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1.
The purpose of this study was to identify factors that explain why women who consulted at the same clinic, went through the same counseling procedure and who had no contraindications for using Norplant decided to use another longacting method, the IUD. Subjects were women who consulted at the Family Planning Clinic, State University of Campinas Hospital. One hundred Norplant acceptors and 100 IUD acceptors were interviewed at home, by trained interviewers who were not related to the clinic. Four out of five Norplant acceptors and all IUD acceptors had learned about the method chosen before attending the clinic. Results suggest that among IUD users there were more women who did not like the idea of taking a hormone or medicine to prevent pregnancy, while Norplant acceptors were more willing to try new experiences. Half the Norplant acceptors had learned about the method through TV, compared to 12% of IUD acceptors. Counseling at the clinic was not a determining factor, though it is important to clarify clients' doubts.
Resumen El objetivo de este estudio era identificar los factores que explicaran por qué las mujeres que concurrían a la misma clínica, que habían seguido el mismo procedimiento de consulta y para las que no había contraindicaciones en la utilización de Norplant decidieron utilizar otro método de acción prolongada, el dispositivo intrauterino. Los sujetos eran mujeres que concurrían a la Clínica de Planificación Familiar del hospital de la Universidad de Campinas. Cien mujeres que utilizaban el Norplant y cien mujeres que utilizaban un DIU fueron entrevistadas en su casa por personal adiestrado que no tenía relación alguna con la clínica. Cuatro de cada cinco usuarias de Norplant y todas las usuarias de DIU habían oído hablar del método elegido antes de concurrir a la clínica. Los resultados sugieren que, entre las usuarias de DIU, había un número mayor de mujeres a quienes no les agradaba la idea de tomar hormonas o medicamentos para impedir el embarazo, mientras que las usuarias de Norplant estaban más dispuestas a probar neuvos métodos. La mitad de las usuarias de Norplant y el 12% de las que habían elegido los DIU se habían enterado del método por la televisión. Los consejos dados en la clínica no eran un factor determinante pero eran importantes para disipar las dudas de las clientas.

Resumé L'étude présentée avait pour objectif d'identifier les facteurs expliquant pourquoi les femmes qui avaient pris des rendez-vous dans un même dispensaire, qui étaient passées par les mêmes modalités de consultation et pour lesquelles il n'y avait aucune contre-indication à l'utilisation du Norplant, avaient décidé d'utiliser une autre méthode à action prolongée, celle du dispositif intra-utérin. Les sujets étudiés étaient des femmes qui fréquentaient le dispensaire du planning familial de l'hôpital de l'Univeersité de Campinas. Cent femmes utilisant le Norplant et cent femmes utilisant un DIU ont été questionnées chez elles par du personnel entraîné qui n'avait aucun rapport avec le dispensaire. Quatre sur 5 utilisatrices de Norplant et toutes les utilisatrices de DIU avaient entendu parler de la méthode choisie avant de consulter le centre. Les résultats laissent penser que, parmi les utilisatrices de DIU, il y avait un plus grand nombre de femmes à qui l'idée de prendre des hormones ou des médicaments pour empêcher des grossesses ne convenait pas, alors que celles qui utilisaient le Norplant étaient plus disposées à essayer de nouvelles méthodes. La moitié des utilisatrices de Norplant, et 12% de celles qui avaient choisi les DIU, avaient été informées de la méthode par la télévision. Les conseils donnés au dispensaire n'étaient pas un facteur déterminant mais ils étaient importants pour dissiper les doutes des clientes.
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2.
This paper analyzes data from a population-based survey fielded in Sri Lanka, which showed that almost half of the women interested in using Norplant contraceptive subdermal implants were actually those who wanted to limit childbearing, a pattern also found in international Norplant clinical studies. A comparison between recently sterilized women and professed limiters of potential Norplant users showed the limiters to be socio-economically and demographically a significantly different group of women from those sterilized. Among several variables analyzed, the most important factor distinguishing the two groups was their relative economic status. Further comparison of the limiters with professed spacers interested in using Norplant showed that the spacers were yet another distinct category of women, the most important characteristic distinguishing between the two groups being the total number of living children. The preliminary results suggest that the Norplant implants system is not necessarily a substitute for sterilization; it appears potentially a popular method among those who want no more children but are not ready to accept sterilization. These findings that the potential Norplant implants users represent different gradients of women in the population have implications for provider counseling and user satisfaction as well as continuation.
Resumen En este trabajo se analizan los datos provenientes de un estudio efectuado en la población de Sri Lanka, que indicó que casi la mitad de las mujeres interesadas en utilizar implantes anticonceptivos subcutáneos Norplant eran efectivamente las que deseaban limitar sus embarazos, constatación efectuada igualmente en estudios clínicos internacionales realizados con tales implantes. Una comparación entre mujeres recientemente esterilizadas y usuarias potenciales de Norplant que manifestaron que deseaban limitar los nacimientos señaló que estas últimas constituían un grupo de mujeres que presentaban, desde el punto de vista económico y demográfico, diferencias significativas respecto de las mujeres esterilizadas. Entre las diversas variables analizadas, el factor más importante que distinguió a los dos grupos fue su respectivo nivel económico. Por otra parte, una comparación entre las mujeres que deseaban limitar los nacimientos y las que manifestaban que deseaban espaciarlos y se interesaban por el método Norplant indicó que estas últimas constituían incluso otra categoría de mujeres; la característica más importante que distinguía a los dos grupos fue el número total de hijos con vida. Los resultados preliminares sugieren que el método de implantes Norplant no es necesariamente una solución que reemplaza a la esterilización. Potencialmente, este método parece ser popular entre las mujeres que no desean tener más hijos pero que no están dispuestas a aceptar la esterilización. El hecho de que se pudieran definir, entre las usuarias potenciales de implantes Norplant, diferentes categorías de mujeres en la población tiene repercusiones en cuanto a los servicios de asesoramiento, la satisfacción de las usuarias y la continuación del método.

Resumé Cet exposé analyse les données résultant d'une étude effectuée dans la population du Sri Lanka, qui a révélé que près de la moitié des femmes intéressées par l'utilisation des implants contraceptifs sous-cutanés Norplant étaient effectivement celles qui souhaitaient limiter leurs grossesses, constatation faite également lors d'études cliniques internationales conduites sur ces implants. Une comparaison entre, d'une part des femmes récemment stérilisées et, d'autre part des utilisatrices potentielles de Norplant ayant affirmé qu'elles souhaitaient limiter les naissances, a fait apparaître que ces dernières consituaient un groupe de femmes présentant, du point de vue économique et démographique, des différences significatives par rapport à celles qui avaient été stérilisées. Parmi plusieurs variables analysées, le statut économique respectif était l'élément le plus important distinguant les deux groupes. De plus, une comparaison entre les femmes souhaitant limiter les naissances et celles qui déclaraient vouloir les espacer et s'intéresser à la méthode Norplant a montré que ces dernières constituaient encore une autre catégorie de femmes, la caractéristique la plus importante distinguant les deux groupes étant le nombre total d'enfants vivants. Les résultats préliminaires suggèrent que la méthode d'implants Norplant n'est pas forcément une solution de remplacement à la stérilisation. Potentiellement, cette méthode semble être une méthode d'élection pour les femmes qui désirent ne plus avoir d'enfants mais qui ne sont pas prêtes à accepter la stérilisation. Le fait que l'on ait pu définir, parmi les utilisatrices éventuelles d'implants Norplant, différentes catégories de femmes dans la population, a des incidences à la fois sur les services de guidance, sur la satisfaction des utilisatrices et sur la continuation de la méthode.
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3.
The bleeding patterns recorded by women using one of two new types of long-acting hormonal contraception, a levonorgestrel-releasing vaginal ring or a monthly injectable, have been compared with those in an untreated group and those experienced by women using either a combined oral contraceptive (OC) or depotmedroxyprogesterone acetate (DMPA).The frequency of bleeding was very similar between the combined pill users, the ring users and the untreated women, who all recorded an average of 3.2–3.3 bleeding/spotting episodes every 90 days. Monthly injectable users had slightly fewer episodes. Women using a monthly injectable or a vaginal ring had longer bleeding/spotting episodes (5 days) than combined pill users (4 days). However, the untreated women and DMPA users had the longest episodes, averaging 6 days. The median value of the within-woman mean length of bleeding-free intervals was 20.6 days among ring users, 22.3 days in the untreated group, 23.6 days among women given a combined OC or a monthly injectable, and 27.4 days in the DMPA group.Women using any of the long-acting methods had more variable bleeding patterns than untreated women or combined pill users. Over a year of method use, however, the lengths of the bleeding-free intervals recorded by vaginal ring and monthly injectable users became more predictable. It is concluded that these newer methods do not produce the marked bleeding disturbances seen with DMPA.
Resumen Los tipos de hemorragias en mujeres que utilizaban uno de los dos nuevos tipos de anticonceptivo hormonal de efecto prolongado, un anillo vaginal de liberación de levonorgestrel o una dosis mensual inyectable, se compararon con las de un grupo no tratado y con las de las mujeres que utilizaban ya fuera un anticonceptivo oral combinado (AO) o acetato de depometroxiprogesterona (DMPA).La frecuencia de las hemorragias era muy parecida entre las usuarias de la píldora combinada, las usuarias del anillo y las mujeres no tratadas. Todas señalaron un promedio de 3.2–3.3 episodios de p érdidas o microrragias cada 90 días. Las usuarias de inyecciones mensuales registraron un poco menos de episodios. La inyección mensual o el anillo vaginal provocaron episodios de pérdidas o microrragias más prolongadas (5 días) que las usuarias de la píldora combinada (4 días). Sin embargo, las mujeres no tratadas y las usuarias de DMPA presentaron los episodios más prolongados, de 6 días en promedio. Los promedios de la duración de intervalos sin hemorragia fueron de 20.6 días entre las usuarias del anillo, de 22.3 días en el grupo no tratado, de 23.6 días entre las mujeres que utilizaban un AO combinado o un anticonceptivo mensual inyectable, y de 27.4 días en el grupo de DMPA.Las mujeres que utilizaban los métodos de acción prolongada tenían modalidades de hemorragia más variables que las mujeres no tratadas o que utilizaban la píldora combinada. No obstante, en un período de utilización de un año, la longitud de los intervalos sin hemorragia se tornaba más previsible entre las mujeres que utilizaban el anillo vaginal o la inyección mensual. Se llegó a la conclusión de que estos métodos más recientes no producen las perturbaciones hemorrágicas observadas con DMPA.

Resumé Les types d'hémorragies signalés par les femmes utilisant un des deux nouveaux types de contraception hormonale à effet prolongé, un anneau vaginal libérant du lévonorgestrel ou une dose mensuelle injectable, ont été comparés aux hémorragies survenant dans un groupe non traité, et à celles ressenties par des femmes utilisant soit une contraception orale combinée (CO) soit un acétate de dépométroxyprogestérone (DMPA).La fréquence des hémorragies était très semblable chez les utilisatrices de la pilule combinée, chez celles utilisant l'anneau, et chez les femmes non traitées. Elles ont toutes indiqué une moyenne de 3,2–3,3 épisodes de saignement ou de microrragies tous les 90 jours. Les utilisatrices d'injections mensuelles ont signalé un peu moins d'épisodes. L'injection mensuelle ou l'anneau vaginal ont provoqué des épisodes d'hémorragies ou de microrragies plus prolongés (5 jours) que ceux qui résultaient de l'utilisation de la pillule combinée (4 jours). Toutefois, les femmes non traitées et les utilisatrices de DMPA ont présenté les épisodes les plus longs, en moyenne de 6 jours. Les moyennes de la durée des intervalles sans hémorragie était de 20.6 jours chez les utilisatrices de l'anneau, de 22.3 jours dans le groupe non traité, de 23.6 jours chez les femmes utilisant ou CO combiné ou un contraceptif mensuel injectable, et de 27.4 jours dans le groupe au DMPA.Les femmes qui utilisaient les méthodes à action prolongée avaient des périodes hémorragiques plus variables que les femmes non traitées ou qui utilisaient la pillule combinée. Cependant, sur une période d'utilisation d'une année, la longueur des intervalles sans hémorragie devenait plus prévisible chez celles qui utilisaient l'anneau vaginal ou l'injection mensuelle. On en conclut que ces méthodes plus récentes ne produisent pas les perturbations hémorragiques constatées avec le DMPA.


This paper is based on a presentation given at the Seventh International Meeting of the Society for the Advancement of Contraception, which was held in Singapore on 4–11 November, 1990.  相似文献   

4.
Resumen Desde la introducción del anticonceptivo oral combinado (AOC), se ha registrado una disminución considerable de los efectos secundarios iniciales, atribuibles a la naturaleza de los agentes de estos productos. Con más de 60 millones de usuarias de ila píldorai en el mundo entero, su eficacia bien demostrada se ha arraigado con el mejoramiento continuo de su perfil clínico. La aceptabilidad de la píldora se ha visto afectada como resultado de los riesgos percibidos, que son a menudo controvertidos, aumentados y exagerados por la prensa no especializada sensacionalista. Lamentablemente, los medios de difusión no destacan los numerosos beneficios importantes para la salud, aparte de su eficacia en prevenir el embarazo. Estos beneficios comprenden una reducción de más del 50% en la incidencia del cáncer de ovario y de endometrio, una reducción de la anemia por deficiencia de hierro, una menor incidencia de enfermedades benignas de la mama, una reducción de los quistes ováricos funcionales y una menor predisposición a la enfermedad inflamatoria pélvica.En esta presentación se señalarán brevemente los numerosos beneficios que tiene la píldora para la salud. Estos beneficios contrarrestan con creces los peligros, que han estado disminuyendo durante el uso de la píldora, atribuidos en parte a las mejoras en las formulaciones y también a la reducción de las dosis, especialmente de estrógeno. La dosis de progesterona también se ha reducido. Asimismo, se han introducido algunos agentes progestágenos más específicos que también mejoran la composición endocrina de las mujeres que toman la píldora, aumentando su bienestar. Es muy posible que la administración más selectiva de la píldora excluyendo a las mujeres que corren riesgo de complicaciones haya intervenido en los mejores resultados para las usuarias de la píldora así como en el mejoramiento de los productos. Sin embargo, los riesgos cardiovasculares y las tromboembolias continúan siendo motivo de ansiedad ya que estos riesgos aumentan entre las usuarias de la píldora, si bien hay otros factores patógenos involucrados. No obstante, continúa la controversia relativa al pequeño riesgo de tromboembolia y a si se relaciona con determinadas formulaciones de la píldora. Esto desencadenó un reciente ipánico de la píldorai en Europa, cuyos efectos no se han disipado aún. Debe aclararse si una formulación determinada entraña un menor riesgo de enfermedad cardiovascular y cardiopatía isquémica, en particular. La controversia relativa al riesgo de cáncer de mama en las mujeres que toman la píldora así como el riesgo de cáncer cervical genera controversia y los datos para resolver este asunto continúan siendo limitados.
Résumé Depuis l'introduction des contraceptifs oraux combinés (COC), il a été possible d'atténuer considérablement leurs effets négatifs initiaux grâce à la nature des éléments entrant dans la composition de ces produits. La pilule étant utilisée dans le monde entier par plus de 60 millions de femmes, son efficacité a été prouvée par le profil clinique de celles-ci qui n'a pas cessé de s'améliorer. L'acceptabilité de la pilule a subi le contrecoup préjudiciable des risques percus, qui sont souvent sujet à des controverses alimentées et exagérées par les journaux à sensation. Malheureusement, les médias s'abstiennent de mettre en évidence les nombreux importants avantages des COC, en dehors de leur aptitude à prévenir des grossesses. Parmi ces avantages on peut citer: une réduction de plus de 50% de l'incidence du cancer ovarien et de l'endomètre, une diminution de l'anémie par carence de fer, une baisse des troubles mammaires bénins, une moindre fréquence des kystes ovariens fonctionnels et une plus faible prédisposition aux maladies pelviennes inflammatoires.Cet exposé fait brièvement allusion aux nombreuses incidences favorables de la pilule sur la santé. Ces avantages l'emportent sur les risques qui ont progressivement diminué depuis le début de l'utilisation de la pilule, en partie grâce aux améliorations apportées à sa formulation et, en particulier, à une réduction des oestrogènes dans le dosage. La dose de progestatifs a également diminué. En outre, des progestatifs ont été introduits dans la pilule, qui rehaussent l'acceptabilité et réduisent les effets secondaires. Il existe certains progestatifs spécifiques qui améliorent aussi l'état général des femmes utilisant la pilule et qui fortifient leur bien-être. Le fait d'avoir prescrit la pilule sélectivement, de manière à exclure les femmes présentant des risques de complications, aura sans doute joué un rôle non seulement dans l'amélioration des résultats de l'utilisation, mais aussi dans celle des produits. Il n'en reste pas moins que les risques cardio-vasculaires et thromboemboliques demeurent une source de préoccupation car ces risques sont plus élevés chez les utilisatrices de la pilule, encore que d'autres facteurs pathogènes interviennent. Le faible risque de thromboembolie reste cependant sujet à controverses, notamment pour ce qui concerne le risque lié à des compositions particulières de pilules. Ce sujet a récemment déclenché en Europe une ialarme à la pilulei, dont l'importance doit encore être résolue. Il y aurait lieu de déterminer clairement si une certaine formule comporte en particulier moins de risques de maladies cardio-vasculaires et d'ischémie cardiaque. Les risques de cancer du sein et de carcinome du col chez les femmes prenant la pilule soulèvent des controverses que les données disponibles sont insuffisantes à résoudre.


Presented at the IXth World Congress on Human Reproduction, Philadelphia, USA, May 28-June 2, 1996. This paper is published in the Proceedings of the IX World Congress by the Parthenon Publishing Group, London, UK.  相似文献   

5.
This article examines the beliefs about Depo-Provera held by three groups of contraceptors utilizing urban family planning clinics in the United States (n=836). Patients choosing Depo-Provera, oral contraceptives, and Norplant were asked about their beliefs regarding Depo-Provera in the following four domains: effectiveness in preventing pregnancy, convenience, side-effects, and risk to health; and also for their perceptions regarding the physical discomfort and cost associated with the method.Findings reveal that patients choosing the pill and Norplant give Depo-Provera significantly lower ratings for both convenience and effectiveness than do Depo-Provera acceptors. Given the documented effectiveness of Depo-Provera, this is a potential cause for concern. Moreover, Norplant and pill choosers are most likely to hold inaccurate beliefs regarding both the cost of Depo-Provera, and certain side-effects associated with its use. Although more than half of all patients believe that Depo-Provera would cause menstrual changes and weight gain, it is noteworthy that the proportions are not higher, given their known association with the method. Knowledge about the likelihood of these side-effects is essential, particularly for those choosing Depo-Provera. Implications for physicians, counselors, and other family planning professionals are discussed.
Resumen Este artículo examina las creencias acerca de Depo-Provera en tres grupos de usuarias de anticonceptivos que recurrían a clínicas de planificación familiar en Estados Unidos (n=836). A las pacientes que escogieron Depo-Provera, anticonceptivos orales y Norplant se les preguntó qué pensaban de Depo-Provera en los cuatro aspectos siguientes: eficacia en prevenir el embarazo, conveniencia, efectos secundarios y riesgo para la salud, y también acerca de sus percepciones relativas al malestar físico y al costo asociados con el método.Los resultados revelan que las pacientes que escogieron la píldora y Norplant dieron a Depo-Provera una puntuación en cuanto a conveniencia y eficacia significativamente inferior a la de las mujeres que aceptaban Depo-Provera. Dada la eficacia documentada de Depo-Provera, ésta es una causa potencial de preocupación. Por otra parte, es más probable que las mujeres que eligen Norplant y la píldora tengan creencias inexactas relativas al costo de Depo-Provera y a ciertos efectos secundarios asociados con su uso. Si bien más de la mitad de las pacientes consideran que Depo-Provera causaría cambios menstruales y aumento de peso, cabe señalar que las proporciones no son más altas en vista de su asociación conocida con el método. El conocimiento de las probabilidades de estos efectos secundarios es esencial, especialmente para las que eligen Depo-Provera. Se tratan las repercusiones para los médicos, asesores y otros profesionales de la planificación familiar.

Resumé Cet article examine ce que pensent du Depo-Provera trois groupes de patientes fréquentant des cliniques de planning familial en zone urbaine aux Etats-Unis (n=836). On a demandé à des femmes qui avaient choisi d'utiliser le Depo-Provera, les contraceptifs oraux et le Norplant, d'abord ce qu'elles pensaient du Depo-Provera dans les quatre domaines suivants: efficacité à prévenir une grossesse, commodité, effets secondaires et risques pour la santé, ensuite quelle était leur attitude à l'égard de la gêne physique et du coût associé à cette méthode.Les résultats ont révélé que les patientes qui choisissent la pilule et Norplant attribuent au Depo-Provera des avantages significativement inférieurs à la commodité et à l'efficacité que ne le font celles qui utilisent Depo-Provera. Etant donné l'efficacité bien établie du Depo-Provera, il y a potentiellement lieu de s'inquiéter. En outre, les femmes qui avaient choisi Norplant et la pilule avaient davantage tendance à se faire une idée erronée non seulement du coût du Depo-Provera mais aussi de certains effets secondaires associés à son utilisation. Même si plus de la moitié de toutes les patientes croyaient que le Depo-Provera occasionnerait des changements dans le cycle menstruel et ferait prendre du poids, on peut néanmoins s'étonner du fait que cette proportion ne soit pas plus élevée, vu que l'on sait que ces inconvénients sont associés à cette méthode. Il est essentiel, surtout pour les femmes qui choisissent le Depo-Provera, de savoir que ces effets secondaires sont susceptibles de se manifester. L'article examine ce que cela signifie pour les médecins, les conseillers et les autres professionnels du planning familial.
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6.
The changes in the levels of individual phospholipids were studies in women during prolonged use of three types of steroidal contraceptive preparation: high-dose combined pills (Noriday 1+50 Fe); low-dose combined pills (Nominest Fe) and progestin-only injectables (Depo-Provera). Women on high-dose combined pills had significantly higher (p<0.05) mean lysophosphatidylcholine (LPC), sphingomyelin (SPH), phosphatidylserine (PS) and phosphatidylethanolamine (PE) levels, respectively, than the women on low-dose combined pills, progestin-only injectables and the controls, respectively. Women on low-dose combined pills had significantly lower (p<0.01) mean LPC and PS levels, respectively, than the controls, while women on progestin-only injectables had significantly lower (p<0.01) mean PS and PE levels, respectively, than the controls. Based on the reported high activities of PS and PE in hemostasis, the PE/total plasma phospholipids, PS/total plasma phospholipids and the sum of PE and PS/total plasma phospholipids ratios were calculated to assess the possible overall effect of the changes in plasma phospholipids in steroidal contraceptive users. The results obtained using these indices agree with some earlier reports of an estrogen dose-dependent risk/incidence of thrombosis in steroidal contraceptive users. It is concluded that the observed dose-dependent estrogen-induced alterations in phospolipids, and, most especially, the PE and PS fractions may bear a relationship with thrombotic conditions.
Resumen Se estudiaron, en mujeres que utilizaban desde hace tiempo tres clases de anticonceptivos de tipo esteroide, las modificaciones ocurridas en las cantidades de determinados fosfolípidos. Estos productos son: las píldoras combinadas de dosis altas (Noriday 1+50 Fe), las píldoras combinadas de dosis bajas (Nominest .Fe) y la progesterona sola inyectable (Depo-Provera). Las mujeres que utilizaban píldoras combinadas de dosis altas registraron valores significativamente más altos (p<0,05) de lisofosfatidilcolina (LPC), esfingomielina (SPH), fosfatidilserina (PS) y fosfatidiletanolamina (PE) que los controles y que las mujeres que utilizaban las píldoras combinadas de dosis bajas o la progesterona sola inyectable. Las mujeres que utilizaban las píldoras combinadas de dosis bajas tenían respectivamente niveles medios de LPC y PS significativamente más bajos (p<0,01) que los controles, mientras que aquéllas que utilizaban la progesterona sola inyectable tenían niveles de PS y PE significativamente inferiores (p<0,01) que los controles. A fin de evaluar el efecto global posible de los cambios en los fosfolípidos plasmáticos en las usuarias de anticonceptivos de tipo esteroide, se calcularon, teniendo en cuenta la actividad importante ya conocida de los PS y PE en la hemostasia, las proporciones siguientes: PE/fosfolípidos plasmáticos totales, PS/fosfolípidos plasmáticos totales y la suma de los PE y PS/fosfolípidos plasmáticos. Los resultados obtenidos utilizando estos índices confirman ciertos informes anteriores que indicaban que el riesgo y la incidencia de trombosis en las usuarias de anticonceptivos de tipo esteroide dependería de la dosis de estrógeno. El artículo llegó a la conclusión de que tal vez haya una relación entre las alteraciones provocadas por la dosis de estrógeno, tales como las observadas en los fosfolípidos, y las trombopatías, en particular en lo que se refiere a las fracciones PE y PS.

Resumé On a étudié, chez des femmes utilisant depuis longtemps trois types de contraceptifs stéroïdiens, les modifications survenues dans les quantités de phospholipides particuliers. Ces produits: les pillules combinées à fortes doses (Noriday 1+50 Fe), les pillules combinées à faibles doses (Nominest.Fe) et de la progestone seule injectable (Depo-Provera). Les femmes utilisant des préparations fortement dosées ont respectivement donné des valeurs significativement plus élevées (p<0,05) de lysophosphatidylcholine (LPC), sphingomyéline (SPH), phosphatidylsérine (PS) et phosphatidyléthanolamine (PE) que les témoins et que les femmes utilisant les pillules combinées à faible dosage ou la progestérone seule en injection. Les femmes utilisant les pillules combinées à faible dosage avaient respectivement des niveaux moyens de LPC et PS significativement plus bas (p<0,01) que les témoins, tandis que celles qui utilisaient la progestérone injectable seule avaient des niveaux de PS et PE significativement plus faibles (p<0,01) que les témoins. Pour évaluer le résultat global possible des changements dans les phospholipides plasmatiques chez les utilisatrices de contraceptifs stéroïdiens, on a calculé, compte tenu de l'importante activité déjà connue des PS et PE dans l'hémostase, les rapports suivants: PE/phospholipides plasmatiques totaux, PS/phospholipides plasmatiques totaux et somme des PE et PS/phospholipides plasmatiques. Les résultats obtenus en utilisant ces indices confirment certains rapports antérieurs indiquant que le risque et l'incidence de la thrombose chez les utilisatrices de contraceptifs stéroïdiens dépendraient de la dose d'oestrogène, telles qu'observées sur les phospholipides, et les thrombopathies, tout particulièrement pour ce qui concerne les fractions PE et PS.
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7.
Objectives Menstrual irregularity is the main cause of termination of Norplant use; a study of its safety and level of acceptance is needed.Study methods A cohort study using medical records of Dr Kariadi Hospital, Semarang, Indonesia and interviews between Norplant and IUD users who had in 1993 been followed-up for 5 years. Expulsion rate, removal rate, level of acceptance and satisfaction were examined.Results From 170 Norplant and 168 IUD acceptors, the net cumulative pregnancy rates by month 36 of the Norplant and the IUD groups were 0.0% and 1.19%, respectively (p<0.05). The net cumulative expulsion rates were 0.61% and 1.32% (p>0.05). The net cumulative rates of removal for medical reasons were 2.37% and 1.97% (p<0.05). The net cumulative removal rates for nonmedical reasons were 1.80% and 10.38% (p<0.001); the net cumulative continuation rates were 95.29% and 85.60% (p<0.002). The net cumulative acceptance rates were 97.04% and 93.83% (p<0.05). The Norplant users experienced less menstrual and inter-menstrual bleeding and more amenorrhea than the IUD group. The psychological satisfaction scores among the Norplant and IUD users were high (p<0.05). The Norplant contraceptive is well accepted.Conclusions The findings could be very useful for further steps in promoting Norplant as a contraceptive that is long-acting, with good efficacy, acceptance, and safety.
ResumenObjetivos La irregularidad menstrual es la principal causa de terminación de Norplant; se necesita un estudio de su seguridad y nivel de aceptación.Métodos del estudio Un estudio cohorte utilizando los historiales médicos del Dr. Kariadi Hospital Semarang, Indonesia y entrevistas con comparaciones entre usuarias de Norplant y de DIU que en 1993 habían sido seguidas durante 5 años. Se estudiaron las tasas de expulsión y retiro y el nivel de aceptación y satisfacción.Resultados De 170 aceptadoras de Norplant y 168 aceptadoras de DIU, las tasas netas acumulativas de embarazo al mes 36 de Norplant y de los grupos de DIU son 0,0% y 1,19%, respectivamente (p>0,05). Las tasas acumulativas netas de expulsión son 0,61% y 1,32% (p>0,05). Las tasas acumulativas netas de retiro por razones médicas son 2,37% y 1,97% (p>0,05). Las tasas acumulativas netas de retiro por razones no médicas son 1,80% y 10,38% (p<0,001); las tasas acumulativas netas de continuación son 95,29% y 85,60% (p<0,002). Las tasas acumulativas netas de aceptación son 97,04% y 93,83% (p>0,05). Las usuarias de Norplant experimentaron menos sangrado menstrual e intermenstrual y más amenorrea que el grupo de DIU. Los puntajes de satisfacción psicológica entre las usuarias de Norplant y DIU son altas (p>0,05). El anticonceptivo Norplant es bien aceptado.Conclusiones Los resultados podrían ser muy útiles para las etapas siguientes en la promoción de Norplant como anticonceptivo de acción prolongada con buena eficacia, aceptación y seguridad.

ResuméObjectifs Les irrégularités du cycle menstruel sont la cause principale de l'abandon du Norplant. Il est nécessaire de procéder à une étude de la sécurité de cette méthode et de la mesure dans laquelle elle est acceptée.Protocole d'étude Etude cohorte utilisant les dossiers médicaux du Dr Kiriadi Hospital Semarang (Indonésie) et les résultats d'entrevues, afin de comparer les utilisatrices de Norplant et de DIU qui, en 1993, avaient été suivies pendant 5 ans. Les pourcentages d'expulsion, de retrait, ainsi que le degré d'acceptation et de satisfaction ont été examinés.Résultats Sur 170 utilisatrices de Norplant et 168 de dispositifs intra-utérins, les taux nets cumulés de grossesses jusqu'au 36ème mois étaient de 0,0% et de 1,19% respectivement dans le groupe DIU et le groupe Norplant (p>0,05). Les taux nets cumulés d'expulsions s'élevaient à 0,61% et 1,32% (p>0,05). Les taux nets cumulés de retrait pour des raisons médicales étaient de 2,37% et 1,97% (p>0,05). Les taux nets cumulés de retrait pour d'autres raisons que médicales étaient de 1,80% et 10,38% (p<0,001). Les taux nets cumulés de poursuite sont de 95,29% et 85,60% (p<0,002). Les taux nets cumulés d'acceptation sont de 97,04% et 93,83% (p<0,05). Les femmes utilisant Norplant ont été moins sujettes à des écoulements sanguins menstruels et inter-menstruels et davantage à l'aménorrhée que celles du groupe DIU. Le facteur de satisfaction chez les utilisatrices de Norplant et des DIU est élevé (p>0,05). Le contraceptif Norplant est bien accepté.Conclusion Ces résultats pourraient être très utiles lors de futures démarches pour la promotion de Norplant en tant que contraceptif agissant pendant longtemps avec efficacité, bien accepté et sûr.
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8.
Ovarian function after seven years' use of a levonorgestrel IUD   总被引:5,自引:0,他引:5  
Fifteen women with regular menstrual periods and seven amenorrheic women who had been using a levonorgestrel-releasing (LNg) IUD for more than seven years were studied. For controls, eight women using TCu380Ag IUDs, for more than seven years were studied during two complete menstrual cycles. Ovarian function was assessed with hormonal determination and ultrasound examinations. The regularly menstruating women were studied for two complete menstrual cycles and the amenorrheic women for eight weeks.In the regularly menstruating LNg-IUD users, according to progesterone levels, 93% of the cycles were ovulatory but just 58% of these ovulatory cycles showed normal follicular growth and rupture. Follicular cysts and luteinization of regressing follicles were observed in 42% of the 26 ovulatory cycles studied.SHBG capacity was decreased in the LNg-IUD users compared with the TCu380Ag users. Progesterone levels were lower in the LNg-IUD users compared with the TCu380Ag users but this difference was not statistically significant. Preovulatory estradiol and LH levels were lower in the LNg-IUD users than in the TCu380Ag users. These differences were not statistically significant.For the amenorrheic women, five had follicular cysts that disappeared spontaneously within 45 days. Two women showed follicular development and rupture.The presence of good cervical mucus was observed in 69% of the ovulatory cycles studied in the LNg-IUD users. This indicates that effects on cervical mucus cannot be the main mechanism of action of the LNg-IUDs.It is concluded that LNg-IUDs may exert a contraceptive effect in many different ways, such as inhibition of ovulation, endometrial changes preventing implantation, alteration of physical and chemical properties of cervical mucus affecting sperm transport and subtle disturbances in hypothalamic pituitary ovarian function, resulting in alterations of follicular development and rupture.
Resumen Se estudiaron quince mujeres con períodos menstruales regulares y siete mujeres amenorreicas que habían estado utilizando un DIU de descarga de levonorgestrel durante más de siete años. Como controles, se estudiaron a 8 mujeres que utilizaban DIU TCu380Ag desde hacía más de siete años durante dos ciclos menstruales completos. Se evaluó la función ovárica mediante determinación hormonal y exámenes de ultrasonido. Las mujeres que menstruaban regularmente fueron estudiadas durante dos ciclos menstruales completos y las mujeres amenorreicas durante 8 semanas.Según los niveles de progesterona, en las usuarias de DIU con LNg que menstruaban regularmente el 93% de los ciclos eran ovulatorios pero sólo el 58% de estos ciclos ovulatorios señalaban un crecimiento y ruptura folicular normal. Se observaron quistes foliculares y luteinización de los folículos regresivos en el 42% de los 26 ciclos ovulatorios estudiados.La capacidad SHBG se había reducido en las usuarias de DIU con LNg en comparación con las usuarias de TCu380Ag. Los niveles de progesterona eran inferiores en las usuarias de DIU con LNg que en las usuarias de TCu380Ag pero esta diferencia no era estadísticamente significativa. Los niveles preovulatorios de estradiol y LH eran inferiores en las usuarias de DIU con LNg que en las usuarias de TCu380Ag. Estas diferencias no eran estadísticamente significativas. Entre las mujeres amenorreicas, 5, tenían quistes foliculares que desaparecieron espontáneamente, dentro de los 45 días. Dos mujeres señalaron desarrollo y ruptura folicular.La presencia de buen moco cervical se observó en el 69% de los ciclos ovulatorios estudiados entre las usuarias de DIU con LNg. Esto indica que los efectos sobre el moco cervical no pueden ser el principal mecanismo de acción de los DIU con LNg.Se llega a la conclusión de que los DIU con LNg pueden ejercer un efecto anticonceptivo de muchos modos diferentes, tales como la inhibición de la ovulación, cambios del endometrio que impiden la implantación, alteración de las propiedades fisicoquímicas del moco cervical que afectan el transporte de esperma y perturbaciones sutiles de la función ovárica pituitaria hipotalámica que originan alteraciones del desarrollo y la ruptura folicular.

Resumé Cette étude a porté sur 15 femmes présentant des cycles menstruels réguliers et 7 femmes aménorrhéiques qui utilisaient depuis plus de sept ans des DIU libérant du lévonorgestrel (DIU-LNg). Comme témoins, on a étudié pendant deux cycles menstruels complets 8 femmes qui portaient, un dispositif TCu380Ag depuis plus de sept ans. La fonction ovarienne a été relevée par évaluation hormonale et par des examens aux ultrasons. Celles dont les menstruations étaient régulières ont été étudiées pendant deux cycles complets et les femmes aménorrhéiques pendant 8 semaines.D'après les niveaux de progestérone, chez les utilisatrices de DIU-LNg ayant des menstruations régulières, 93% des cycles étaient ovulatoires mais seulement 58% de ces cycles ovulatoire présentaient une croissance folliculaire normale avec rupture. Des kystes folliculaires et la lutéinisation des follicules en régression ont été observés dans 42% des 26 cycles ovulatoires.L'importance des SHBG était diminuée chez les utilisatrices du DIU-LNg comparée à celle des utilisatrices du TCu380Ag. les niveaux de progestérone étaient plus faibles chez les premières que chez les secondes mais la différence n'était pas statistiquement significative. Les niveaux préovulatoires d'oestradiol et d'hormone lutéinisante étaient inférieurs dans le groupe LNg, sans que la dífférence ne soit statistiquement significative.En ce qui concerne les femmes aménorrhéiques, 5 présentaient des kystes folliculaires qui disparaissaient spontanément en 45 jours. Chez deux patientes, on a observé le développement et la rupture des follicules.Dans 69% des cycles ovulatoires étudiés chez les utilisatrices du DIU-LNg, la présence de mucus cervical était bonne, ce qui laisse penser que les effets sur le mucus cervical ne peuvent être le principal mode d'action de ces dispositifs.Il en est conclu que les DIU-LNg exercent sans doute un effet contraceptif de nombreuses manières, telles que l'inhibition de l'ovulation, des modifications de l'endomètre empêchant l'implantation, l'altération des propriétés physiques et chimiques du mucus cervical qui a une incidence sur le transport du sperme, et de légères perturbations de la fonction ovarienne hypothalamo-pituitaire, qui entraîne des modifications dans le développement et la rupture des follicules.
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9.
This study assesses potential demand for NorplantR implants using data from a population-based survey conducted in rural Sri Lanka. Overall, 35% of currently married non-sterilized women of childbearing age expressed interest in using the implants, 52% did not want to use the method, and 13% were unsure about using it. The demand was substantially higher (44% vs 28%) among younger age groups (<30 years) than among older age groups (30–44). The results showed that life-cycle variables (age, parity and marital duration) and fertility preference variables (desire for another child and desired birth-interval) were generally more important than socioeconomic variables in determining variations in potential demand for Norplant in Sri Lanka. Desired birth spacing was found to be a powerful indicator of the potential demand. The majority (85%) of respondents interested in using Norplant were also willing to absorb at least some of the cost of the implants. Among older age groups, those who were using modern temporary methods of contraception either exclusively or in combination with traditional methods had a higher demand for Norplant than non-users or exclusive users of traditional methods. For the younger women, however, potential demand did not vary significantly according to whether they were currently using a method or the type of method used.
Resumen En este estudio se evalúa la demanda potencial de implantes Norplant según datos recopilados de una encuesta demográfica del área rural de Sri Lanka. En general, el 35% de las mujeres casadas no esterilizadas y en edad de procrear manifestaron interés en utilizar implantes, el 52% no deseaba utilizar este método y el 13% sentía dudas respecto de su utilización. La demanda era considerablemente mayor (44% en comparación con 28%) entre las más jóvenes (<30 años) que en el grupo de mujeres de más edad (30 a 44 años). Los resultados indicaron que las variables de condiciones de vida (edad, número de hijos y duración del matrimonio) y las variables de preferencias en materia de fecundidad (deseo de tener otro hijo y deseo de un intervalo determinado entre nacimientos) eran por lo general más importantes que las variables socioeconómicas en la determinación de las variaciones relativas a la demanda potencial de Norplant en Sri Lanka. Se observó que el deseo de espaciar los nacimientos era un fuerte indicador de la demanda potencial. La mayoría de las mujeres (85%) interesadas en utilizar implantes Norplant también estaban dispuestas a absorber al menos una parte de los costos. En el grupo de mujeres de más edad, la demanda era más alta entre las que utilizaban temporalmente métodos anticonceptivos modernos, ya fuera exclusivamente o en combinación con otros métodos clásicos, que entre las que no practicaban la anticoncepción o bien recurrían a métodos tradicionales. Sin embargo, entre las más jóvenes, la demanda potencial no variaba significativamente según si utilizaban en ese momento algún método o el tipo de método utilizado.

Resumé L'étude présentée cherche à déterminer la demande potentielle pour les implants Norplant d'après les données recueillies lors d'une enquête auprès de la population rurale au Sri Lanka. Dans l'ensemble, 35% des femmes mariées non privées de leur possibilité de procréer ont exprimé de l'intérêt en faveur de l'utilisation des implants, 52% ne voulaient pas appliquer cette méthode et 13% hésitaient à l'employer. La demande était considérablement plus élevée (44% contre 28%) chez les plus jeunes (<30 ans) que dans le groupe de femmes plus âgées (30 à 44 ans). Les résultats ont montré que la demande potentielle pour les Norplant au Sri Lanka dépendait en général plus de variables relatives aux conditions de via (âge, nombre e'enfants et durée de mariage) et de variables dans les préférences en matière de fécondité (désir d'avoir un autre enfant et désir de prévoir un intervalle entre les naissances) que des variables socio-économiques. On a constaté que le désir d'espacer les naissances était un indicateur puissant de la demande potentielle. La majorité des femmes (85%) ayant répondu que l'utilisation des Norplant les intéressait étaient également disposée à en absorber au moins une partie des coûts. Dans le groupe des femmes plus âgées, la demande était plus élevée chez celles qui utilisaient temporairement des méthodes de contraception modernes, soit exclusivement soit en combinaison avec d'autres méthodes classiques, que chez celles qui ne pratiquaient pas de contraception ou faisaient appel à des méthodes traditionnelles. Chez les plus jeunes, par contre, la demande ne variait pas de façon significative selon qu'elles utilisaient à l'époque une méthode quelconque, ni selon le type de méthode employé,
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Blood pressure (BP) and body weight were assessed at entry, 6 months and 12 months of use in a prospective study of 117 and 76 women using low-dose oral contraceptives (LD-OCs) and NorplantR, respectively. The results showed that mean systolic BP (mmHg), diastolic BP (mmHg) and weight (kg) for LD-OCs and Norplant at entry, 6 months and 12 months, respectively, were not significantly different. During the one year of use, the study found that moderate increase in BP occurred at the same frequency as reduced BP, and that observed variation in BP was within a narrower range in Norplant users compared with LD-OC users.
Resumen En un estudio prospectivo de 117 y 76 mujeres que utilizaban respectivamente un anticonceptivo oral de dosis baja (AO-DB) y el implante NorplantR, se tomaron al principio la presión sanguínea y el peso corporal. Los resultados indicaron que la presión sistólica media (mmHg), la presión diastólica (mmHg) y el peso (kg) en las usuarias de AO-DB y del Norplant al principio, a los 6 meses y a los 12 meses no eran significativamente diferentes. El estudio demostró asimismo que, durante el primer año de uso, se producía un leve aumento de la presión sanguínea con la misma frecuencia que una disminución de la misma, y se observó que la variación de la presión sanguínea quedaba dentro de una gama más estrecha entre las usuarias de Norplant que entre las que utilizaban anticonceptivos AO-DB.

Resumé Lors d'une étude propective de 117 et 76 femmes qui utilisaient respectivement un contraceptif oral à faible dosage (CO-FD) et l'implant NorplantR, on a enregistré au début la pression sanguine et le poids corporel. Les résultats ont montré que la pression systolique moyenne (mmHg), la pression diastolique (mmHg) et le poids chez les utilisatrices de CO-FD et du Norplant au début, à 6 mois et à 12 mois n'étaient pas significativement différents. L'étude a en outre montré que, durant la première année d'utilisation, une légère élévation de la pression sanguine se produisait à la même fréquence qu'une baisse de cette pression, et on a observé que la variation de la pression sanguine restait dans une gamme plus étroite chez les utilisatrices du Norplant que chez celles qui faisaient appel aux contraceptifs CO-FD.
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11.
A comparative study of the Today [tm] sponge and diaphragm conducted in the United States found a significantly higher pregnancy rate for parous compared with nulliparous sponge users. The results of other studies of the sponge failed to confirm this finding. Studies of other vaginal contraceptive methods conducted in the United States also have reported a higher pregnancy rate for parous users. None of these studies have evaluated adequately motivational and other factors that affect contraceptive choice and use. We conclude that the higher pregnancy rate among parous sponge users is unrelated to the spongeper se, and most likely reflects motivational factors related to future childbearing intentions.
Resumen En un estudio comparativo de la esponja Today y el diafragma, realizado en los Estados Unidos, se encontró una tasa de embarazos significativamente más elevada para mujeres paras comparadas con usuarias nulíparas de la esponja. Los resultados de otros estudios de la esponja no confirman estos hallazgos. Los estudios de otros métodos anticonceptivos vaginales realizados en los Estados Unidos, también han informado una tasa alta de embarazo en usuarias paras. Ninguno de estos estudios han evaluado adecuadamente la motivación y otros factores que afectan la elección de anticonceptivos y su uso. Se concluyó que la tasa más alta de embarazo en usuarias paras de la esponja no está relacionada con la esponja per se y muy posiblemente refleja los factores de motivación relacionados con futuras intenciones reproductivas.

Resumé Une étude comparative de l'éponge et du diaphragme Today conduite aux Etats-Unis a permis de constater un taux de grossesses significativement plus élevé chez les femmes qui avaient eu des enfants par comparison avec les nullipares. Les résultats d'autres études sur les éponges n'ont pas confirmé cette observation. Les études menées aux Etats-Unis sur d'autres méthodes vaginales de contraception ont également fait apparaître un taux de grossesses plus élevé chez les utilisatrices multipares. Aucune de ces études n'a suffisament évalué la motivation et d'autres facteurs qui ont une influence sur le choix et l'usage des contraceptifs. On a pu conclure que le taux plus élevé de grossesses chez les utilisatrices d'éponges qui avaient déjà eu des enfants n'est pas imputable à l'éponge elle-même mais qu'il reflète plutôt des facteurs de motivation liés à des intentions concernant d'éventuelles gestations ultérieures.
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Nota editorial     
Wide differences exist among European countries as regards national reimbursement schemes and the resulting individual expenditure on contraception. In this current research project annual expenditure and costs in the first year of use were calculated, taking into account existing reimbursement levels, for oral contraceptives, intrauterine devices, condoms, and sterilization in eight Western European countries: Italy, France, United Kingdom, Spain, West Germany, Austria, Sweden and Denmark. The costs were expressed in Swiss francs. For users of oral contraceptives it emerged that the annual expenditure on contraception ranged from nil in the United Kingdom to 172.32 Swiss francs in Austria. In the case of condoms, the cost to users was lowest in the United Kingdom (57.44 Swiss francs) and highest in Spain (105.95 Swiss francs). Expenditure on the use of an intrauterine device in the first year ranged from nil in the United Kingdom and Sweden ro 449.87 Swiss francs in Austria, while sterilization was carried out free of charge in France, West Germany and Denmark, as compared with a cost of 677.57 Swiss francs in Italy. The variation in expenditure was largely explained by the extent to which contraception costs are reimbursed in the respective countries. Correlation of the calculated expenditure on a method and its use did not show any statistically significant trend. This suggests that the wide differences in the choice of contraceptive methods between countries are not related to differences in national reimbursement schemes and resulting costs to users, and that other factors must be involved.
Resumen Hay grandes diferencias entre los países europeos en cuanto a programas nacionales de reembolso y los gastos individuales resultantes en métodos anticonceptivos. En el actual proyecto de investigación, se calcularon los gastos y costos anuales en el primer año de utilización, teniendo en cuenta los niveles existentes de reembolso relativos a anticonceptivos orales, dispositivos intrauterinos, preservativos y esterilización en ocho países de Europa Occidental: Italia, Francia, el Reino Unido, Españo, Alemania Occidental, Austria, Suecia y Dinamarca. Los costos se expresaron en francos suizos. En el caso de las mujeres que utilizaban anticonceptivos orales, se observó que el gastro anual en anticonceptivos variaba de cero en el Reino Unido a 172,32 francos suizos en Austria. En el caso de los preservativos, el costo para las usuarias registraba el nivel más bajo en el Reino Unido (57,44 francos suizos) y el más alto en Españo (105,95 francos suizos). Los gastos en la utilización de un dispositivo intrauterino en el primer año variaban de cero en el Reino Unido y Suecia a 449,87 francos suizos en Austria, mientras que la esterilización se realizaba gratuitamente en Francia, Alemania Occidental y Dinamarca, en comparación con un costo de 677,57 francos suizos en Italia. La variación en los gastos se explicaba en gran medida por el grado en que el costo de los anticonceptivos era reembolsado en los respectivos países. La correlación de los gastos calculados de un método y su utilización no indicó ninguna tendencia estadísticamente significativa. Ello sugiere que las grandes diferencias en la elección de métodos anticonceptivos entre países no están relacionadas con diferencias en los programas nacionales de reembolso y los costos resultantes para las usuarias y que podría haber otros factores involucrados.

Resumé Les régimes nationaux de remboursement des frais encourus individuellement pour la contraception varient énormément d'un pays européen à l'autre. Dans le projet de recherche actuel, on a calculé les dépenses et les coûts annuels durant la première année d'utilisation, en faisant entrer en ligne de compte les pourcentages de remboursement pour les contraceptifs oraux, les dispositifs intra-utériens, les préservatifs et la stérilisation dans huit pays européens: Italie, France, Royaume-Uni, Espagne, Allemagne de l'ouest, Autriche, Suède et Danemark. Les coûts sont exprimés en francs suisses. Pour les utilisatrices de contraceptifs oraux, il est apparu que la dépense annuelle allait de zéro au Royaume-Uni à 172,32 FS en Autriche. Dans le cas des préservatifs, le coût est le plus faible au Royaume-Uni (57,44 FS) et le plus élevé en Espagne (105,95 FS). Pour les dispositifs intra-utérins, les dépenses de la première année d'utilisation se sont situées entre zéro au Royaume-Uni et en Suède et 449,87 FS en Autriche, alors que la stérilisation est pratiquée gratuitement en France, en Allemagne de l'Ouest et au Danemark, par comparaison avec un coût de 677,57 FS en Italie. Cette variation des dépenses peut largement s'expliquer par la mesure dans laquelle les frais de contraception sont remboursés dans les différents pays. La corrélation entre les dépenses calculées pour une méthode et son utilisation n'a pas révelé de tendance statistiquement significative, ce qui semble indiquer que les importantes différences dans le choix de la méthode contraceptive d'un pays à l'autre ne sont pas liées aux différences entre les régimes de remboursement nationaux et les coûts qui en résultent pour les utilisateurs, mais que d'autres facteurs interviennent probablement.
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13.
This study compared the frequency of factors and diseases that contribute to the risks of oral contraceptive use among current users and non-users of oral contraception in order to evaluate the users' awareness of factors associated with complications during oral contraceptive use. Data from 5317 current users and 8863 non-users in the state of São Paulo, Brazil, were collected using questionnaires requesting information on the following variables: use of oral contraceptives, age, weight, smoking status, and the presence or history of hypertension, diabetes, cardiopathies, painful varicose veins, and epilepsy. Half of the users had some risk factors, and 17.4% were at high risk of complications from oral contraceptive use. Risk factors and diseases which appeared to be poorly known by the population as increasing the risk of oral contraceptive use were smoking, hypertension and painful varicose veins. Only a small percentage of the population appeared to know that these diseases and factors could increase the risk of health problems during oral contraceptive use. The results suggest a lack of information among users and providers on factors which are associated with an increased risk of health problems during use of oral contraceptives.
Resumen Este estudio comparó la frecuencia de factores y enfermedades que contribuyen al riesgo de los anticonceptivos orales (AO) entre usuarias y no usuarias corrientes de anticonceptivos orales a fin de evaluar el grado de conocimiento entre las usuarias de los factores asociados con complicaciones durante el uso de AO. Se recopilaron datos de 5317 usuarias y 8863 no usuarias corrientes del Estado de S@o Paulo, Brasil, utilizando cuestionarios en los que se solicitabe información acerca de las siguientes variables: uso de AO, edad, peso, fumadora/no fumadora y la presencia o historia de hipertensión, diabetes, cardiopatías, várices dolorosas y epilepsia. La mitad de las usuarias tenían algunos factores de riesgo y el 17,4% de ellas corrían un alto riesgo de complicaciones por el uso de anticonceptivos orales. Los factores de riesgo y enfermedades que parecían ser poco conocidos por la población como tendientes a aumentar el riesgo del uso de anticonceptivos orales eran el fumar, la hipertensión y las várices dolorosas. Sólo un pequeño porcentaje de la población parecía saber que estas enfermedades y factores podían aumentar el riesgo de problemas de salud durante el uso de anticonceptivos orales. Los resultados sugieren una falta de información de las usuarias y proveedores con respecto a factores que están asociados con un riesgo mayor de problemas de salud durante el uso de anticonceptivos orales.

Resumé Pour évaluer dans quelle mesure les utilisatrices et non utilisatrices de contraceptifs oraux sont sensibilisées aux facteurs associés à des complications, cette étude a comparé la fréquence des facteurs et des maladies qui contribuent au risque que présente l'utilisation de ces contraceptifs. Dans l'Etat de Sao Paulo (Brésil), des données ont été recueillies auprès de 5317 utilisatrices et 8863 non utilisatrices, au moyen de questionnaires demandant des renseignements concernant les variables suivantes: utilisation de contraceptifs oraux, âge, poids, tabagisme, présence ou antécédents d'hypertension, diabète, cardiopathies, varices douloureuses et épilepsie. La moitié des utilisatrices présentaient certains facteurs de risque et 17,4% des facteurs de risque élevé de complications résultant de l'utilisation de contraceptifs oraux. Les facteurs de risque et les maladies dont la population semblait mal connaître l'effet d'augmentation des risques qu'entrîne l'ingestion de contraceptifs oraux étaient le tabagisme, l'hypertension et les varices douloureuses. Un faible pourcentage seulement de la population paraissait savoir que ces maladies et facteurs pouvaient accroître les risques de problèmes de santé durant l'utilisation des contraceptifs oraux. Les résultats suggèrent que les utilisatrices et les pourvoyeurs des services de contraception ne sont pas suffisamment informés des facteurs associés à un risque accru de problèmes de santé durant l'utilisation des contraceptifs oraux.
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A survey was made of 375 Russian gynecologists. The questionnaire on family planning and contraceptives was distributed at the beginning of three local educational symposia. Almost all participants filled in the questionnaire on attitudes, knowledge and experience with family planning. The sample consisted of departmental specialists and heads of departments/clinics, working mainly at in-or out-patient women's health clinics. The mean age was 37 years; 83% were women, living in medium-sized or large cities (80%). Half of them had been working as a gynecologist for more than 10 years. Only 55% had been trained in family planning. The main reasons mentioned for the high abortion rate in Russia were the lack of education, non-involvement of male partner, and lack of modern contraceptives. Most of the gynecologists were in favor of special family planning clinics with special attention to services for the users. About half of the physicians knew how the pill works and estimated that 41% of women know that the pill contains estrogens. Sixty-two percent found that patients are badly informed about available contraception. Main sources of information on contraception were journals/books, colleagues and mass media. The majority reported having a directive style of patient counseling, and stated that parents should be informed of their teenager's sexual experiences. The more experienced physicians with a training in family planning were better informed on contraception and showed a more patient-concerned attitude. It is concluded that health care providers should be the main target group of training and education in family planning, and need the support of Western European family planning organizations.Resumé Une enquête a été menée auprès de 375 gynécologues russes. Un questionnaire portant sur le planning familial et les contraceptifs a été distribué au début de trois colloques éducatifs locaux. Les participants ont presque tous rempli ce questionnaire sur les attitudes, les connaissances et les expériences en matière de planning familial. L'échantillon est composé de spécialistes de services et de chefs de services/cliniques travaillant pour la plupart dans des cliniques pour femmes en consultations externes ou internes. L'âge moyen était de 37 ans: 83% étaient des femmes vivant dans des villes de taille moyenne ou grande (80%). La moitié d'entre eux étaient gynécologues depuis plus de 10 ans. A peine 55% avaient reçu une formation en matière de planning familial. La principale raison évoquée pour expliquer le pourcentage élevé d'avortements en Russie concernait le manque d'éducation, le désengagement du partenaire masculin et le manque de contraceptifs modernes. La plupart des gynécologues se sont prononcés en faveur de cliniques spécialisées en planning familial, particulièrement orientées vers l'assistance à fourmir aux utilisatrices. Environ la moitié des cliniciens savent comment fonctionne la pilule. Ils supposent que 41% des femmes savent que la pilule contient des oestrogènes. L'expérience de 62% d'entre eux laisse penser que les patientes sont mal informées sur la contraception mise à leur disposition. Les principales sources d'information sur la contraception dont dispose le médecin sont les revues/livres, les collègues et les médias. La majorité d'entre eux a indiqué que leur rôle était de conseiller les patients et que les parents des jeunes devraient être informés des expériences sexuelles de ceux-ci. Les cliniciens les plus expérimentés, qui ont bénéficié d'une formation en matière de planning familial, sont mieux informés au sujet de la contraception et font preuve d'une attitude plus ouverte à l'égard des patientes. L'exposé conclut que ceux qui dispensent les soins de santé doivent constituer le principal groupe cible pour l'éducation et la formation en matière de planning familial et qu'ils ont besoin d'être appuyés par les organisations de planning familial d'Europe occidentale.
Resumen Se realizó un estudio entre 375 ginecólogos rusos. Un cuestionario sobre planificación familiar y anticonceptivos se distribuyó al principio de tres simposios educativos locales. Casi todos los participantes llenaron el cuestionario sobre actitudes, conocimientos y experiencia en materia de planificación familiar. La muestra consistió en especialistas de departamentos y jefes de departamento/clínicas, que trabajaban principalmente en clínicas de mujeres con consultas internas y externas. La edad media era 37 años; el 83% eran mujeres que vivían en ciudades de tamaño mediano o grande (80%). La mitad eran ginecólogos desde hacía más de 10 años. Sólo el 55% había sido capacitado en materia de planificación familiar. Las principales razones citadas para explicar el alto porcentaje de abortos en Rusia se referían a la falta de educación, la falta de interés del compañero y la escasez de anticonceptivos modernos. La mayoría de los ginecólogos se mostraron a favor de clínicas especializadas en planificación familiar, orientadas en particular a los servicios prestados a las usuarias. Alrededor de la mitad de los médicos clínicos saben cómo funciona la píldora. Suponen que el 41% de las mujeres saben que la píldora contiene estrógenos. La experiencia del 62% de ellos indica que las pacientes están mal informadas acerca de los anticonceptivos disponibles. Las principales fuentes de información sobre anticonceptivos de que disponen los médicos son las revistas/libros, los colegas y los medios de difusión. La mayoría señaló que orienta a las pacientes y que los padres de adolescentes debían estar informados de las experiencias sexuales de éstas. Los médicos de más expriencia, que habían sido capacitados en materia de planificación familiar, están mejor informados sobre los anticonceptivos y manifiestan una actitud más abierta con respecto a las pacientes. Se llega a la conclusión de que los proveedores de atención de la salud deben constituir el principal grupo a alcanzar en la esfera de la capacitación y educación sobre planificación familiar. y que se necesita el apoyo de organizaciones de planificación familiar de Europa Occidental.
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Currently, the pill and IUD account for 83% of contraceptive use in Egypt; Norplant will be an important complement to those methods of family planning. In Egypt where childbearing begins early, and closely spaced pregnancies are the norm, the long duration of Norplant's effectiveness and its relative ease of use should be appealing. The Egyptian Fertility Care Society (EFCS) initiated a study in 1988 on the acceptability of Norplant in Egypt to study the clientele of the EFCS clinical trial in the five university teaching hospitals.The clinical trial participants were women in their thirties who had an average of four children. Most had used a method of family planning before Norplant, and were anxious to maintain contraceptive protection as most wanted no more children. Satisfaction with Norplant among users was high. In the survey, 93% of the women expressed satisfaction with the method. More than half (67%) of the women said they would consider using Norplant again in the future, and another 22% were undecided. Eighty-seven percent of the women who had not discontinued were planning to continue with their current Norplant set for the full five years.Egyptian women like Norplant because of its long duration of effectiveness, the site of insertion, its ease of use, and its relative lack of perceived side-effects compared to the pill and IUD. In Egypt where a reliable, long-term, but not permanent method of contraception is badly needed, Norplant should become a popular method of family planning.
Resumen La píldora y el DIU representan actualmente el 83 por ciento de la utilización de anticonceptivos en Egipto (EDHS, 1989); el Norplant será un complemento importante de los métodos de planificación familiar utilizados. En Egipto, donde se comienza a tener hijos a edad temprana y los embarazos con poco intervalo entre sí son lo habitual, la duración prolongada de la eficacia del Norplant y su relativa facilidad de uso habrán de ser características atractivas. La Asociación de Atención de la Fecundidad en Egipto (EFCS) inició en 1988 un estudio sobre la aceptabilidad del Norplant en Egipto a fin de examinar la clientela del ensayo clínico de la EFCS en los cinco hospitales escuela universitarios.Las participantes del ensayo clínico eran mujeres de edad comprendida entre los treinta y cuarenta años que tenían en promedio cuatro hijos. La mayoría había utilizado un método de planificación familar antes del Norplant y tenía gran interés en mantener la protección anticonceptiva ya que no deseaba tener más hijos. Las mujeres manifestaron un alto nivel de satisfacción con el Norplant. En el estudio, el 93 por ciento de las mujeres se mostraron satisfechas con el método. Más de la mitad (67 por ciento) de las mujeres dijeron que considerarían volver a utilizar el Norplant en el futuro y el 22 por ciento de las mujeres se mostraron indecisas. El 87 por ciento de las mujeres que no habían interrumpido el uso proyectaban continuarlo con su actual Norplant durante el período completo de cinco años.A las mujeres egipcias les agrada el Norplant por su prolongada duración de eficacia, el lugar de inserción, su facilidad de uso y su relativa falta de effectos secundarios advertidos en comparación con los de la píldora y el DIU. En Egipto, donde se necesita en gran medida un método anticonceptivo fiable, de larga duración pero no permanente, el Norplant podría llegar a ser un método popular de planificación familiar.The Norplant system is a long-acting, low-dose, progestin-only contraceptive method for women. The drug, levonorgestrel, is delivered by means of six silastic capsules implanted subdermally in the arm by a minor surgical technique. Effectiveness is achieved by the steady release of the progestin from the interior of the capsules through the silastic into the blood. A level of levonorgestrel sufficient to prevent conception is reached 24 hours after placement and is maintained for more than five years [1].

Résumé Actuellement, la pillule et le dispositif intra-utérien représentent 83% des moyens contraceptifs utilisés en Egypte (EDHS, 1989). Norplant apportera un complément important à ces méthodes de planning familial. En Egypte, où les femmes sont très jeunes en âge de procréer et où les grossesses se succèdent généralement à intervalles très rapprochés, la longue durée et l'efficacité de Norplant ainsi que la facilité relative de son utilisation devraient être attrayantes. L'association égyptienne qui s'occupe des questions de fécondité (EFCS) a entrepris en 1988 une étude sur l'aaceptabilité de Norplant en Egypte. Cette étude porte sur des patientes qui se sont soumises à un essai clinique parrainé par l'EFCS dans cinq hôpitaux universitaires.Les femmes participant à l'essai clinique étaient toutes âgées de 30 à 40 ans et avaient en moyenne quatre enfants. La plupart avaient fait appel à une méthode de planning familial avant d'utiliser les implants et souhaitaient continuer à bénéficier d'une protection contraceptive car elles voulaient, pour la plupart, ne plus avoir d'enfants. Les utilisatrices de Norplant ont témoigné d'une très grande satisfaction. Au cours de l'enquête, 93% des femmes se sont dites satisfaites de la méthode. Plus de la moitié (67%) ont précisé qu'elles envisageraient d'utiliser Norplant dans l'avenir, alors que 22% n'en étaient pas absolument certaines. De celles qui n'avaient pas abandonné la méthode, 87% prévoyaient de continuer à utiliser leur série courante de Norplant pour la période complète de cinq années.Les femmes égyptiennes aiment Norplant en raison de la longue durée d'efficacité, du site d'insertion, de la facilité d'utilisation et de l'absence relative d'effets secondaires perçus, par comparaison avec la pillule et les DIU. En Egypte, où il est absolument nécessaire de pouvoir compter sur une méthode de contraception fiable, à long terme mais non permanente, Norplant devrait devenir une méthode populaire de planning familial.
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16.
Norplant subdermal implants for contraception were introduced into UK clinical practice in October 1993. Use of Norplant requires providers to learn additional skills. A training program designed to give providers the opportunity to obtain these skills was designed and implemented through the co-operation of Hoechst Roussel, JHPIEGO and members, of the UK medical profession.Uptake of training for Norplant provision has been widespread and Norplant has been established as a realistic contraceptive choice for women in the UK. Introduction of Norplant in the UK has raised many issues that go beyond clinical considerations.
Resumen Los implantes subcutáneos de Norplant con fines anticonceptivos se introdujeron en la práctica clínica en el Reino Unido en octubre de 1993. El uso de Norplant requiere, que los proveedores aprendan técnicas adicionales. Una programa de adiestramiento para brindar a los proveedores la oportunidad de aprender esta técnica fue creado y aplicado a través de la cooperación de Hoechst Roussel, JHPIEGO y miembros de la profesión médica británica.La aceptación del adiestramiento para la provisión de Norplant ha sido amplia y Norplant se ha arraigado como elección anticonceptiva realista para mujeres en el Reino Unido. La introducción en el Reino Unido ha, suscitado muchas cuestiones que trascienden las consideraciones clínicas.

Resumé Les implants contraceptifs sous-cutanés Norplant on été introduits dans la pratique clinique au Royaume-Uni en octobre 1993. Pour dispenser les contraceptifs Norplant, les intervenants ont besoin de compétences supplémentaires. Un programme de formation à leur intention, destiné, à leur fournir l'occasion d'acquérir ces compétences, a été mis en oeuvre grâce à une coopération entre Hoechst Roussel, JHPIEGO et des membres de la profession médicale du Royaume-Uni.Ce programme de formation pour l'administration de la méthode Norplant a eu beaucoup de succès, de sorte que ces implants constituent maintenant une option contraceptive valable pour les femmes au Royaume-Uni. Son introduction dans ce pays a cependant soulevé de nombreuses questions qui vont audelà de considérations d'ordere clinique.
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17.
Objective: This study was carried out to determine the prevalence ofChlamydia trachomatis (CT) antigen in endocervical smears from women using the Copper-T200 (Cu-T) intrauterine device and comparing them with nonusers. MetMethods: The direct fluorescent antibody (DFA) test was used to detect the CT antigen (CT Ag). Results: A total of 422 women between 17 and 42 years of age was evaluated. Out of these 71 (16.8%) were positive for CT Ag. Among Cu-T users (n=222), 14.0% were positive. The duration of Cu-T use varied from 6 to 80 months. Among nonusers (n=200), the DFA test was positive in 20.0% (p=0.11, NS). However, as a whole, symptoms related to genital tract infection were significantly more common in Copper-T users than in nonusers (p<0.02) and signs were relatively more common in Cu-T users but not significantly so (p=0.16). Similarly, as a group, symptoms as well as signs were significantly more common in all DFA-positive cases than in all negative cases (p=0.02). Among Cu-T users, symptoms were relatively more common, and signs were significantly more common, in women positive for CT Ag than in the negative cases (p<0.04). There were two cases of mild pelvic inflammatory disease (PID) diagnosed clinically, one in a Copper-T user, and the other a nonuser, both being positive by the DFA test. Conclusion: There was no correlation between the duration of Copper-T use and percent positivity for CT Ag. Although milder genital tract symptoms and signs were more common in women with chlamydial cervicitis, clinically PID appears to be uncommon (0.5%). PID in this study was not related to Copper-T use but related to chlamydial cervicitis in this group of women with low risk sexual behavior.
Resumen Objetivo: Este estudio se realizó a fin de determinar la incidencia del antígeno deChlamydia trachomatis (CT) en frotis endocervicales de mujeres que utilizaban el dispositivo intrauterino Copper-T200 (Cu-T) y comparándolos con mujeres que no lo utilizaban. Métodos: Se utilizó la prueba del anticuerpo fluorescente directo (DFA) para detectar el antígeno CT (CT Ag). Resultados: Se evaluó un total de 422 mujeres de 17 a 42 años de edad. De este total, 71 (16,8%) fueron positivas al CT Ag. Entre las usuarias del Cu-T (n=222), el 14,0% de las mujeres fueron positivas. La duración del uso del Cu-T varió entre 6 y 80 meses. Entre las no usuarias (n=200), la prueba del DFA fue positiva en el 20,0% (p=0,11, NS). Sin embargo, en total, los síntomas relativos a infecciones del aparato genital fueron significativamente más comunes entre las usuarias del Copper-T que entre las no usuarias (p<0,02) y los signos fueron relativamente más comunes entre las usuarias del Cu-T pero no significativamente (p=0,16). Del mismo modo, como grupo, los síntomas así como los signos fueron significativamente más comunes en todos los casos positivos de DFA que en todos los casos negativos (p<0,02). Entre las usuarias del Cu-T, los síntomas fueron relativamente más comunes y los signos fueron significativamente más comunes, en las mujeres positivas al CT Ag que en los casos negativos (p<0,04). Hubo dos casos de enfermedad pélvica inflamatoria (PID) leve diagnosticada clínicamente, uno en una usuaria del Copper-T y el otro en una no usuaria, siendo ambas positivas a la prueba DFA. Conclusión: No hubo ninguna correlación entre la duración del uso del Copper-T y la positividad porcentual al CT Ag. Si bien los síntomas y signos más leves del aparato genital fueron más comunes en las mujeres con cervicitis porChlamydia, clínicamente la PID no parece ser común (0,5%). En el presente estudio, la PID no estuvo relacionada con el uso del Copper-T sino con la cervicitis porChlamydia en este grupo de mujeres con conducta sexual de bajo riesgo.

Resumé Objectif: Cette étude a été menée dans le but de déterminer la prévalence de l'antigène de la Chlamydia trachomatis (CT) dans les frottis endocervicaux de femmes utilisant le dispositif intra-utérin Copper-T200 (Cu-T), par comparaison avec des non-utilisatrices. Protocole: On a eu recours au test direct de fluorescence de l'anticorps pour déceler l'antigène CT (Ag CT). Résultats: Le test a porté sur 422 femmes âgées de 17 à 42 ans. Chez 71 de celles-ci (16,8%), on a décelé l'Ag CT. Parmi les utilisatrices du Cu-T (n=222), 14% des tests ont été positifs. La durée du port de ce dispositif variait de 6 à 80 mois. En ce qui concerne les non-utilisatrices (n=200), le test de fluorescence a été positif dans 20% des cas (p=0,11, NS). Toutefois, pour l'ensemble, les symptômes liés à une infection de l'appareil génital étaient significativement plus fréquents chez les utilisatrices du Cu-T que chez les femmes qui ne l'utilisaient pas (p<0,02) et les signes relativement plus fréquents chez les premières, sans pourtant être significatifs (p=0,16). De même, considérés en groupe, les symptômes et les signes étaient significativement plus fréquents dans tous les tests positifs que dans tous les cas négatifs (p<0,02). Chez les femmes utilisant le dispositif, les symptômes étaient relativement plus fréquents, et les signes significativement plus fréquents, lorsque l'Ag CT avait été décelé que dans les cas de réaction négative (p<0,04). On a diagnostiqué cliniquement deux cas d'inflammation pelvienne (IP), l'un chez une femme portant le Cu-T et l'autre chez une femme ne l'utilisant pas, le test de fluorescence ayant été positif pour l'une comme pour l'autre. Conclusion: On n'a constaté aucune corrélation entre la durée du port du Cu-T et le pourcentage de réaction positive au test de fluorescence. Bien que des symptômes et des signes bénins aient été plus communs dans l'appareil génital des femmes atteintes de cervicite chlamydiale, les examens cliniques semblaient indiquer que les IP étaient rares (0,5%). Dans cette étude, l'IP n'était pas liée à l'utilisation du Cu-T mais à une cervicite chlamydiale dans ce groupe de femmes dont le comportement sexuel présentait peu de risques.
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18.
This retrospective analysis was conducted to determine whether IUD users are good candidates for laparoscopic sterilization using the tubal ring and the Filshie clip. The data set used for the analysis came from international multicenter clinical trials involving 1235 women who were sterilized by the tubal ring and 1892 women sterilized by the Filshie clip. Results indicate that former IUD use is not associated with an increased risk of surgical injuries, including uterine perforation, major complications, or postoperative infections, for either of these tubal occlusion techniques. The risk of a sterilization procedure ending in technical failure (defined as switching to laparotomy and/or a tubal occlusion technique not originally planned) among tubal ring cases was greater for former IUD users than for non-IUD users.However, this may be related to a center effect. Nine of the 10 ring cases with technical difficulties were successfully switched to electrocoagulation, and the operator did not have to resort to an unintended laparotomy. The incidence of surgical difficulties among the Filshie clip cases was also higher in former IUD users, but all of these difficulties were safely overcome without changing the tubal occlusion method.These findings lead us to believe that, in general, a woman's IUD use should not generally be a reason for an experienced service provider to hesitate in performing an interval laparoscopic sterilization using a mechanical tubal occlusion technique.
Resumen Se realizó este análisis retrospectivo a fin de determinar si las usuarias de DIU son buenas candidatas para la esterilización laparoscópica utilizando el anillo de las trompas y el clip de Filshie. La serie de datos que se utilizó para el análisis provino de ensayos clínicos multicentro internacionales en los que participaron 1.235 mujeres que fueron esterilizadas mediante el anillo de las trompas y 1.892 mujeres esterilizadas mediante el clip de Filshie. Los resultados indican que el uso previo de DIU no está asociado con un aumento del riesgo de lesiones quirúrgicas, tales como perforación uterina, complicaciones graves o infecciones postoperatorias, en ninguna de estas técnicas de oclusión de las trompas. El riesgo de que el procedimiento de esterilización concluyera en un fracaso técnico (definido como el paso a la laparotomía y/o una técnica de oclusión de las trompas no planeada originalmente) entre los casos de anillo de las trompas fue mayor para las usuarias anteriores de DIU que para las no usuarias de DIU.Sin embargo, esto puede estar relacionado con el centro. Nueve de los 10 casos de anillo con dificultades técnicas pasaron satisfactoriamente a la electrocoagulación y el operador no tuvo que recurrir a una laparotomía no planeada. La incidencia de dificultades quirúrgicas entre los casos con clip de Filshie fue también mayor en las usuarias anteriores de DIU, pero todas estas dificultades se resolvieron satisfactoriamente sin cambiar el método de oclusión de las trompas.Estos resultados nos hacen pensar que, en general, el uso de DIU en la mujer no debe ser generalmente un motivo por el cual un proveedor experimentado del servicio dude en realizar una esterilización laparoscópica de intervalo utilizando una técnica mecánica de oclusión de las trompas.

Resumé Une analyse rétrospective a été faite pour déterminer si les utilisatrices de DIU sont de bonnes candidates pour la stérilisation laparoscopique au moyen de l'anneau tubaire et de l'agraffe de Filshie. Les données consultées pour l'analyse provenaient d'essais cliniques effectués dans plusiers centres de plusieurs pays. Elles portaient sur 1235 femmes stérilisées par la technique de l'anneau tubaire et 1892 femmes stérilisées au moyen de l'agraffe de Filshie. Les résultats indiquent que l'utilisation antérieure de DIU n'est pas associée à un risque accru le lésions chirurgicales, notamment de perforation utérine, de complications graves ou d'infections post-opératoires, dans le cas ni de l'une ni de l'autre de ces techniques. Le risque d'un échec technique du procédé de stériliation dans le cas de la méthode de l'anneau tubaire était plus élevé chez les anciennes utilisatrices de DIU que chez les autres (un échec étant défini comme la nécessité de recourir en définitive à une laparotomie et/ou à une technique d'occlusion des trompes qui n'était pas à l'origine prévue).Ce résultat peur cependant être attribué des circonstances particulières aux centres. Neuf fois sur 10, lorsque des difficultés techniques ont surgi dans des cas de stérilisation au moyen de l'anneau, elles ont été surmontées grâce à l'électrocoagulation et l'opérateur n'a pas eu besoin de recourir à une laparotomie imprévue. Les difficultés chirurgicales dans les cas de la technique des agraffes de Filshie ont aussi été plus fréquentes chez les anciennes utilisatrices de DIU, mais toutes ces difficultés ont été surmontées en toute sécurité sans changer la méthode d'occlusion tubaire.Ces résultats laissent penser qu'en règle générale, pour un pourvoyeur expérimenté des services de contraception, le fait qu'une femme ait utilisé les DIU ne devrait pas être une raison valable pour hésiter à pratiquer à intervalles une stérilisation laparoscopique en appliquant la technique de l'occlusion tubaire par un moyen mécanique.
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19.
US women attending family planning clinics in Texas, were surveyed to determine which characteristics, experiences, behavior and specific needs were associated with the selection of the contraceptive NorplantR. Race, ethnic origin, age and education were unrelated to choice of method. Increased numbers of previous pregnancies, familiarity with the method, dissatisfaction with previous methods, and sources of information about Norplant were associated with its selection. There was significant variation among the clinics in the proportion of patients to which they dispensed the method. Therefore, clinic selection may have influenced the outcomes of contraceptive decisions.
Resumen Las mujeres que asistían a clínicas de planificación familiar en Texas, Estados Unidos, fueron objeto de un estudio a los efectos de determinar qué características, experiencias, conducta y necesidades específicas se asociaban con la elección, del anticonceptivo NorplantR. La raza, el origen étnico, la edad y la educación no influían sobre la elección del método. El número creciente de embarazos anteriores, la familiarización con el método, la insatisfacción con métodos anteriores y las fuentes de información acerca de Norplant se asociaban con su elección. Había variaciones significativas entre las clínicas en cuanto a la proporción de pacientes a las que se suministraba este método Por consiguiente, es posible que la elección de clínica haya influido sobre los resultados de las decisiones adoptadas en materia de anticonceptivos.

Resumé Les femmes fréquentant des cliniques de planning familial au Texas (Etats-Unis) ont fait l'objet d'une étude destinée à cerner les caractéristiques, expériences, comportement et besoins particuliers qui les avaient poussées à choisir la méthode contraceptive NorplantR. La race, l'origine ethnique, l'âge et le niveau d'instruction n'avaient aucun rapport avec le choix de la méthode. Il était cependant lié au nombre croissant de grossesses antérieures, au fait que les patientes comprenaient bien cette méthode ou qu'elles étaient mécontentes de méthodes précédemment adoptées, ainsi qu'aux sources d'information sur les implants. La proportion des patientes auxquelles cette méthode était dispensée variait significativement d'une clinique à l'autre. Il est donc possible que le choix de la clinique ait influencé la suite des décisions prises concernant la contraception.
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20.
Sexual activity during and after pregnancy   总被引:2,自引:0,他引:2  
The factors related to sexual behavior during pregnancy and after childbirt were studied in 352 Nigerian women. Sexual frequency was higher during the postnatal period (1.7 times per week) compared to the pregnancy period (1.5 times per week). Coital frequency also showed no difference for the various social class and age groups but was more prevalent among the primigravidas compared to the higher parity groups (p<0.05).Vulval itching was experienced in 246 (69.9%) women although this had no effect on sexual activity in 114 (46.5%) of them.The earliest date of resumption of sexual intercourse following childbirth was 3 days while the latest was 84 weeks. However, sexual activity was resumed between 6 and 12 weeks after delivery in 114 respondents (48.7%). The overall mean resumption time for sexual activity postpartum was 16.5 weeks. The longest mean resumption time occurred for breastfeeding/cultural reasons (41 weeks) and family planning reasons (23.9 weeks) while the shortest resumption time occurred for pleasure reasons (3.2 weeks).The attitude toward sexuality among African women during pregnancy and after childbirth can be said to be positive and purposeful, and this should be taken into account in the overall management of sexuality in the pregnant African woman.
Resume Se estudiaron en 352 mujeres nigerianas los factores relacionados con la conducta sexual durante el embarazo y después del parto. La frecuencia sexual fue superior durante el período posnatal (1,7 veces por semana) en comparación con el período de embarazo (1,5 veces por semana). La frecuencia del coito no señaló variaciones entre las diversas clases sociales y los diversos grupos de edad pero fue mayoe entre las primigrávidas que en los grupos de mayor paridad (p<0,05).Hubo prurito vulvar en 246 mujeres (69,9%) si bien esto no afectó la actividad sexual en 114 (46,5%) de ellas.La fecha más temprana de reanudación de las relaciones sexuales después del parto fue 3 días y la más tardía 84 semanas. Sin embargo, la actividad sexual se reanudó comúnmente entre las 6 y las 12 semanas posteriores al parto entre 114 entrevistadas (48,7%). El tiempo medio de reanudación de la actividad sexual despúes del parto fue 16,5 semanas. El período medio más prolongado de reanudación ocurrió por motivos de amamantamiento/culturales (41 semanas) y planificación familiar (23,9 semanas), mientras que el más breve ocurrió por motivos de placer (3,2 semanas).Puede decirse que la actitud con respecto a la sexualidad entre las mujeres africanas durante el embarazo y el posparto es positiva y decidida, factor que debe tenerse en cuenta en el manejo general de la sexualidad en la mujer africana embarazada.

Resumé Les facteurs liés au comportement sexuel pendant une grossesse et après une naissance ont été étudiés chez 352 femmes nigérianes. Les rapports sexuels étaient plus fréquents durant la période post-natale (1,7 fois par semaine) que pendant la grossesse (1,5 fois par semaine). Aucune différence n'est apparue en ce qui concerne la fréquence coïtale entre les différents groupes sociaux et groupes d'âges, avec toutefois une plus grande prévalence chez les primigestes que dans les groupes de multipares (p<0.05).Le prurit vulvaire s'est manifesté dans 246 cas (69,9%), sans pourtant avoir aucun effet sur l'activité sexuelle chez 114 femmes (46,5%).L'intervalle le plus court entre la reprise des rapports sexuels après un accouchement était de 3 jours, et le plus long de 84 semaines. Le plus fréquemment toutefois, l'activité sexuelle recommencait entre 6 et 12 semaines après l'accouchement, chez 114 des femmes interrogées (48,7%). Pour l'ensemble, la reprise de l'activité sexuelle après la naissance était en moyenne de 16,5 semaines. Les intervalles moyens les plus longs avant la reprise des rapports se sont vérifiés pour des raisons d'allaitement/culturelles (41 semaines) et de planning familial (23,9), tandis que le temps le plus court avait pour motif le plaisir (3,2 semaines).On peut dire que l'attitude sexuelle des femmes africaines durant la gestation et après l'accouchement est positive et réfléchie, ce qui devrait être pris en considération dans la gestion globale de la sexualité de la femme enceinte africaine.
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