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1.
Resumen Desde la introducción del anticonceptivo oral combinado (AOC), se ha registrado una disminución considerable de los efectos secundarios iniciales, atribuibles a la naturaleza de los agentes de estos productos. Con más de 60 millones de usuarias de ila píldorai en el mundo entero, su eficacia bien demostrada se ha arraigado con el mejoramiento continuo de su perfil clínico. La aceptabilidad de la píldora se ha visto afectada como resultado de los riesgos percibidos, que son a menudo controvertidos, aumentados y exagerados por la prensa no especializada sensacionalista. Lamentablemente, los medios de difusión no destacan los numerosos beneficios importantes para la salud, aparte de su eficacia en prevenir el embarazo. Estos beneficios comprenden una reducción de más del 50% en la incidencia del cáncer de ovario y de endometrio, una reducción de la anemia por deficiencia de hierro, una menor incidencia de enfermedades benignas de la mama, una reducción de los quistes ováricos funcionales y una menor predisposición a la enfermedad inflamatoria pélvica.En esta presentación se señalarán brevemente los numerosos beneficios que tiene la píldora para la salud. Estos beneficios contrarrestan con creces los peligros, que han estado disminuyendo durante el uso de la píldora, atribuidos en parte a las mejoras en las formulaciones y también a la reducción de las dosis, especialmente de estrógeno. La dosis de progesterona también se ha reducido. Asimismo, se han introducido algunos agentes progestágenos más específicos que también mejoran la composición endocrina de las mujeres que toman la píldora, aumentando su bienestar. Es muy posible que la administración más selectiva de la píldora excluyendo a las mujeres que corren riesgo de complicaciones haya intervenido en los mejores resultados para las usuarias de la píldora así como en el mejoramiento de los productos. Sin embargo, los riesgos cardiovasculares y las tromboembolias continúan siendo motivo de ansiedad ya que estos riesgos aumentan entre las usuarias de la píldora, si bien hay otros factores patógenos involucrados. No obstante, continúa la controversia relativa al pequeño riesgo de tromboembolia y a si se relaciona con determinadas formulaciones de la píldora. Esto desencadenó un reciente ipánico de la píldorai en Europa, cuyos efectos no se han disipado aún. Debe aclararse si una formulación determinada entraña un menor riesgo de enfermedad cardiovascular y cardiopatía isquémica, en particular. La controversia relativa al riesgo de cáncer de mama en las mujeres que toman la píldora así como el riesgo de cáncer cervical genera controversia y los datos para resolver este asunto continúan siendo limitados.
Résumé Depuis l'introduction des contraceptifs oraux combinés (COC), il a été possible d'atténuer considérablement leurs effets négatifs initiaux grâce à la nature des éléments entrant dans la composition de ces produits. La pilule étant utilisée dans le monde entier par plus de 60 millions de femmes, son efficacité a été prouvée par le profil clinique de celles-ci qui n'a pas cessé de s'améliorer. L'acceptabilité de la pilule a subi le contrecoup préjudiciable des risques percus, qui sont souvent sujet à des controverses alimentées et exagérées par les journaux à sensation. Malheureusement, les médias s'abstiennent de mettre en évidence les nombreux importants avantages des COC, en dehors de leur aptitude à prévenir des grossesses. Parmi ces avantages on peut citer: une réduction de plus de 50% de l'incidence du cancer ovarien et de l'endomètre, une diminution de l'anémie par carence de fer, une baisse des troubles mammaires bénins, une moindre fréquence des kystes ovariens fonctionnels et une plus faible prédisposition aux maladies pelviennes inflammatoires.Cet exposé fait brièvement allusion aux nombreuses incidences favorables de la pilule sur la santé. Ces avantages l'emportent sur les risques qui ont progressivement diminué depuis le début de l'utilisation de la pilule, en partie grâce aux améliorations apportées à sa formulation et, en particulier, à une réduction des oestrogènes dans le dosage. La dose de progestatifs a également diminué. En outre, des progestatifs ont été introduits dans la pilule, qui rehaussent l'acceptabilité et réduisent les effets secondaires. Il existe certains progestatifs spécifiques qui améliorent aussi l'état général des femmes utilisant la pilule et qui fortifient leur bien-être. Le fait d'avoir prescrit la pilule sélectivement, de manière à exclure les femmes présentant des risques de complications, aura sans doute joué un rôle non seulement dans l'amélioration des résultats de l'utilisation, mais aussi dans celle des produits. Il n'en reste pas moins que les risques cardio-vasculaires et thromboemboliques demeurent une source de préoccupation car ces risques sont plus élevés chez les utilisatrices de la pilule, encore que d'autres facteurs pathogènes interviennent. Le faible risque de thromboembolie reste cependant sujet à controverses, notamment pour ce qui concerne le risque lié à des compositions particulières de pilules. Ce sujet a récemment déclenché en Europe une ialarme à la pilulei, dont l'importance doit encore être résolue. Il y aurait lieu de déterminer clairement si une certaine formule comporte en particulier moins de risques de maladies cardio-vasculaires et d'ischémie cardiaque. Les risques de cancer du sein et de carcinome du col chez les femmes prenant la pilule soulèvent des controverses que les données disponibles sont insuffisantes à résoudre.


Presented at the IXth World Congress on Human Reproduction, Philadelphia, USA, May 28-June 2, 1996. This paper is published in the Proceedings of the IX World Congress by the Parthenon Publishing Group, London, UK.  相似文献   

2.
A survey was made of 375 Russian gynecologists. The questionnaire on family planning and contraceptives was distributed at the beginning of three local educational symposia. Almost all participants filled in the questionnaire on attitudes, knowledge and experience with family planning. The sample consisted of departmental specialists and heads of departments/clinics, working mainly at in-or out-patient women's health clinics. The mean age was 37 years; 83% were women, living in medium-sized or large cities (80%). Half of them had been working as a gynecologist for more than 10 years. Only 55% had been trained in family planning. The main reasons mentioned for the high abortion rate in Russia were the lack of education, non-involvement of male partner, and lack of modern contraceptives. Most of the gynecologists were in favor of special family planning clinics with special attention to services for the users. About half of the physicians knew how the pill works and estimated that 41% of women know that the pill contains estrogens. Sixty-two percent found that patients are badly informed about available contraception. Main sources of information on contraception were journals/books, colleagues and mass media. The majority reported having a directive style of patient counseling, and stated that parents should be informed of their teenager's sexual experiences. The more experienced physicians with a training in family planning were better informed on contraception and showed a more patient-concerned attitude. It is concluded that health care providers should be the main target group of training and education in family planning, and need the support of Western European family planning organizations.Resumé Une enquête a été menée auprès de 375 gynécologues russes. Un questionnaire portant sur le planning familial et les contraceptifs a été distribué au début de trois colloques éducatifs locaux. Les participants ont presque tous rempli ce questionnaire sur les attitudes, les connaissances et les expériences en matière de planning familial. L'échantillon est composé de spécialistes de services et de chefs de services/cliniques travaillant pour la plupart dans des cliniques pour femmes en consultations externes ou internes. L'âge moyen était de 37 ans: 83% étaient des femmes vivant dans des villes de taille moyenne ou grande (80%). La moitié d'entre eux étaient gynécologues depuis plus de 10 ans. A peine 55% avaient reçu une formation en matière de planning familial. La principale raison évoquée pour expliquer le pourcentage élevé d'avortements en Russie concernait le manque d'éducation, le désengagement du partenaire masculin et le manque de contraceptifs modernes. La plupart des gynécologues se sont prononcés en faveur de cliniques spécialisées en planning familial, particulièrement orientées vers l'assistance à fourmir aux utilisatrices. Environ la moitié des cliniciens savent comment fonctionne la pilule. Ils supposent que 41% des femmes savent que la pilule contient des oestrogènes. L'expérience de 62% d'entre eux laisse penser que les patientes sont mal informées sur la contraception mise à leur disposition. Les principales sources d'information sur la contraception dont dispose le médecin sont les revues/livres, les collègues et les médias. La majorité d'entre eux a indiqué que leur rôle était de conseiller les patients et que les parents des jeunes devraient être informés des expériences sexuelles de ceux-ci. Les cliniciens les plus expérimentés, qui ont bénéficié d'une formation en matière de planning familial, sont mieux informés au sujet de la contraception et font preuve d'une attitude plus ouverte à l'égard des patientes. L'exposé conclut que ceux qui dispensent les soins de santé doivent constituer le principal groupe cible pour l'éducation et la formation en matière de planning familial et qu'ils ont besoin d'être appuyés par les organisations de planning familial d'Europe occidentale.
Resumen Se realizó un estudio entre 375 ginecólogos rusos. Un cuestionario sobre planificación familiar y anticonceptivos se distribuyó al principio de tres simposios educativos locales. Casi todos los participantes llenaron el cuestionario sobre actitudes, conocimientos y experiencia en materia de planificación familiar. La muestra consistió en especialistas de departamentos y jefes de departamento/clínicas, que trabajaban principalmente en clínicas de mujeres con consultas internas y externas. La edad media era 37 años; el 83% eran mujeres que vivían en ciudades de tamaño mediano o grande (80%). La mitad eran ginecólogos desde hacía más de 10 años. Sólo el 55% había sido capacitado en materia de planificación familiar. Las principales razones citadas para explicar el alto porcentaje de abortos en Rusia se referían a la falta de educación, la falta de interés del compañero y la escasez de anticonceptivos modernos. La mayoría de los ginecólogos se mostraron a favor de clínicas especializadas en planificación familiar, orientadas en particular a los servicios prestados a las usuarias. Alrededor de la mitad de los médicos clínicos saben cómo funciona la píldora. Suponen que el 41% de las mujeres saben que la píldora contiene estrógenos. La experiencia del 62% de ellos indica que las pacientes están mal informadas acerca de los anticonceptivos disponibles. Las principales fuentes de información sobre anticonceptivos de que disponen los médicos son las revistas/libros, los colegas y los medios de difusión. La mayoría señaló que orienta a las pacientes y que los padres de adolescentes debían estar informados de las experiencias sexuales de éstas. Los médicos de más expriencia, que habían sido capacitados en materia de planificación familiar, están mejor informados sobre los anticonceptivos y manifiestan una actitud más abierta con respecto a las pacientes. Se llega a la conclusión de que los proveedores de atención de la salud deben constituir el principal grupo a alcanzar en la esfera de la capacitación y educación sobre planificación familiar. y que se necesita el apoyo de organizaciones de planificación familiar de Europa Occidental.
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3.
A survey was held among 155 gynecologists of the former Czech and Slovak Federal Republic (CSFR) who visited a national gynecological congress. The sample was fairly comparable to the total group of Czech and Slovak gynecologists concerning sex, age and county. Questions were asked on personal and professional characteristics, experience with the provision of contraception, attitudes toward family planning and knowledge about contraception. Almost all gynecologists rejected abortion as a birth control method and mentioned the lack of sex education, non-use of contraception and the widespread use of traditional contraceptive methods as main reasons for the high prevalence of abortion. About 60% of the physicians thought that at least some women would rather have an abortion than use contraception. According to the physicians, special family planning services should be developed and delivered by gynecologists. Opinions on proper services for teenagers varied. Only a few physicians felt that patients should pay the full price of contraceptives. Physicians' knowledge about the pill was found to be insufficient. The physicians overestimated the knowledge of their female patients about the pill. Apart from books and journals, colleagues and pharmaceutical firms were reported as important information sources. Overall, the present survey showed that introduction of well structured pre- and postgraduate courses in family planning should be encouraged.
Resumen Se realizó un estudio entre 155 ginecólogos de la antigua República Federal Checa y Eslovaca que asistieron a un congreso nacional de ginecología. La muestra fue comparable en general con el grupo total de ginecólogos checos y eslovacos en cuanto a sexo, edad y región. Se formularon preguntas relativas a características personales y profesionales, experiencia en la provisión de anticonceptivos, actitudes relativas a la planificación familiar y conocimientos del uso de anticonceptivos. Casi todos los ginecólogos rechazaban el aborto como método de control de la natalidad y mencionaban la falta de educación sexual, el no uso de anticonceptivos y la utilización difundida de los métodos anticonceptivos tradicionales como motivos principales del gran predominio del aborto. Alrededor del 60% de los médicos consideraban que al menos algunas mujeres preferían tener un aborto a utilizar anticonceptivos. Según los médicos, debían desarrollarse servicios especiales de planificación familiar, proporcionados por ginecólogos. Había divergencia de opiniones en cuanto a servicios apropiados para adolescentes. Muy pocos médicos consideraban que las pacientes debían pagar el precio completo de los anticonceptivos. Se observó que el conocimiento de los médicos acerca de la píldora era insuficiente. Los médicos sobrestimaban el conocimiento de sus pacientes de sexo femenino acerca de la píldora. Aparte de libros y publicaciones, se citaba a colegas y compañías farmacéuticas como fuentes importantes de información. En general, este estudio señaló que debía fomentarse la introducción de cursos de planificación familiar bien estructurados para estudiantes y para diplomados.

Resumé Une enquête a été menée auprès de 155 gynécologues de l'ancienne République tchèque et slovaque lors d'un congrès national de gynécologie. L'échantillon était assez représentatif de l'ensemble des gynécologues tchèques et slovaques du point de vue de leur sexe, âge et origine. Des questions leur ont été posées au sujet de leurs particularités personnelles et professionnelles, leur expérience en tant que pourvoyeurs de moyens contraceptif, leurs attitudes â l'égard du planning familial et leurs connaissances sur la contraception. Ils ont presque tous exclu l'avortement en tant que mesure de régulation des naissances et imputé la fréquence considérable des avortements principalement au manque d'éducation sexuelle, â la non utilisation des contraceptifs et â l'application généralisée des méthodes traditionnelles de contraception. Environ 60% des médecins ont estimé que certaines femmes au moins préféreraient un avortement âl'utilisation de contraceptifs. Selon les médecins, il faudrait développer des services de planning familial spéciaux et les placer sous la responsabilité de gynécologues. Quant aux services spécialement destinés aux adolescents, les avis étaient partagés. Peu de médecins seulement pensaient que les patientes devraient prendre en charge la totalité des coûts de la contraception. Les connaissances des médecins au sujet de la pilule se sont avérées insuffisantes; ils surestimaient les connaissances des patientes â cet égard. En dehors des livres et des journaux, les collègues et les sociétés pharmaceutiques étaient des sources d'information importantes. Dans l'ensemble, cette enquête a montré qu'il y aurait lieu d'encourager la mise en place de cours bien structurés de planning familial au niveau pré et post-universitaire.
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4.
The success or failure of oral contraceptive (OC) use depends very heavily on the type and extent of the counseling a woman is given both before and during pill administration. If she selects the OC as her method of choice after considering all the options, a clear, detailed, and accurate discussion should ensue about its proper use; any fears that she may have should be explored; and great emphasis should be placed on the advantages and effectiveness of our current pills and, above all, on their numerous health benefits. All her questions should be answered in a thorough and empatic fashion, and she should be encouraged to ask for additional answers at any time in the future. Finally, if her history reveals that she is at risk for sexually transmitted diseases (STDs), she must be informed that the pill, while highly protective against unplanned pregnancy, will not provide protection against most STDs or HIV infections, and that she should also use condoms and/or a female barrier contraceptive with each act of intercourse.El éxito o fracaso de los anticonceptivos orales (AO) depende en muy gran medida del tipo y grado de información dada a la mujer antes y durante la administración de la píldora. Si ella selecciona el AO como método de elección después de considerar todas las opciones, debe procederse a una discusión clara, detallada y exacta acerca de su uso correcto; se debe conversar acerca de cualquier temor que ella pueda tener y debenn destacarse las ventajas y la eficacia de las actuales píldoras y, sobre todo, los numerosos beneficios que tienen para la salud. Se debe responder a todas las preguntas de la paciente de modo completo y enfático, y se le debe alentar a que formule preguntas adicionales en cualquier momento en el futuro. Por último, si su historia clínica revela que corre riesgo de contraer enfermedades transmitidas por contacto sexual, se le debe informar de que, si bien la píldora protege en muy gran medida contra un embarazo no planificado, no proporciona protección contra la mayoría de esas enfermedades o infecciones por HIV, y que debe utilizar preservativos y/o un anticonceptivo femenino de barrera en cada acto sexual.Le succès ou l'échec dans l'utilisation des contraceptifs oraux dépend très largement du type et de l'étendue du conseil donné à la femme avant et pendant l'utilisation de la pilule. Si la femme choisit les contraceptifs oraux après avoir pris en compte toutes les autres possibilités, une information claire, détaillée et précise lui sera donné à propos de sa propre utilisation. Toutes les peurs qu'elle pourra avoir seront explorées. Une grande insistance sera mise sur les avantages et l'efficacité des pilules actuelles et surtout sur leurs nombreux avantages pour la santé. On répondra à toutes ses questions de façon convainquante et on l'encouragera à poser toutes les questions voulues par la suite. Finalement, si son histoire révèle qu'elle présente un risque de transmission de MST (Malades sexuellement transmis), on l'informera que la pilule, même si elle montre une très haute protection contre les grossesses non désirées, ne protège pas contre les MST ou le SIDA et qu'elle doit aussi utiliser un préservatif à chaque relation.  相似文献   

5.
Family planning in Italy   总被引:1,自引:0,他引:1  
In the past 5 years, four knowledge, attitude and practice (KAP) surveys on family planning have been organized by the Unit of Population Survey Methodology of the Istituto Superiore di Sanita' (National Institute of Health). These surveys show that during the past 20 years, use of reliable contraceptives in Italy has increased, particularly in the North, encouraged by the more open attitude toward sexual behavior, following legalization of the provision of information on contraception and abortion upon request, and other social and cultural changes.In 1989 and 1991, 25% of women in Central and Southern Italy were using the pill or an IUD. However, the percentage of women not using contraceptives was still high (26% in 1989, and 19% in 1991) and withdrawal was the most widley used method (31% and 33%). The data show large regional differences.The main reasons for not using contraception, in the 1989 study, were fear of side-effects and ignorance, especially in the youngest and oldest women. Those least likely to use modern contraception were the young, the ill-educated and the nulliparous women.Lack of information seems to be the main problem in Italy. In fact, the 5044 women interviewed showed a medium level of knowledge of contraception, with only 63% who could identify correctly the fecund period in the menstrual cycle. However, their attitude toward the use of modern contraception was positive; 65% of the women interviewed said they would recommend the Pill or an IUD to a friend, and 10% of them would recommend condoms.Induced abortion is still common in Italy (13 reported abortions per 1000 women aged 15–44), although the incidence has steadily decreased since 1982. In the vast majority of cases, abortion was an emergency measure after the failure of contraceptive methods. It has been calculated that from 10% to 50% of induced abortions might be prevented in a short period through appropriate programs of health education and family planning involving the 2474 governmental maternal and child healt clinics in Italy.
Resumen En los 5 últimos años, la Sección de Metodología de Encuestas Demográficas del Istituto Superiore di Sanità realizó cuatro estudios de conocimiento, actitud y práctica (KAP) respecto a la planificación familiar. Estos estudios indican que, en los 20 últimos años, el uso de anticonceptivos fiables en Italia ha aumentado, especialmente en el norte, fomentado por una actitud más abierta en cuanto a la conducta sexual, tras la legalización y otros cambios sociales y culturales.En 1989 y 1991, el 25% de las mujeres de la región central y meridional de Italia utilizaban la pídora o el DIU. Sin embargo, el porcentaje de mujeres que no utilizaban anticonceptivos continuaba siedo alto (26% en 1989 y 19% en 1991) y elcoitus interruptus era el método más utilizado (31% y 33%). Los datos indican grandes differencias regionales.Los motivos principales de la no utilización de anticonceptivos, en el estudio de 1989, eran el temor a los efectos secundarios y la ignorancia, especialmente entre las mujeres de menor y de mayor edad. Las que probablemente menos utilizaran anticonceptivos modernos eran las mujeres jóvenes, las de bajo nivel de educación y las nulíparas.La falta de información parece ser el problema principal en Italia. En realidad, las 5044 mujeres entrevistadas tenían un nivel medio de conocimiento y sólo el 63% pudo identificar correctamente el período de fecundidad del ciclo menstrual. Sin embargo, su actitud respecto al uso de anticonceptivos modernos era positiva; el 65% de las mujeres entrevistadas manifestaron que recomendarían la píldora o el DIU a una amiga y el 10% de ellas recomendarían preservativos.El aborto provocado continúa siendo común en Italia (13 abortos notificados por cada 1000 mujeres de 15–44 años de edad) si bien su incidencia ha disminuido constantemente desde 1982. En la gran mayoría de los casos, el aborto era una medida de emergencia después del fracaso de un método anticonceptivo. Se ha calculado que del 10 al 50% de los abortos provocados podría impedirse en un plazo breve mediante programas apropiados de educación sanitaria y planificación familiar con la participación de las 2474 clínicas maternoinfantiles estatales de Italia.

Resumé Au cours de cinq dernières années, le service chargé de la méthodologie pour les enquêtes sur la population à l'Istituto Superiore di Sanità a organisé quatre enquêtes sur les connaissances, les attitudes et les pratiques en matière de planning familial. Ces enquêtes ont révélé qu'au cours de vingt dernières années en Italie, l'utilisation de contraceptifs fiables s'est répandue, notamment dans le nord du pays, encouragée par une attitude plus ouverte à l'égard du comportement sexuel à la suite de changements législatifs et autres dans le domaine social et culturel.En 1989 et 1991, 25% des femmes en Italie centrale et méridionale utilisaient la pilule ou un DIU. Le pourcentage de femmes ne faisant appel à aucune méthode de contraception était cependant encore élvé (26% en 1989 et 19% en 1991) et le retrait était la méthode la plus fréquemment adoptée (31% et 33%). Les données font apparaître d'importantes différences régionales. D'après l'étude de 1989, les raisons essentielles du non emploi des contraceptifs provenaient de la crainte d'éventuels effects secondaires et de l'ignorance, surtout chez les juenes et les femmes plus âgées. Les femmes les moins susceptibles de faire appel à la contraception moderne étaient les jeunes, les femmes peu éduquées et les nullipares.Le manque d'information semble être le problème principal en Italie. En fait, les 5044 femmes interrogées ont fait preuve de connaissances moyennes sur la contraception, 63% à peine étant capables d'identifier correctement la période de fécondité du cycle menstruel. Leur attitude à l'égard de la contraception moderne était cependant positive; 65% des femmes interrogées ont répondu qu'elles recommanderaient la pilule on un DIU à une amine, et 10% qu'elles recommanderaient le préservatif.Les avortements provoqués sont encore fréquents en Italie (13 avortements signalés pour 1000 femmes de 15 à 44 ans), mais leur incidence a progressivement diminué dequis 1982. Dans la grande majorité des cas, l'avortement est une mesure d'urgence après l'échec des méthodes de contraception. On a calculé que 10 à 50% des avortements provoqués pourraient être évités en peu de temps si l'on prévoyait des programmes appropriés d'éducation sanitaire et de planning familial dans les 2474 cliniques maternelles et infantiles qui existent en Italie.


This paper is a revised version of one presented at the Workshop Acceptance and Effectiveness of Modern Contraception, organized by the International Health Foundation at the SAC Meeting, Barcelona, Spain, October 1992.  相似文献   

6.
This paper presents and discusses data on oral contraception from a national representative survey (n-1072) on knowledge, attitudes and practice with regard to contraceptive use in the Czech and Slovak Federal Republic (CSFR). Only 7% of the women at risk of unplanned pregnancy used the pill. The low rate of use seems to be due to the general negative image of oral contraception, reinforced by the experiences of past users and opinions expressed by relative, friends, doctors, and the media. In particular, perceived psychological disadvantages have an important bearing on the decision not to use the method, whereas perceived advantages have hardly any impact. It is likely that this negative image is closely linked with the types of oral contraceptives that have been available in the country and also with the limited choice. Second- and thirdgeneration oral contraceptives have only very recently become available. It is recommended that balanced information on the advantages and disadvantages of oral contraception be made available to doctors and to the general public on a large scale and through a variety of channels.
Resumen En este trabajo se presentan y examinan datos relativos a anticonceptivos orales de una muestra representativa nacional (n=1072) sobre los conocimientos, actitudes y prácticas de utilización de anticonceptivos orales en la República Federal Checa y Eslovaca. La píldora se utiliza muy poco: el 7% de las mujeres corre el riesgo de un embarazo no planificado. Este porcentaje bajo se debe, según parece, usuarias y las opiniones expresadas por parientes, amigas, médicos y medios de difusión. En particular, ciertas percepciones en cuanto a desventajas psicológicas ejercen un efecto importante sobre la decisión de no recurrir a este método, mientras que la percepción de ventajas prácticamente carece de efecto. Es probable que esta imagen negative esté estrechamente relacionada con los tipos de anticonceptivos orales disponibles en el país así como su elección limitada. Los anticonceptivos orales de la segunda y tercera generación sólo existen ahí desde hace poco. Se recomienda facilitar información equilibrada sobre las ventajas y desventajas de los anticonceptivos orales a los médicos y al público en general, en gran escala y a través de numerosos medios diferentes.

Resumé Cet exposé présente et examine les données sur la contraception orale tirées d'une enquête nationale représentative (n=1072) sur les connaissances, attitudes et pratiques de l'utilisation des contraceptifs en République fédérale tchèque et slovaque. La pilule est très peu utilisée: par 7% des femmes risquant une grossesse non planifiée. Ce faible pourcentage semble être d à l'image généralement négative de la contraception orale, renforcée par l'expérience d'anciennes utilisatrices et les avis exprimés par des parents, amies, médecins et les médias. En particulier, certaines perceptions d'inconvénients psychologiques ont d'importantes incidences sur la décision de ne pas faire appel à cette méthode, alors que les avantages connus n'ont pratiquement aucun effet. Il est possible que cette image négative soit étroitement liée aux types de contraceptifs oraux disponibles dans ce pays ainsi qu'à leur choix limité. Les contraceptifs oraux de deuxième et troisième génération ne sont disponibles que depuis très peu de temps. Il est recommandé de mettre largement à la disposition des médecins et du grand public, par de nombreux moyens différents, une information équilibrée sur les avantages et les inconvénients de la contraception orale.
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7.
Currently, the pill and IUD account for 83% of contraceptive use in Egypt; Norplant will be an important complement to those methods of family planning. In Egypt where childbearing begins early, and closely spaced pregnancies are the norm, the long duration of Norplant's effectiveness and its relative ease of use should be appealing. The Egyptian Fertility Care Society (EFCS) initiated a study in 1988 on the acceptability of Norplant in Egypt to study the clientele of the EFCS clinical trial in the five university teaching hospitals.The clinical trial participants were women in their thirties who had an average of four children. Most had used a method of family planning before Norplant, and were anxious to maintain contraceptive protection as most wanted no more children. Satisfaction with Norplant among users was high. In the survey, 93% of the women expressed satisfaction with the method. More than half (67%) of the women said they would consider using Norplant again in the future, and another 22% were undecided. Eighty-seven percent of the women who had not discontinued were planning to continue with their current Norplant set for the full five years.Egyptian women like Norplant because of its long duration of effectiveness, the site of insertion, its ease of use, and its relative lack of perceived side-effects compared to the pill and IUD. In Egypt where a reliable, long-term, but not permanent method of contraception is badly needed, Norplant should become a popular method of family planning.
Resumen La píldora y el DIU representan actualmente el 83 por ciento de la utilización de anticonceptivos en Egipto (EDHS, 1989); el Norplant será un complemento importante de los métodos de planificación familiar utilizados. En Egipto, donde se comienza a tener hijos a edad temprana y los embarazos con poco intervalo entre sí son lo habitual, la duración prolongada de la eficacia del Norplant y su relativa facilidad de uso habrán de ser características atractivas. La Asociación de Atención de la Fecundidad en Egipto (EFCS) inició en 1988 un estudio sobre la aceptabilidad del Norplant en Egipto a fin de examinar la clientela del ensayo clínico de la EFCS en los cinco hospitales escuela universitarios.Las participantes del ensayo clínico eran mujeres de edad comprendida entre los treinta y cuarenta años que tenían en promedio cuatro hijos. La mayoría había utilizado un método de planificación familar antes del Norplant y tenía gran interés en mantener la protección anticonceptiva ya que no deseaba tener más hijos. Las mujeres manifestaron un alto nivel de satisfacción con el Norplant. En el estudio, el 93 por ciento de las mujeres se mostraron satisfechas con el método. Más de la mitad (67 por ciento) de las mujeres dijeron que considerarían volver a utilizar el Norplant en el futuro y el 22 por ciento de las mujeres se mostraron indecisas. El 87 por ciento de las mujeres que no habían interrumpido el uso proyectaban continuarlo con su actual Norplant durante el período completo de cinco años.A las mujeres egipcias les agrada el Norplant por su prolongada duración de eficacia, el lugar de inserción, su facilidad de uso y su relativa falta de effectos secundarios advertidos en comparación con los de la píldora y el DIU. En Egipto, donde se necesita en gran medida un método anticonceptivo fiable, de larga duración pero no permanente, el Norplant podría llegar a ser un método popular de planificación familiar.The Norplant system is a long-acting, low-dose, progestin-only contraceptive method for women. The drug, levonorgestrel, is delivered by means of six silastic capsules implanted subdermally in the arm by a minor surgical technique. Effectiveness is achieved by the steady release of the progestin from the interior of the capsules through the silastic into the blood. A level of levonorgestrel sufficient to prevent conception is reached 24 hours after placement and is maintained for more than five years [1].

Résumé Actuellement, la pillule et le dispositif intra-utérien représentent 83% des moyens contraceptifs utilisés en Egypte (EDHS, 1989). Norplant apportera un complément important à ces méthodes de planning familial. En Egypte, où les femmes sont très jeunes en âge de procréer et où les grossesses se succèdent généralement à intervalles très rapprochés, la longue durée et l'efficacité de Norplant ainsi que la facilité relative de son utilisation devraient être attrayantes. L'association égyptienne qui s'occupe des questions de fécondité (EFCS) a entrepris en 1988 une étude sur l'aaceptabilité de Norplant en Egypte. Cette étude porte sur des patientes qui se sont soumises à un essai clinique parrainé par l'EFCS dans cinq hôpitaux universitaires.Les femmes participant à l'essai clinique étaient toutes âgées de 30 à 40 ans et avaient en moyenne quatre enfants. La plupart avaient fait appel à une méthode de planning familial avant d'utiliser les implants et souhaitaient continuer à bénéficier d'une protection contraceptive car elles voulaient, pour la plupart, ne plus avoir d'enfants. Les utilisatrices de Norplant ont témoigné d'une très grande satisfaction. Au cours de l'enquête, 93% des femmes se sont dites satisfaites de la méthode. Plus de la moitié (67%) ont précisé qu'elles envisageraient d'utiliser Norplant dans l'avenir, alors que 22% n'en étaient pas absolument certaines. De celles qui n'avaient pas abandonné la méthode, 87% prévoyaient de continuer à utiliser leur série courante de Norplant pour la période complète de cinq années.Les femmes égyptiennes aiment Norplant en raison de la longue durée d'efficacité, du site d'insertion, de la facilité d'utilisation et de l'absence relative d'effets secondaires perçus, par comparaison avec la pillule et les DIU. En Egypte, où il est absolument nécessaire de pouvoir compter sur une méthode de contraception fiable, à long terme mais non permanente, Norplant devrait devenir une méthode populaire de planning familial.
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8.
Killick  S. R.  Bancroft  K.  Oelbaum  S.  Morris  J.  Elstein  M. 《Advances in Contraception》1990,6(1):33-40
The effect of increasing the duration of the pill-free interval from 7 to 9 and 11 days during the first 4 months of combined oral contraceptive therapy was studied by hormonal, ovarian follicle and mucus changes. Increasing the pill-free interval allowed more follicular development and more estradiol production. In some cases, pre-ovulatory values were achieved although ovulation did not occur. No differences could be detected between different types of combined oral contraceptive, including monophasic, triphasic, levonorgestrel-containing and gestodene-containing. The variation between individuals in the group of 28 was far greater than any variation in dose.
Resumen Se estudió durante los primeros 4 meses de un tratamiento anticonceptivo oral combinado el efecto de la prolongación de la duración del intervalo entre la toma de píldoras, de 7 a 9 y 11 días, en función de los cambios hormonales, del folículo ovárico y del moco. La prolongación del intervalo sin píldora permitió un desarrollo folicular mayor y una producción más alta de estradiol. En algunos casos se alcanzaron los niveles preovulatorios, pero sin que se produjera la ovulación. No pudo observarse diferencia alguna entre los distintos tipos combinados de anticonceptivos orales, inclusive los monofásicos, los trifásicos, los que contenían levonorgestrel y los que contenían gestoden. Las variaciones entre los diferentes sujetos de un grupo de 28 mujeres eran mucho mayores que cualquier variación de la dosis.

Resumé On a étudié pendant les 4 premiers mois d'un traitement contraceptif oral combiné l'effet d'une prolongation de la durée d'intervalle entre la prise de pillules, de 7 à 9 et 11 jours, en fonction des changements hormonaux, du follicule ovarien et du mucus. Le prolongement de l'intervalle sans pillule a entraîné un développement folliculaire plus important et une plus grande production d'oestradiol. Dans certains cas les niveaux préovulatories ont été atteints, mais sans que l'ovulation ne se produise. Aucune différence n'a pu être décelée entre les différents types combinés de contraceptifs oraux, y compris les monophasiques, les triphasiques, ceux qui contenaient du lévonorgestrel et ceux qui contenaient du gestodène. Les variations entre les différents sujets d'un groupe de 28 femmes étaient beaucoup plus sensibles que n'importe quelle variation de dose.
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There have been changes in the national policy regarding population growth in Malaysia from 1982. This report studies the changes in contraceptive practice among the three racial groups in this country, i.e. Malays, Chinese and Indians, over a 5-year period with an interval of 10 years. This is a retrospective study based on the attendance at the same family planning clinic in an urban setting. The striking change noted is the change in the racial composition of contraceptive usage in the two study periods with a shift from the Chinese being predominant in 1975–1979 to Malays in 1985–1989. There was no change among the numbers of Indians using contraception. The results also reveal a significant trend of change for users of the pill and those undergoing sterilization. There were no significant changes in IUD, condom and injectable usage.The study demonstrates how national policies, level of education and rural urban migration can significantly alter contraceptive practice.
Resumen Desde 1982 se han producido cambios en la política nacional de Malaysia relativa al crecimiento demográfico. Este estudio examina los cambios en las prácticas anticonceptivas de los tres grupos étnicos del país — malayos, chinos e indios — durante un período de 5 años y con un intervalo de 10 años. Se trata en realidad de un estudio retrospectivo basado en las visitas a la misma clínica de planificación familiar en un ambiente urbano. El cambio más notable observado se relaciona con la composición racial de los grupos que utilizaban anticonceptivos en el curso de los dos períodos en cuestión. Los chinos, que constituían el grupo predominante de 1975 a 1979, fueron reemplazados por los malayos durante el período comprendido entre 1985 y 1989. No se observó cambio alguno en el número de indios que recurrían a anticonceptivos. Los resultados revelan asimismo una tendencia significativa al cambio de parte de quienes tomaban la píldora y de quienes habían elegido la esterilización. No se observó ninguna modificación significativa respecto de la utilización de DIU, preservativos y preparados inyectables.Este estudio demuestra cómo las políticas nacionales, los niveles de educación y las migraciones del ámbito rural al ámbito urbano pueden influir considerablemente sobre las prácticas anticonceptivas.

Resumé Depuis 1982 en Malaisie, une nouvelle orientation a été donnée à la politique nationale concernant la cruissance démographique. L'étude présentée examine comment ont évolué, sur une période de 5 ans et avec un intervalle de 10 ans, les pratiques contraceptives adoptées par les trois groupes ethniques du pays, à savoir les Malais, les Chinois et les Indiens. Il s'agit en fait d'une étude rétrospective fondée sur les visites à la même clinique de planning familial en milieu urbain. Le changement le plus frappant se rapporte à la composition raciale des groupes utilisant les contraceptifs au cours des deux périodes en question. En effet, les Chinois, qui constituaient le groupe prédominant de 1975 à 1979, ont été remplacés par le groupe malais durant la période de 1985 à 1989. Quant au nombre des Indiens faisant appel à la contraception, il est resté le même. Les résultats font également ressortir une tendance significative au changement de la part de celles qui soit prenaient la pilule soit choisissaient la stérilisation. Aucune modification significative n'est apparue en ce qui concerne l'utilisation des DIU, des préservatifs et des préparations injectables.Cette étude démontre comment les politiques nationales, le niveau d'instruction et les migrations du milieu rural au milieu urbain peuvent considérablement influer sur les pratiques contraceptives.
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The aim of the investigation was to study sources of information on sexuality, contraceptives and STDs among young people as well as their experiences of and opinions on the matter. A questionnaire was distributed to 192 high-school pupils in the Stockholm area. The mean age of the participants was 17.4 years.The majority stated that school teachers and individual reading are the best sources of information. Female students more often relied on friends and family members than male students.Among those who had had their sexual debut, many stated that condom use was hard to practice.
Resumen El objetivo de este estudio fue examinar las fuentes de información sobre la sexualidad, anticonceptivos y STD entre los jóvenes, así como sus experiencias y opiniones en estas cuestiones. Se distribuyó un cuestionario entre 192 alumnos secundarios de la región de Estocolmo. La edad media de los participantes era de 17,4 años.La mayoría de ellos manifestaron que sus mejores fuentes de información eran los profesores y las lecturas personales. Las estudiantes señalaban una mayor tendencia a consultar con amigas y con miembros de la familia que los estudiantes de sexo masculino.Entre los que ya tenían actividad sexual, un número considerable dijo que el uso de preservativos era difícil de practicar.

Resumé L'objectif de la présente étude était d'examiner les sources d'information sur la sexualité, les contraceptifs et les MST chez les jeunes, ainsi que leurs expériences et leurs opinions dans ces domaines. Un questionnaire a été distribué à 192 élèves d'écoles secondaires dans la région de Stockholm. L'âge moyen des participants était de 17,4 ans.La majorité d'entre eux ont répondu au'ils trouvaient leurs meilleures sources d'information auprès des enseignants et dans des lectures personnelles. Les étudiantes avaient plus tendance à s'adresser à des amies et à des membres de la famille que leurs homologues masculins.Parmi ceux qui étaient déjà sexuellement actifs, bon nombre ont précisé que l'utilisation de préservatifs était difficile à pratiquer.
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The bleeding patterns recorded by women using one of two new types of long-acting hormonal contraception, a levonorgestrel-releasing vaginal ring or a monthly injectable, have been compared with those in an untreated group and those experienced by women using either a combined oral contraceptive (OC) or depotmedroxyprogesterone acetate (DMPA).The frequency of bleeding was very similar between the combined pill users, the ring users and the untreated women, who all recorded an average of 3.2–3.3 bleeding/spotting episodes every 90 days. Monthly injectable users had slightly fewer episodes. Women using a monthly injectable or a vaginal ring had longer bleeding/spotting episodes (5 days) than combined pill users (4 days). However, the untreated women and DMPA users had the longest episodes, averaging 6 days. The median value of the within-woman mean length of bleeding-free intervals was 20.6 days among ring users, 22.3 days in the untreated group, 23.6 days among women given a combined OC or a monthly injectable, and 27.4 days in the DMPA group.Women using any of the long-acting methods had more variable bleeding patterns than untreated women or combined pill users. Over a year of method use, however, the lengths of the bleeding-free intervals recorded by vaginal ring and monthly injectable users became more predictable. It is concluded that these newer methods do not produce the marked bleeding disturbances seen with DMPA.
Resumen Los tipos de hemorragias en mujeres que utilizaban uno de los dos nuevos tipos de anticonceptivo hormonal de efecto prolongado, un anillo vaginal de liberación de levonorgestrel o una dosis mensual inyectable, se compararon con las de un grupo no tratado y con las de las mujeres que utilizaban ya fuera un anticonceptivo oral combinado (AO) o acetato de depometroxiprogesterona (DMPA).La frecuencia de las hemorragias era muy parecida entre las usuarias de la píldora combinada, las usuarias del anillo y las mujeres no tratadas. Todas señalaron un promedio de 3.2–3.3 episodios de p érdidas o microrragias cada 90 días. Las usuarias de inyecciones mensuales registraron un poco menos de episodios. La inyección mensual o el anillo vaginal provocaron episodios de pérdidas o microrragias más prolongadas (5 días) que las usuarias de la píldora combinada (4 días). Sin embargo, las mujeres no tratadas y las usuarias de DMPA presentaron los episodios más prolongados, de 6 días en promedio. Los promedios de la duración de intervalos sin hemorragia fueron de 20.6 días entre las usuarias del anillo, de 22.3 días en el grupo no tratado, de 23.6 días entre las mujeres que utilizaban un AO combinado o un anticonceptivo mensual inyectable, y de 27.4 días en el grupo de DMPA.Las mujeres que utilizaban los métodos de acción prolongada tenían modalidades de hemorragia más variables que las mujeres no tratadas o que utilizaban la píldora combinada. No obstante, en un período de utilización de un año, la longitud de los intervalos sin hemorragia se tornaba más previsible entre las mujeres que utilizaban el anillo vaginal o la inyección mensual. Se llegó a la conclusión de que estos métodos más recientes no producen las perturbaciones hemorrágicas observadas con DMPA.

Resumé Les types d'hémorragies signalés par les femmes utilisant un des deux nouveaux types de contraception hormonale à effet prolongé, un anneau vaginal libérant du lévonorgestrel ou une dose mensuelle injectable, ont été comparés aux hémorragies survenant dans un groupe non traité, et à celles ressenties par des femmes utilisant soit une contraception orale combinée (CO) soit un acétate de dépométroxyprogestérone (DMPA).La fréquence des hémorragies était très semblable chez les utilisatrices de la pilule combinée, chez celles utilisant l'anneau, et chez les femmes non traitées. Elles ont toutes indiqué une moyenne de 3,2–3,3 épisodes de saignement ou de microrragies tous les 90 jours. Les utilisatrices d'injections mensuelles ont signalé un peu moins d'épisodes. L'injection mensuelle ou l'anneau vaginal ont provoqué des épisodes d'hémorragies ou de microrragies plus prolongés (5 jours) que ceux qui résultaient de l'utilisation de la pillule combinée (4 jours). Toutefois, les femmes non traitées et les utilisatrices de DMPA ont présenté les épisodes les plus longs, en moyenne de 6 jours. Les moyennes de la durée des intervalles sans hémorragie était de 20.6 jours chez les utilisatrices de l'anneau, de 22.3 jours dans le groupe non traité, de 23.6 jours chez les femmes utilisant ou CO combiné ou un contraceptif mensuel injectable, et de 27.4 jours dans le groupe au DMPA.Les femmes qui utilisaient les méthodes à action prolongée avaient des périodes hémorragiques plus variables que les femmes non traitées ou qui utilisaient la pillule combinée. Cependant, sur une période d'utilisation d'une année, la longueur des intervalles sans hémorragie devenait plus prévisible chez celles qui utilisaient l'anneau vaginal ou l'injection mensuelle. On en conclut que ces méthodes plus récentes ne produisent pas les perturbations hémorragiques constatées avec le DMPA.


This paper is based on a presentation given at the Seventh International Meeting of the Society for the Advancement of Contraception, which was held in Singapore on 4–11 November, 1990.  相似文献   

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This article examines the beliefs about Depo-Provera held by three groups of contraceptors utilizing urban family planning clinics in the United States (n=836). Patients choosing Depo-Provera, oral contraceptives, and Norplant were asked about their beliefs regarding Depo-Provera in the following four domains: effectiveness in preventing pregnancy, convenience, side-effects, and risk to health; and also for their perceptions regarding the physical discomfort and cost associated with the method.Findings reveal that patients choosing the pill and Norplant give Depo-Provera significantly lower ratings for both convenience and effectiveness than do Depo-Provera acceptors. Given the documented effectiveness of Depo-Provera, this is a potential cause for concern. Moreover, Norplant and pill choosers are most likely to hold inaccurate beliefs regarding both the cost of Depo-Provera, and certain side-effects associated with its use. Although more than half of all patients believe that Depo-Provera would cause menstrual changes and weight gain, it is noteworthy that the proportions are not higher, given their known association with the method. Knowledge about the likelihood of these side-effects is essential, particularly for those choosing Depo-Provera. Implications for physicians, counselors, and other family planning professionals are discussed.
Resumen Este artículo examina las creencias acerca de Depo-Provera en tres grupos de usuarias de anticonceptivos que recurrían a clínicas de planificación familiar en Estados Unidos (n=836). A las pacientes que escogieron Depo-Provera, anticonceptivos orales y Norplant se les preguntó qué pensaban de Depo-Provera en los cuatro aspectos siguientes: eficacia en prevenir el embarazo, conveniencia, efectos secundarios y riesgo para la salud, y también acerca de sus percepciones relativas al malestar físico y al costo asociados con el método.Los resultados revelan que las pacientes que escogieron la píldora y Norplant dieron a Depo-Provera una puntuación en cuanto a conveniencia y eficacia significativamente inferior a la de las mujeres que aceptaban Depo-Provera. Dada la eficacia documentada de Depo-Provera, ésta es una causa potencial de preocupación. Por otra parte, es más probable que las mujeres que eligen Norplant y la píldora tengan creencias inexactas relativas al costo de Depo-Provera y a ciertos efectos secundarios asociados con su uso. Si bien más de la mitad de las pacientes consideran que Depo-Provera causaría cambios menstruales y aumento de peso, cabe señalar que las proporciones no son más altas en vista de su asociación conocida con el método. El conocimiento de las probabilidades de estos efectos secundarios es esencial, especialmente para las que eligen Depo-Provera. Se tratan las repercusiones para los médicos, asesores y otros profesionales de la planificación familiar.

Resumé Cet article examine ce que pensent du Depo-Provera trois groupes de patientes fréquentant des cliniques de planning familial en zone urbaine aux Etats-Unis (n=836). On a demandé à des femmes qui avaient choisi d'utiliser le Depo-Provera, les contraceptifs oraux et le Norplant, d'abord ce qu'elles pensaient du Depo-Provera dans les quatre domaines suivants: efficacité à prévenir une grossesse, commodité, effets secondaires et risques pour la santé, ensuite quelle était leur attitude à l'égard de la gêne physique et du coût associé à cette méthode.Les résultats ont révélé que les patientes qui choisissent la pilule et Norplant attribuent au Depo-Provera des avantages significativement inférieurs à la commodité et à l'efficacité que ne le font celles qui utilisent Depo-Provera. Etant donné l'efficacité bien établie du Depo-Provera, il y a potentiellement lieu de s'inquiéter. En outre, les femmes qui avaient choisi Norplant et la pilule avaient davantage tendance à se faire une idée erronée non seulement du coût du Depo-Provera mais aussi de certains effets secondaires associés à son utilisation. Même si plus de la moitié de toutes les patientes croyaient que le Depo-Provera occasionnerait des changements dans le cycle menstruel et ferait prendre du poids, on peut néanmoins s'étonner du fait que cette proportion ne soit pas plus élevée, vu que l'on sait que ces inconvénients sont associés à cette méthode. Il est essentiel, surtout pour les femmes qui choisissent le Depo-Provera, de savoir que ces effets secondaires sont susceptibles de se manifester. L'article examine ce que cela signifie pour les médecins, les conseillers et les autres professionnels du planning familial.
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The postpartum period is an ideal time to begin contraception, as women are more highly motivated to adopt contraception at this time and it is convenient for both patients and service providers. For intrauterine device (IUD) contraception, this period offers other advantages, such as ease of insertion and minimal adverse impacts on breastfeeding. Among early studies, most postpartum insertions were performed anywhere from a few hours to seven days or more after delivery, and retention of the IUD in the uterus was poor. Since the 1970s, immediate postplacental insertion (IPPI), i.e., IUD insertion performed within 10 minutes after placental delivery, has been advocated, and fairly low expulsion rates have been reported. Up to now, IPPI has not been widely accepted in clinics because its expulsion rate still appears to be higher than that of interval insertion. In order to further study IPPI and perfect this contraceptive technique, it is essential to comprehensively review IPPI results and compare the Chinese experience with that of the rest of the world.
Resumen El período de posparto es el momento ideal para iniciar el uso de anticonceptivos, no sólo porque las mujeres están en ese momento más motivadas a adoptar un método anticonceptivo sino también porque este período es más práctico para las pacientes mismas y para el personal que las atiende. En lo que respecta a la anticoncepción mediante el DIU, este período ofrece otras ventajas, tales como la inserción fácil y un mínimo de consecuencias desfavorables desde el punto de vista del amamantamiento. Entre los primeros estudios realizados, la mayoría de las inserciones durante el posparto se realizaban entre algunas horas y siete días o más después del parto y la retención del DIU en el útero era deficiente. A partir de los años 70 se recomendó la inserción del DIU inmediatamente después de la expulsión de la placenta (IPPI), es decir, en los 10 minutos siguientes, registrándose tasas de expulsión más bien bajas. Hasta ahora, este método no ha sido aceptado ampliamente en las clínicas porque las tasas de expulsión continúan pareciendo más altas que en el caso de la inserción después de un intervalo. A fin de continuar estudiando la IPPI y perfeccionar esta técnica anticonceptiva, es esencial examinar exhaustivamente los resultados de la IPPI y comparar la experiencia de China con la del resto del mundo.

Resumé La période de post-partum est le moment idéal pour commencer la contraception, non seulement parce que les femmes sont à ce moment plus motivées pour adopter une méthode contraceptive mais aussi parce que cette période est plus pratique pour les patientes elles-mêmes et pour le personnel soignant. En ce qui concerne la contraception par les DIU, cette période offre d'autres avantages, tels que leur facilité d'insertion et un minimum de conséquences défavorables du point de vue de l'allaitement maternal. D'après les premières études réalisées, la plupart des insertions au cours du post-partum étainet pratiquées entre quelques heures et sept jours ou plus après l'accouchement et la rétention du dispositif par l'utérus laissait à désirer. Depuis les années 70, on préconise l'insertion d'un DIU immédiatement après l'expulsion du placenta (IPPI), c'est-à-dire dans les 10 minutes qui suivent, et on a observé des taux d'expulsion bien plus faibles. Jusqu'ici, cette méthode n'a pas été largement acceptée dans les cliniques car le taux d'expulsion semble encore être plus élevé que dans le cas de l'insertion après un intervalle de temps. Il est essentiel, pour la poursuite de l'étude de la méthode IPPI et pour perfectionner cette technique contraceptive, d'en réexaminer en profondeur les résultats et de comparer l'expérience chinoise à celle du reste du monde.
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Nota editorial     
Wide differences exist among European countries as regards national reimbursement schemes and the resulting individual expenditure on contraception. In this current research project annual expenditure and costs in the first year of use were calculated, taking into account existing reimbursement levels, for oral contraceptives, intrauterine devices, condoms, and sterilization in eight Western European countries: Italy, France, United Kingdom, Spain, West Germany, Austria, Sweden and Denmark. The costs were expressed in Swiss francs. For users of oral contraceptives it emerged that the annual expenditure on contraception ranged from nil in the United Kingdom to 172.32 Swiss francs in Austria. In the case of condoms, the cost to users was lowest in the United Kingdom (57.44 Swiss francs) and highest in Spain (105.95 Swiss francs). Expenditure on the use of an intrauterine device in the first year ranged from nil in the United Kingdom and Sweden ro 449.87 Swiss francs in Austria, while sterilization was carried out free of charge in France, West Germany and Denmark, as compared with a cost of 677.57 Swiss francs in Italy. The variation in expenditure was largely explained by the extent to which contraception costs are reimbursed in the respective countries. Correlation of the calculated expenditure on a method and its use did not show any statistically significant trend. This suggests that the wide differences in the choice of contraceptive methods between countries are not related to differences in national reimbursement schemes and resulting costs to users, and that other factors must be involved.
Resumen Hay grandes diferencias entre los países europeos en cuanto a programas nacionales de reembolso y los gastos individuales resultantes en métodos anticonceptivos. En el actual proyecto de investigación, se calcularon los gastos y costos anuales en el primer año de utilización, teniendo en cuenta los niveles existentes de reembolso relativos a anticonceptivos orales, dispositivos intrauterinos, preservativos y esterilización en ocho países de Europa Occidental: Italia, Francia, el Reino Unido, Españo, Alemania Occidental, Austria, Suecia y Dinamarca. Los costos se expresaron en francos suizos. En el caso de las mujeres que utilizaban anticonceptivos orales, se observó que el gastro anual en anticonceptivos variaba de cero en el Reino Unido a 172,32 francos suizos en Austria. En el caso de los preservativos, el costo para las usuarias registraba el nivel más bajo en el Reino Unido (57,44 francos suizos) y el más alto en Españo (105,95 francos suizos). Los gastos en la utilización de un dispositivo intrauterino en el primer año variaban de cero en el Reino Unido y Suecia a 449,87 francos suizos en Austria, mientras que la esterilización se realizaba gratuitamente en Francia, Alemania Occidental y Dinamarca, en comparación con un costo de 677,57 francos suizos en Italia. La variación en los gastos se explicaba en gran medida por el grado en que el costo de los anticonceptivos era reembolsado en los respectivos países. La correlación de los gastos calculados de un método y su utilización no indicó ninguna tendencia estadísticamente significativa. Ello sugiere que las grandes diferencias en la elección de métodos anticonceptivos entre países no están relacionadas con diferencias en los programas nacionales de reembolso y los costos resultantes para las usuarias y que podría haber otros factores involucrados.

Resumé Les régimes nationaux de remboursement des frais encourus individuellement pour la contraception varient énormément d'un pays européen à l'autre. Dans le projet de recherche actuel, on a calculé les dépenses et les coûts annuels durant la première année d'utilisation, en faisant entrer en ligne de compte les pourcentages de remboursement pour les contraceptifs oraux, les dispositifs intra-utériens, les préservatifs et la stérilisation dans huit pays européens: Italie, France, Royaume-Uni, Espagne, Allemagne de l'ouest, Autriche, Suède et Danemark. Les coûts sont exprimés en francs suisses. Pour les utilisatrices de contraceptifs oraux, il est apparu que la dépense annuelle allait de zéro au Royaume-Uni à 172,32 FS en Autriche. Dans le cas des préservatifs, le coût est le plus faible au Royaume-Uni (57,44 FS) et le plus élevé en Espagne (105,95 FS). Pour les dispositifs intra-utérins, les dépenses de la première année d'utilisation se sont situées entre zéro au Royaume-Uni et en Suède et 449,87 FS en Autriche, alors que la stérilisation est pratiquée gratuitement en France, en Allemagne de l'Ouest et au Danemark, par comparaison avec un coût de 677,57 FS en Italie. Cette variation des dépenses peut largement s'expliquer par la mesure dans laquelle les frais de contraception sont remboursés dans les différents pays. La corrélation entre les dépenses calculées pour une méthode et son utilisation n'a pas révelé de tendance statistiquement significative, ce qui semble indiquer que les importantes différences dans le choix de la méthode contraceptive d'un pays à l'autre ne sont pas liées aux différences entre les régimes de remboursement nationaux et les coûts qui en résultent pour les utilisateurs, mais que d'autres facteurs interviennent probablement.
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The sexual behavior of 539 Nigerian female students comprising 387 adults and 152 teenagers was studied. The overall incidence of sexual activity among the students was 51.2%. The incidence of sexual intercourse was significantly higher among adult students (61.0%) compared with teenagers (26.3%) (p<0.0005). There was no significant difference in the mean age at sexual debut for the adult students (18.7±3.2) compared with the teenage population (16.1±1.7). The frequency of sexual exposure was also not significantly different in the two groups (4.1±6.1 times per month for the adult students and 3.6±5.9 times per month for the teenage students). However, pregnancy occurred more often among the adult students (38.1%) than among the teenagers (15.0%) (p<0.005).This article looks at the psychosocial implications of adolescent sexuality and the overall relevance of adequate reproductive health education in encouraging responsible attitudes regarding sexuality among teenagers.
Resumen Se estudió la conducta sexual de 539 estudiantes nigerianas que comprendían 387 estudiantes adultas y 152 adolescentes. La incidencia general de actividad sexual entre las estudiantes fue del 51,2%. La incidencia de relaciones sexuales fue significativamente mayor entre las estudiantes adultas (61,0%) en comparación con la de las adolescentes (26,3%) (p<0,0005). No hubo ninguna diferencia significativa en la edad media de la primera relación sexual en el caso de las estudiantes adultas (18,7±3,2) en comparación con las adolescentes (16,1±1,7). La frecuencia de exposición sexual tampoco fue significativamente diferente en los dos grupos (4,1±6,1 veces por mes en el caso de las estudiantes adultas y 3,6±5,9 veces por mes en el de las adolescentes). Sin embargo, los embarazos se registraron con mayor frecuencia entre las estudiantes adultas (38,1%) que entre las adolescentes (15,0%) (p<0,005).En este artículo se examina la repercusión psicosocial de la sexualidad adolescente y la pertinencia general de una educación adecuada de la salud reproductora para alentar actitudes responsables entre las adolescentes con respecto a la sexualidad.

Resumé On a étudié le comportement sexuel de 539 étudiantes nigérianes, dont 387 adultes et 152 adolescentes. Pour l'ensemble, l'incidence d'activité sexuelle était de 51,2%, les rapports sexuels ayant été significativement plus fréquents chez les étudiantes adultes (61%) que chez les adolescentes (26,3%) (p<0,0005). Aucune différence significative n'a été retrouvée pour l'âge moyen du début de l'activité sexuelle entre le groupe d'adultes (18,7±3,2) et celui d'adolescentes (16,1±1,7). La différence n'était pas significative non plus en ce qui concerne la fréquence des rapports sexuels dans les deux groupes (4,1 ±6,1 fois par mois pour les adultes et 3,6±5,9 fois par mois pour les adolescentes), cependant que les grossesses se sont produites plus souvent chez les adultes (38,1%) que chez les adolescentes (15%) (p<0,005).Cet article examine ce qu'implique, du point de vue psycho-social, la sexualité des adolescentes et la pertinence générale d'une éducation adéquate sur la santé en matière de fonction reproductive, en vue d'encourager une attitude responsable à l'égard de la sexualité des adolescents.
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The oral pill is the most extensively used contraceptive in Indonesia. Of new users, 64% use the pill, 20% IUDs, 8% injectables, 6% condoms and 2% voluntary sterilization. Since the continuation rate of pill use is low as compared to the other non-permanent methods, i.e. the IUD and the injectables, special steps must be taken in order to reach the goal of the program, i.e. the reduction of the crude birth rate (CBR) to 22/1000 by the year 1990. These special steps involve selecting the best pill for Indonesian women, and determining the best contraceptive combination for each region and for new pill acceptors. The role of the oral pill in the program is also discussed.
Resumen La pastilla es el anticonceptivo más extonsamente usado en Indonesia. De los usuarios nuevos, 64% prefieren la pastilla, 20% los dispositivos intrauterinos, 8% los inyectables, 6% el condon y 2% la esterilizacion voluntaria. Puesto que la continuidad de los que usan la pastilla es baja si se la compara con la de los otros métodos no permanentes, por ejemplo los DIU y los inyectables, se deberán tomar medidas especiales con el objeto de cumplir con el propósito del programa, es decir, la disminución de la tasa bruta de nacimientos a 22/1000 para el año 1990. Estas medidas especiales implican seleccionar la mejor pastilla para la mujer indonesa y determinar la mejor combinación de anticonceptivos para cada región y para las nuevas aceptantes. También se discute el papel de la pastilla en el programa.

Resumé Les contraceptifs oraux constituent la principale méthode contraceptive utilisée en Indonésie. Parmi les femmes qui adoptent pour la première fois une méthode contraceptive, 64% utilisent la pilule, 20% le stérilet, 8% les produits injectables, 6% les préservatifs et 2% recourent à la stérilisation volontaire. Etant donné que le taux d'abandon de la pilule est plus élevé que celui des autres méthodes non définitives, est-à-dire le stérilet et les produits injectables, il faut adopter des mesures spécifiques si l'on veut atteindre l'objectif poursuivi, qui est de réduire le taux brut de natalité à 22/1000 en 1990. Ces mesures comportent notamment le choix de la pilule la mieux adaptée aux femmes Indonésiennes et la détermination de la combinaison contraceptive la mieux adaptée à chaque région et aux femmes n'ayant éncore jamais pris la pilule. On discute également la place des contraceptifs oraux dans ce programme.
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Female university students (n=241) visiting the Student Health Center participated in a study concerning sexual behavior (study I). A randomized postal survey (study II) with similar questions was also performed to verify the findings in the first study (n=137).The mean age was 23 years in both studies. Sexual experience was reported by 96% in study I and 87% in study II. Mean age at first intercourse and mean number of partners were similar; 17.6 years and 6 partners, respectively. Change of contraceptive type was frequent, and about one third had done so within the past two years. A common reason for adopting a new method was a change in social life. More than half the women were afraid of using oral contraceptives.Twenty-six percent of the students in study I and 29% in study II had had at least one sexually transmitted disease (STD). Forty-three percent claimed to have changed their sexual behavior as a result of AIDS publicity but condoms were used by less than 50% at the first intercourse with a new partner.Although this group of intelligent young people have access to information, many of them were risk-takers with respect to both unwanted pregnancies and STD. Misconceptions were frequent concerning the safety of OCs. It is clear that new approaches must be made to educate them about safe sexual practices.
Resumen Mujeres jóvenes universitarias (n=241) que concurrían al centro de medicina estudiantil participaron en un estudio sobre la conducta sexual (estudio No. 1). Se realizó asimismo una encuesta postal aleatorizada (estudio No. 2) con preguntas similares para verificar las conclusiones del primer estudio (n=137).La edad media en los dos grupos era 23 años. La experiencia sexual fue admitida respectivamente en el 96% de los casos (estudio No. 1) y en el 87% de los casos (estudio No.2). La edad media de la primera relación sexual y el número medio de compañeros fue similar: 17,6 años y 6 compañeros, respectivamente. El cambio de anticonceptivos era frecuente, y alrededor de un tercio de las estudiantes los había cambiado en los dos años anteriores. Entre las razones comunes de adoptar un nuevo método se contaba un cambio en el estilo de vida. Más de la mitad de las estudiantes tenía miedo de utilizar anticonceptivos orales.El 26% de las estudiantes del estudio No. 1 y el 29% de las estudio No. 2 había tenido al menos una enfermedad sexualmente transmisible. El 43% manifestó haber cambiado su conducta sexual como resultado de la publicidad sobre el SIDA pero menos del 50% utilizaba preservativos en la primera relación sexual con un nuevo compañero.Si bien este grupo de jóvenes supuestamente inteligentes tenía acceso a información, muchas de ellas corrían riesgos tanto con respecto a embarazos no deseados como a enfermedades sexualmente transmisibles. Con frecuencia se tenían conceptos erróneos respecto de la seguridad de los AO. Es evidente que es necesario adoptar nuevos enfoques a fin de educar a estas estudiantes respecto de las prácticas sexuales seguras.

Resumé Des jeunes femmes de milieu universitaire (n=241) qui fréquentaient le centre de médecine pour les étudiants ont participé à une étude sur le conportement sexuel (étude no. 1). Une enquête randomisée identique (étude no. 2) au moyen d'un questionnaire envoyé par la poste a également été conduite pour vérifier les conclusions de la première étude (n=137).L'âge moyen dans les deux groupes était de 23 ans. L'expérience sexuelle a été admise respectivement dans 96% des cas (étude 1) et dans 87% des cas (étude 2). L'âge moyen du premier rapport sexuel et le nombre moyen de partenaires étaient identiques, 17,6 ans et 6 partenaires respectivement. Un changement de contraceptif était fréquent, et environ un tiers des étudiantes en avaient changé au cours des deux années écoulées. Un nouveau mode de vie d'ordre social comptait parmi les raisons habituelles les ayant amenées à adopter une nouvelle méthode contraceptive. Plus de la moitié des étudiantes craignaient d'utiliser les contraceptifs oraux.Dans l'étude 1, 26% et, dans l'étude 2, 29% des étudiantes avaient eu au moins une maladie sexuelle transmissible. Quarante-trois pour cent ont précisé que l'information sur le SIDA les avait incitées à modifier leur comportement sexuel, mais les préservatifs étaient utilisés par moins de 50% à peine lors de leur premier rapport avec un nouveau partenaire.Bien que ce groupe de jeunes personnes supposées intelligentes ait accèc à une information, beaucoup prenaient des risques tant à l'égard de grossesses non désirées qu'à la sécurité qu'apportent par les CO. Il est évident qu'il est nécessaire d'adopter de nouvelles approches afin d'éduquer ces étudiantes sur les pratiques sexuelles sûres.


This paper is based on a presentation given at the Seventh International Meeting of the Society for the Advancement of Contraception, which was held in Singapore on 4–11 November, 1990.  相似文献   

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The progestin-only oral contraceptive (POC) is not a widely-used method of contraception, possibly due to competition from other contemporary contraceptive methods or misunderstanding and prejudices among clients and/or service providers. Because of its underuse, the POC, as a contraceptive method, is under-studied.This article evaluates the general merits of the POC and its disadvantages relative to combined oral contraceptives (COCs) and other contraceptive methods, specifically during the postpartum period and particularly for breastfeeding women. We find that the POC appears to be a safe and acceptable contraceptive method for postpartum women who are fully or nearly fully breastfeeding at six months postpartum or when menstruation returns. The POC could be considered for use at any time by non-breastfeeding postpartum women. The need for empirical studies of the POC is also discussed.
Resumen El método anticonceptivo oral con productos que contienen sólo progesterona (POC) no se utiliza en gran medida, sin duda debido a la competencia de otros métodos modernos o a causa de malentendidos y prejuicios de parte de las clientas y/o de los proveedores de este servicio. Debido a su escaso uso, el POC ha sido poco estudiado.Este artículo evalúa los méritos generales del POC y sus inconvenientes en comparación con los anticonceptivos orales combinados (COC) y otros métodos anticonceptivos, específicamente durante el período de posparto y, en particular, en las mujeres que amamantan. Se ha determinado que el POC parece constituir un método anticonceptivo seguro y aceptable en el posparto para las mujeres que amamantan exclusivamente, o casi exclusivamente, seis meses después del parto o cuando se reanuda la menstruación. Se podría considerar el uso del POC en cualquier momento después del parto entre las mujeres que no amamantan. Este artículo examina asimismo la necesidad de realizar estudios empíricos relativos at POC.

Resumé La méthode de contraception par les produits ne contenant que de la progestine (POC) administrés par voie orale n'est pas largement utilisée, sans doute en raison de la concurrence que lui font d'autres méthodes modernes ou à cause de malentendus, voire de préjugés, de la part des clientes et/ou de ceux qui offrent ce service. Etant peu utilisé en tant que méthode contraceptive, le POC est aussi moins étudié.L'article présenté évalue les mérites généraux de ces produits et leurs inconvénients en les comparant à des contraceptifs oraux combinés (COC) et à d'autres méthodes de contraception, et cela spécifiquement durant la période du post-partum et plus particulièrement chez les femmes qui allaitent. On a constaté que les POC semblent constituer une méthode de contraception sûre et acceptable après le post-partum chez les femmes qui allaitent entièrement, ou presque, six mois après l'accouchement ou lorsque la menstruation reprend. On pourrait envisager l'utilisation des POC à n'importe quel moment après l'accouchement chez les femmes qui n'allaitent pas. L'article examine également la nécessité de conduire des études empiriques sur les POC.
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19.
To evaluate the safety, effectiveness, side-effects, and continuation rate associated with non-clinical IUD insertion compared to IUD insertion in routine clinical facilities, a cohort comparative study was done on two groups of IUD users self-selected for either the non-clinical or clinical delivery system in Yogyakarta Special Area Province. During the months of January to March 1985, 454 non-clinical and 625 clinical acceptors wre recruited into this study. However, only 414 non-clinical and 605 clinical acceptors fulfilled the inclusion criteria and were included in the analysis. Bleeding and pain were the most common side-effects reported by acceptors. The frequency of bleeding was higher in the non-clinical group than in the clinical group. However, the difference was a not statistically significant relative risk (RR) of 1.09 (0.8–1.4) to 1.2 (0.9–1.5). Severe menstrual blood loss mostly occurred in the first three months after insertion and then declined in the rest of the year in both groups. The frequency of pain was not clearly different between the two groups during the whole year, with RR 0.8 (0.5–1.3) to 1.3 (0.8–2.0). The actual number of pregnancies was very small and the difference was not statistically significant (p=0.375). The 12-month expulsion rates were 7.22 per 100 IUD users for the non-clinical group and 7.00 for the clinical group. The difference was not statistically significant (p=0.660). The cumulative probability of women who were still using IUDs at 12 months was 89.7% and 89.1% for the non-clinical and clinical groups, respectively. The non-clinical delivery system seemed to be responsive to an unmet demand for family planning among women with lower educational background compared with those in the clinical setting service. While the characteristics of a population obviously influence the contraceptive behavior, this study shows that the non-clinical delivery system family planning method provides a similarly efficacious and safe service to the usual clinical system.
Resumen Se realizó un estudio comparativo de cohorte con dos grupos de usuarias de DIU autoseleccionadas para el sistema no clínico o clínico de entrega a fin de evaluar la seguridad, eficacia, efectos secundarios y tasa de continuación asociados con la inserción no clínica de DIU en comparación con la inserción de DIU en instalaciones clínicas habituales en el área especial de la provincia de Yogyakarta. Durante los meses comprendidos entre enero y marzo de 1985, se presentaron al estudio 454 aceptadoras no clínicas y 625 aceptadoras clínicas. Sin embargo, sólo 414 aceptadoras no clínicas y 605 aceptadoras clínicas satisficieron los criterios de inclusión y fueron comprendidas en el análisis. El sangrado y los dolores fueron los efectos secundarios notificados más comúnmente por las aceptadoras. La frecuencia del sangrado fue mayor en el grupo no clínico que en el clínico. Sin embargo, la diferencia no fue estadísticamente significativa, con un riesgo relativo de 1,09 (0,8–1,4) en comparación con 1,2 (0,9–1,5). Las pérdidas menstruales grandes ocurrieron principalmente en los tres primeros meses posteriores a la inserción y luego disminuyeron durante el resto del año en los dos grupos. La frecuencia del dolor no fue claramente diferente entre los dos grupos durante la totalidad del año, con un riesgo relativo de 0,8 (0,5–1,3) en comparación con 1,3 (0,8–2,0). El número verificado de embarazos fue muy pequeño, sin ninguna diferencia estadísticamente significative (p=0.375). Las tasas de expulsión a los 12 meses fueron 7,22 por cada 100 usuarias de DIU para el grupo no clínico y 7,00 para el grupo clínico. La diferencia no fue estadísticamente significativa (p=0,660). Las probabilidades acumulativas a los 12 meses de las mujeres que continuaban utilizando DIU fue 89,7 por ciento y 89,1 por ciento para los grupos no clínico y clínico, respectivamente. El sistema no clínico de entrega pareció responder a una demanda no satisfecha de planificación familiar entre mujeres de menor nivel de educación en comparación con el servicio clínico de entrega. Si bien las características de una población influyen evidentemente sobre la conducta anticonceptiva, este estudio demostró que el sistema no clínico de entrega de método de planificación familiar proporciona un servicio igualmente eficaz y seguro en comparación con el sistema clínico habitual.

Résumé Dans la Province de Yogyakarta, une étude cohorte comparative a été réalisée sur deux groupes d'utilisatrices de DIU auto-sélectionnées en fonction des pratiques de mise en place, à savoir en clinique ou hors clinique. Cette étude était destinée à évaluer la sécurité, l'efficacité, les effects secondaires et les taux de continuation liés à l'insertion du DIU hors clinique et à l'insertion classique dans des centres spécialisés. Durant les mois de janvier à mars 1985, les femmes recrutées pour cette étude étaient au nombre de 454 pour les insertions hors clinique et de 625 pour les insertions en clinique. Toutefois, 414 des primières et 605 des secondes seulement répondaient aux critères permettant de les inclure dans l'analyse. Les saignements et les douleurs étainent les effects secondaires le plus souvent signalés par celles-ci. La fréquence des saignements était plus élevée dans le groupe hors clinique, mais la différence n'était pas statistiquement significative RR 1,09 (0,8–1,4) à 1,2 (0,9–1,5). Les pertes sanguines importantes se sont produites dans la plupart des cas au cours des trois premières menstruations après l'insertion et ont par la suite diminué pour le restant de l'année dans les deux groupes. En ce qui concerne la fréquence des douleurs, il n'y a pas eu de nette différence d'un groupe à l'autre durant toute l'année, le risque relatif allant de 0,8 (0,5–1,3) à 1,3 (0,8–2,0). Le nombre de grossesses a été très faible et al différence entre les deux groupes n'était pas statistiquement significative (p=0,375). Les taux d'expulsion sur 12 mois ont été de 7,22 pour 100 utilisatrices de DIU dans le groupe hors clinique et de 7,00 dans l'autre, d'où une différence non statistiquement significative (p=0,660). Cumulé sur 12 mois, le nombre probable de femmes portant encore un DIU était de 89,7% et 89,1% respectivement pour les groupes d'insertion hors clinique et en clinique. Le système de mise en place hors clinique semble répondre à une demande jusqu'ici non satisfaite de régulation des naissances chez des femmes d'un niveau d'éducation plus bas que celui des femmes faisant appel à des services clinique. S'il est certain que les caractéristiques d'une population influent sur le comportement en matière de contraception, cette étude démontre néanmoins que le service hors clinique d'une méthode de planning familial peut être tout aussi efficace et sûr que le système habituel dispensé en clinique.
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In a longitudinal study involving 100 Singaporean women, the effect of NorplantR on metabolic function was evaluated. With respect to liver function, the results indicate possible hepatocellular dysfunction as evidenced by a significant rise in serum bilirubin and a significant fall in total proteins and globulin during the period under review.As regards lipid metabolism, total triglycerides and total cholesterol still remained significantly decreased at the end of the three years. The LDL, which was significantly decreased in the first year, increased during the subsequent two years to its preinsertion value at the end of three years. The HDL-cholesterol levels continued to decrease in the second and third year after a significant increase in the first year. Despite this, the HDL cholesterol/total cholesterol-HDL cholesterol remained above 0.200. As we have not incorporated a simultaneous non-pill treated control group, the observed changes in lipoprotein lipids could be attributed to extraneous factors such as diet, exercise, or other environmental changes. Nevertheless, the findings at the end of three years, though speculative, still appear to indicate Norplant use to be not directly contributory to cardiovascular risk.The use of Norplant was not associated with any significant effects on carbohydrate metabolism after three years of use.
Resumen En un estudio longitudinal sobre 100 mujeres de Singapur se evaluaron los efectos de Norplant sobre la función metabólica. En lo que respecta a la función hepática, los resultados indican posibles trastornos hepatocelulares, señalados por una elevación significantiva de la bilirrubina sérica y una disminución significativa de las proteínas totales y de la globulina durante el período estudiado.En lo que respecta al metabolismo de los lípidos, los totales de triglicéridos y de colesterol continuaban significativamente disminuidos al cabo del período de tres años. Las lipoproteínas ligeras, que habían disminuido considerablement durante el primer año, aumentaron durante los dos años siguientes, alcanzando, al final del tercer año, el nivel que habían señalado antes de la inserción. Los niveles de colesterol HDL (lipoproteínas pesadas) continuaron disminuyendo en el segundo y tercer año después de un aumento significativo durante el primer año. A pesar de ello, la relación colesterol HDL/colesterol total-colesterol HDL continuó siendo superior a 0.200. Dado que no se incluyó un grupo control sin píldora tratado simultáneamente, los cambios observados respecto de los lípidos lipoproteínicos podrían atribuirse a factores exteriores, tales como el régimen alimentario, la actividad física u otros factores ambientales. No obstante, a pesar de su carácter conjetural, los resultados de este estudio de tres años parecen indicar que el uso de Norplant no contribuye directamente al riesgo cardiovascular.El uso de Norplant no estuvo asociado con ningún efecto significativo sobre el metabolismo de los hidratos de carbono al cabo de tres años.

Resumé On a évalué dans une étude longitudinale portant sur 100 femmes singapouriennes les effets de Norplant sur la fonction métabolique. En ce qui concerne la fonction hépatique, les résultats indiquent des troubles hépatocellulaires possibles, mis en évidence par une élévation significative de la bilirubine sérique et une diminution significative des protéines totales et de la globuline pendant la période étudiée.Quant au métabolisme des lipides, les totaux des triglycérides et du cholestérol étaient encore abaissés de façon significative au terme de la période de trois ans. Les lipoprotéines légères, qui avaient considérablement diminué pendant la première année, sont remontées pendant les deux années suivantes pour retrouver, à la fin de la troisième année, le niveau qu'elles avaient avant l'insertion. Les niveaux de cholestérol HDL (lipoprotéines lourdes) ont continué à baisser pendant les deuxième et troisième années après une élévation significative pendant le première. Malgré cela, le rapport cholestérol HDL/Cholestérol total-cholestérol HDL est resté supérieur à 0.200. N'ayant pas inclus un groupe témoin sans pillule traité simultanément, les changements observés concernant les lipides lipoprotéiniques pourraient être attribués à des facteurs extérieurs tels que le régime alimentaire, l'activité physique ou d'autres facteurs d'environnement. Néanmoins, bien que de caractère conjectural, les constatations résultant de ces trois ans d'étude semblent encore indiquer que l'utilisation de Norplant ne contribue pas directement au risque cardiovasculaire. L'utilisation de Norplant n'a été liée à aucun effet significatif sur le métabolisme des hydrates de carbone au bout de trois ans.
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