15 dB SL. Nous avons nommé cette onde »slow negative (ten)« ou SN10. Afin de mieux la voir, il est nécessaire d'avoir un filtre passe-bande d'entrée de 40 à 3 000 Hz. La SN10 est habituellement voilée par l'onde P6 (Jewett V) ou par la réponse en frequence (FFR) lorsque le stimulus dépasse 35 dB SL.

Nous donnons ici les details d'un test clinique permettant de déterminer 8 seuils au cours d'une séance de 80 min; plusieurs précautions et limitations de cette procédure sont mentionnées. Nous discutons aussi l'origine de l'onde SN10.  相似文献   

11.
Low-frequency tone bursts (250, 500 and 1 000 Hz) were used to elicit frequency-following responses (FFRs) from full-term, healthy neonates. Easily identifiable FFRs were recorded from all well babies with stimulation at low-to-moderate levels (30-45 dB HLn). The amplitude and threshold values of neonatal FFRs were not significantly different from those of normally hearing adults. As in the adult, neonatal FFRs elicited by tone burst stimuli of 250 and 500 Hz were of greater amplitude and were observed at lower stimulus levels than FFRs recorded at higher frequency stimuli. At stimulus levels of 65 dB HLn, latency to the first peak in the FFR decreased as a function of increasing stimulus frequency. Neonatal FFRs evoked by tone bursts of 250 and 500 Hz exhibited significantly longer latencies compared to FFR recordings obtained from adults. These results suggest that: (1) Low-frequency basilar membrane sensitivity in neonates can be assessed as early as the first day of life. (2) The response properties of the FFR recorded from neonates were similar to the response properties of the FFR recorded from the adult. (3) For infants who fail conventional brainstem-evoked response screening procedures and/or for infants who are born ‘at risk’, the FFR holds great promise as an assessment technique to determine the integrity of the low-frequency-sensitive regions of the cochlea and auditory brainstem.

Chez des nouveau-nés en bonne santé nous avons utilisé des tone-bursts de faible intensité (30-45 dB HLn) a 250, 500 et 1 000 Hz afin d'obtenir des réponses suivant la fréquence (FFR). Les différences entre les amplitudes et les seuils des FFR chez les nouveau-nés et chez des adultes normaux ne sont pas significatives. Comme chez l'adulte, les FFR néo-natales obtenues avec des tone-bursts de 250 et 500 Hz étaient de plus grande amplitude, et furent observées a une intensité plus faible que celles enregistrées avec des tone-bursts de fréquence plus haute. Avec 65 dB HLn, la latence jusqu'au premier pic du FFR diminuait quand on augmentait la fréquence du stimulus. Les FFR néo-natales, avec des tone-bursts de 250 et 500 Hz, avaient des latences notablement plus longues que celles observées chez les adultes. Ces résultats suggèrent que: 1) la sensibilité de la membrane basilaire aux frequences basses des nouveaunes peut etre evaluee des le premier jour de la vie; 2) les caractéristiques des FFR chez les nouveau-nés ressemblent à celles des adultes et 3) chez les enfants pour lesquels on n'obtient pas de réponse avec l'audiométrie BSER (brainstem-evoked response) ordinaire, ou chez les enfants »a risque«, l'enregistrement des FFR offre un moyen d'apprécier l'intégrite des régions de la cochlée sensibles aux basses fréquences et des voies auditives du tronc cérébral.  相似文献   

12.
Assessing and evaluating auditory acuity and behaviour in retarded children and in experimental animals poses many technical difficulties. These problems may be resolved through the technique of averaging evoked telemetered brain activity. EEG averaging techniques are presently gaining considerable respect as meaningful approaches to auditory assessment. We find that the addition of radio telemetry to these averaging techniques offers greater flexibility in the test situation as well as an infinite number of possibilities for the simultaneous study of the psycho-electrophysiological correlates of audition in unsedated and unrestrained subjects.

The telemetry system which has eight transmission channels is used in the following manner: evoked brain activity is picked up via silver-silver chloride scalp electrodes from human subjects, and from chronic stainless steel electrode bundles in animal subjects. The transmitted signal is received by a regular antenna and receiver and then the signal is directed to a rather unique detector and pulse selection unit.

Throughout the experiments behavioural records are developed via microphone by the report of an observer. This spoken report is recorded as a pen deflection on one channel of the EEG record and on magnetic tape. The acoustical signal used as the stimulus triggers the averaging computer and is also displayed on the EEG record and on a magnetic tape. As the experiment is completed, definite time relationships between reported behavioural activity, the EEG record and the stimulus signal become immediately apparent.

Résumé

La mesure et l'évaluation de la réaction et de l'acuité auditives chez les enfants retardés et les animaux de laboratoire posent de nombreux problèmes techniques. Ils peuvent cependant ětre résolus graˇce à la méthode des moyennes ayant pour base la télémétrie de l'activité cérébrale. Les techniques des moyennes EEG font actuellement de plus en plus autorité en tant qu'approche significative de la mesure auditive. Nous trouvons que la combinaison de la radio-télémétrie avec la méthode des moyennes offre une très grande souplesse en matière de test, de měme qu'un nombre infini de possibilités pour l'étude simultanée des corrélations psycho-électro-physiologiques de l'audition chez les sujets sous l'effet de drogues ou dans leur état normal. Le système télémétrique a huit canaux de transmission et fonctionne de la manière suivante: L'excitation de l'activité cérébrale est recueillie par des électrodes (argent-chlorure d'argent) placée sur le cuir chevelu du sujet humain et par des électrodes fixes en acier inoxydable placées sur l'animal. Le signal est transmis puis reçu par une antenne de type classique et ensuite il est dirigé vers un centre de détection et de sélection d'impulsions très perfectionné.

Les réactions du sujet sont rapportées et commentées par un observateur graˇce à un microphone. Ce rapport parlé est enregistré par la deflection de la plume enregistreuse sur un canal EEG et sur une bande magnétique. Le signal acoustique utilisé comme excitant déclenche l'ordinateur chargé de faire les moyennes et est aussi enregistré sur le système EEG et sur bande magnétique. Lorsque l'expérience est terminée, le rapport ←temps→ entre les réactions du sujet, l'enregistrement et le signal d'excitation, deviennent immédiatement apparents.  相似文献   

13.
Measurement of the acoustic stapedial reflex parameters has proved to be a useful tool for evaluating the function of the acoustic-facial reflex. However, there is no agreement about the definitions of the parameters; moreover, most of the data have been obtained by manual measurement methods. The authors describe a computerized analytical method which permits the parameters to be measured according to the definitions and methods suggested by others and according to the new analytical method described, which is performed on the basis of the derivative of the stapedial reflex curve. The two methods are compared in 40 normal subjects.

La mesure des paramètres de la courbe de réponse du réflexe stapédien donne des renseignements pour l'évaluation de la fonction du réflexe acoustico-facial. II n'existe pourtant pas d'accord sur la définition des paramètres et la plupart des données ont été relevées manuellement. Dans ce travail les auteurs présentent un systeme d'analyse à l'aide d'un ordinateur qui permet de mesurer les paramètres du réflexe stapédien avec les méthodes généralement employées, d'après les définitions données par d'autres auteurs, et par une nouvelle méthode d'analyse, fondée sur l'étude de la dérivée de la courbe de réponse du réflexe. On décrit la nouvelle méthode d'analyse et on compare les résultats obtenus à l'aide des deux méthodes chez 40 sujets normaux.  相似文献   

14.
Résumé

Les temps de réaction nous offrent une méthode idéale pour mesurer les effets sensoriels très petits. Cette méthode permet aussi à l'opérateur de contrôler le comportement du sujet en situation expérimentale. Nous avons utilisé cette méthode pour étudier les relations entre les temps de réaction et l'intensité d'un son pur en présence d'un autre son de fréquence différente sur la même oreille ou sur l'autre oreille; l'intensité du son masquant pouvaît aussi être modifyée.

Les temps de réaction diminuent d'abord rapidement, puis plus lentement avec l'intensité, mais les courbes se déplacent sur l'axe des abscisses avec le seuil masqué. Aussi la pente des courbes varie avec le seuil masqué de la même façon que celle des courbes de recrutement. L'asymptote des courbes n'est pas en relation simple avec le seuil masqué, mais dépend peut-être de l'intensité totale. Aussi, quand l'intensité des «pips» devient plus grande que celle du son masqué, il y a un changement brusque dans les courbes; on passe peut-être alors d'un effet d'inhibition à un effet de facilitation.  相似文献   

15.
Résumé

II y a vingt ans les appareils de prothèse auditive à lampe procuraient un gain acoustique suffisant, et les niveaux d'intensité convenaient à la plupart des malentendants appareiliés. On tenait à une courbe de réponse uniforme et lentement ascendante, ce qui était à peu près réalisé en pratique. On venait de perfectionner l'écouteur en l'accouplant à un embout moulé en matière plastique et adapté à l'individu, mais il était nécessaire de porter le boitier principal sur la poitrine. Partout, sauf en Grande Bretagne, la distribution des prothèses auditives était le fait des fabricants des commercants; la science audiologique se trouvait dans l'enfance.

Aujourd'hui nos orateurs résumeront ce qui s'est passé pendant ces vingt ans. M. Lybarger soulignera la miniaturisation progressive des appareils, accomplie sans sacrifice pour le fonctionnement électroacoustique, sauf en ce qui concerne la légère limitation du gain acoustique. Le Dr. Ewertsen décrira l'organisation et le fonctionnement d'un grand centre national moderne de la réhabilitation des malentendants, aussi que sa manière de procéder pour accorder la courbe de réponse d'une audioprothèse avec une surdité particulière, et pour la règlementation de la fabrication des prothèses.

Le Dr. Decroix nous montrera en film sa technique d'appareillage stéréo-phonique binaural. Enfin le Dr. Hirsh nous expliquera pourquoi les différentes courbes de réponse électroacoustique des appareils ne s'accordent pas, comme on l'a cru jadis, avec les déficits particulièrs de discrimination des individus possédant des audiogrammes différents. Certes, il existe des appareils qui peuvent accomoder tout le monde, mais le problème éternel du rapport son-masque et les imperfections de l'audiométrie vocale empěchent l'obtention parfaite d'avantages uniques. Le Dr. Hirsh discutera aussi des avantages de l'audition binaurale de l'application étendue des prothèses auditives aux enfants sourds.  相似文献   

16.
Résumé

Des études expérimentales ont été faites sur l'adaptation de la stimulation du son dans le but de trouver une nouvelle méthode valable pour ce genre de mesure, et de discuter les résultats obtenus par cette méthode.

Dans notre expérience, «l'audiomètre de type Békésy» a été employé pour régulariser et enregistrer le changement d'intensité du son donné dans l'oreille de contrôle.

La fréquence donnée provenant de l'audiomètre, fut divisée en deux canaux: un des canaux conduisait à l'oreille comme “test-tone”, l'autre passant par l'interrupteur automatique et par l'atténuateur de genre Békésy, avec enregistrement à la plume, fut conduit à l'autre oreille du sujet comme contrôleur du son.

Le sujet réglant le bouton de l'atténuateur du type Békésy, réglait l'intensité du contrôle du son de sorte que les sons arrivant dans les deux oreilles étaient entendus toujours à la meme grandeur.

La quantité de l'adaptation du son qui se fit dans l'oreille d'essaie fut mesurée et enregistrée comme changement d'intensité du contrôle du son durant l'expérience aussi longtemps que l'examinateur le désirait.

Les résultats obtenus furent de près en accord avec ceux des investigateurs précédentes. Ces recherches furent discutées à plusieurs points de vue.  相似文献   

17.
Two experiments were performed on newborn babies; one on audio-frequency and the other on audio-intensity discrimination. The technique was to stimulate the babies with sounds until they ceased to respond according to a criterion. Then the appropriate acoustic variable was changed and the response reappeared. The results suggest that the audio-frequency discrimination was not due to fatigue in the sensory end organ but rather to some central process. Additionally, individual differences in discriminative capacity are considered.

Résumé

Des nouveaux nés ont été soumis à deux expériences; I'une sur la discrimination des fréquences auditives, I'autre sur la discrimination des variations d'intensité tonale. On a présenté un ton comme stimulus, jusqu'au moment oil les bébés ont cessé de répondre. Ensuite, le signal acoustique variable a été changé et la réponse a réapparu.

Les résultats suggèrent que la discrimination des fréquences auditives n'est pas la conséquence de la fatigue auditive au niveau de la cochlée mais qu'elle dépend d'un processus plus central.

En outre sont considérées des différences individuelles de capacité discriminative.  相似文献   

18.
Auditory evoked potentials are nearly all on-effects and the ‘effective stimuli’ for them are necessarily brief. Their frequency specificity is therefore limited, especially for the brainstem responses, because of the well-known trade-off between duration and frequency specificity. Brainstem responses are of special interest because they are unchanged in the sleeplike sedation that is required for difficult-to-test children. The middle-latency responses do not meet this requirement. Two patterns of tone burst that are appropriate and promising for the slow cortical potentials and for brainstem potentials, respectively, have rise and fall times of 2 periods of the modulated tone and plateaus of 10 (or 7) periods and 1 period, respectively. Their behavioral thresholds are nearly insensitive to difference in repetition rate between 4 and 40 stimuli/s. Their peak equivalent SPL threshold values at 500, 1 000, 2 000 and 4 000 Hz have been determined for 16 otologically normal ears. Using these reference levels, audiograms have been obtained for subjects with impaired hearing. The audiograms for ‘flat’ hearing losses do not differ significantly from the corresponding conventional pure-tone audiograms. The slopes for steep high-frequency hearing losses are underestimated, however, particularly with the brief (2-1-2) pattern. Nevertheless, the 2-1-2 pattern appears to be close to the best possible compromise.

Les potentiels auditifs sont presque toujours évoqués par l'effet «on» de stimuli nécessairement brefs. Leur spécificité fréquentielle est done limitée, en particulier pour les réponses du tronc cérébral, en raison de la relation inverse entre la pureté et la durée du stimulus. Les réponses évoquées du tronc cérébral sont d'un intérět particulier parce qu'elles ne sont pas affectées par les sédatifs qui doivent souvent ětre administrés aux enfants difficiles à tester. Ce qui n'est pas le cas pour les réponses de latence moyenne. Deux types de sons pulsés paraissent adéquats et prometteurs pour les potentiels corticaux lents et pour les potentiels du tronc cérébral; ils ont chacun un temps de montée et de descente de 2 périodes du son modulé et un plateau de 10 (ou 7) ou d'une période. Les seuils auditifs sont pratiquement insensibles aux différences de cadence de répétition entre 4 et 40 stimuli/s. Nous avons déterminé les seuils (dB SPL) à 500, 1 000, 2 000 et 4 000 Hz chez 16 personnes ayant une audition normale. A l'aide de ces résultats nous avons fixé des normes de référence (nHL). Ensuite, nous avons établi des audiogrammes chez des personnes souffrant d'une déficience auditive. Les résultats sont comparables à l'audiogramme tonal lorsque la perte auditive est la měme à toutes les fréquences. Avec les stimulus brefs (2-1-2), les seuils dans la région en pente de l'audiogramme chez les personnes atteintes d'une surdité de type neuro-sensorielle avec chute sur les hautes fréquences sont sous-estimés. Néanmoins, il nous semble que ce dernier type de stimulus constitue un des meilleurs compromis possible.  相似文献   

19.
The pure-tone masking technique has been employed to determine the contributions of neural activity from different cochlear regions to the click-evoked auditory brain stem response (compound ABR). ABR to broad-band clicks were recorded without and with simultaneous presentation of pure tones of frequencies ranging from 8 to 0.5 kHz. Derived ABRs for individual frequency bands were obtained by subtracting the masked responses from the unmasked ones. To determine the contributions to the compound ABR, masked and derived ABRs were compared with unmasked responses. The frequency specificity of the contributions was more distinct at lower rather than at higher stimulus intensities. Independent of stimulus intensity, the 8- to 2-kHz regions turned out to be the main sources of waves I-V in the compound ABR, whereas waves VI and VII seem to be predominantly generated by contributions from regions specific for 1 and 0.5 kHz. The main advantage of the pure-tone masking technique as compared with the tone pip stimulation is that contributions from the low-frequency regions become more clearly detectable. The validity of this technique has been proved by comparing the compound ABR with the sum of the derived ABRs. The comparison of ABRs derived by pure-tone masking with those derived by conventional high-pass noise masking did prove the validity of the technique as well.

Composantes spécifiques en fréquence extraites des réponses évoquées du tronc cérébral au moyen 'un masquage par son pur

La technique de masquage par son pur a été utilisée pour déterminer les contributions des activités nerveuses de différentes régions de la cochlée dans l'élaboration des réponses du tronc cérébral évoquees par des clics (RETC composites). Les RETC à des clics largesbandes furent enregistrées sans et avec la présentation simultanée de sons purs à des fréquences allant de 8 à 0,5 kHz. Les réponses ainsi dérivées pour différentes bandes de fréquences furent obtenues en soustrayant la réponse masquée de la réponse nonmasquée. Pour déterminer les contributions individuelles aux RETC composites, les réponses masquées et dérivées furent comparées aux réponses nonmasquées. La spécificité fréquentielle des contributions fut plus nette aux faibles 'aux fortes intensités. Indépendamment de 'intensité du stimulus, les régions de 8 à 2 kHz se sont révélées ětre les sources principales des ondes I à V des RETC, tandis que les ondes VI et VII semblent ětre générées principalement par les contributions des régions spécifiques de 1 et 0,5 kHz. 'interět principal de la technique de masquage par sons purs, par rapport à 'utilisation de stimulations par clics filtrés est que la contribution des régions basses-fréquences devient plus facilement décelable. La validité de cette technique a été éprouvée en comparant la RETC composite avec la somme des RETC dérivées. La comparaison des RETC dérivées par masquage par son pur avec celles dérivées avec le moyen classique du masquage par bruit filtré passe-haut a également démontré la validité de la technique.  相似文献   

20.
Brain stem auditory-evoked responses to a 70 dB SL click masked by high-passed noises were recorded in 12 normal hearing subjects. By applying the technique of derived potentials, the contributions of one-octave-wide frequency bands are assessed. Summation of these derived potentials gives a pattern similar to the unmasked-response waveform. Waves I and III show a strong predominance of high-frequency responses, whereas wave V is discernible down to low-frequency responses.

Les potentiels évoqués de la cochlée et du tronc cérébral sont enregistrés chez 12 sujets conjointement stimulés par un clic de 70 dB SL et des bruits passe-haut. En utilisant la technique des potentiels dérivés, les contributions de bandes de fréquence d'une octave sont analysées. La sommation de ces différents potentiels dérivés donne naissance à une courbe voisine de la réponse au clic non masqué. Les ondes I et III présentent principalement des contributions de fréquence aiguë, tandis que l'onde V est également générée par les bandes de fréquence grave.  相似文献   

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