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1.
Las primeras sugerencias de un efecto cardiovascular adverso en los anticonceptivos orales ya habían aparecido en la literatura en 1968. Para 1980 era claro, por diversos estudios epidemiológicos, que había un riesgo significativamente aumentado de infarto de miocardio y enfermedad tromboembólica asociado con el uso de anticonceptivos orales. Las pruebas relativas a hemorragia subaracnoides eran menos claras. Se ha demostrado que los anticonceptivos orales tienen un efecto adverso sobre la tensión arterial, los lípidos sanguíneos y los factores de coagulación de la sangre. Algunos de estos factores, o todos, están relacionados con la cantidad de estrógeno y progestágeno contenida en las preparaciones. La dosis de esteroides sexuales en los anticonceptivos orales de uso común en el Reino Unido y los Estados Unidos de América se ha reducido continuamente en el curso de las dos últimas décadas. Hay pruebas, en estudios epidemiológicos recientes, de que el riesgo relativo de infarto de miocardio asociado con el uso de anticonceptivos orales es inferior a lo previamente observado y de que el riesgo de tromboembolia venosa quizá se esté reduciendo asimismo al disminuir la dosis de estrógeno en los anticonceptivos orales. El riesgo de hemorragia subaracnoides mortal parece ser muy pequeño. Es probable que las preparaciones modernas de dosis baja no estén asociadas con el riesgo considerable de enfermedad cardiovascular observado en estudios epidemiológicos anteriores. El hábito de fumar representa un importante factor de riesgo de infarto de miocardio entre las mujeres jóvenes y esta enfermedad es sumamente rara ante la ausencia del hábito de fumar. Algunos investigadores han sugerido que el riesgo asociado con los anticonceptivos orales es sólo elevado cuando las mujeres fuman.Esta publicación está basada en una presentación hecha durante la sesión organizada por la SAC (Sociedad para el Estudio y Progreso de la Anticoncepción) Beneficios y Riesgos de la Anticoncepción Oral' durante el XIV Congreso Mundial de Fertilidad y Esterilidad en Caracas, Noviembre de 1992.  相似文献   

2.
In this paper studies on current contraceptive use and attitudes toward various contraceptive methods in Germany are reviewed. Both the former West and East Germany are considered. On the basis of the existing studies it is difficult to have a clear impression of which methods are currently used in both countries and how contraceptive practice developed over time, due to methodological differences between studies. Nevertheless, it can be concluded that use of reliable contraceptive methods is widespread in both East and West Germany. In this respect East Germany differs considerably from other previously communistic countries. Attitudes were mainly assessed in West Germany, and with respect to oral contraceptives and IUDs great concern appeared to exist regarding the safety of both methods. As far as oral contraceptives are concerned, selective mass media attention toward possible side-effects of oral contraceptives may have contributed to this situation.
Resumen En este trabajo se examinan estudios sobre la utilización actual de anticonceptivos y las actitudes actuales respecto a diversos métodos anticonceptivos en Alemania. Se considera tanto la antigua Alemania Occidental como la antigua Alemania Oriental. Sobre la base de los estudios existentes es difícil tener una impresión clara de los métodos actualmente utilizados en los dos antiguos países y del desarrollo de la práctica anticonceptiva en el curso del tiempo, debido a diferencias metodolágicas entre los estudios. Sin embargo, puede llegarse a la conclusión de que el uso de métodos anticonceptivos fiables se halla difundido tanto en Alemania Oriental como en Alemania Occidental. A este respecto, Alemania Oriental difiere considerablemente de los otros países anteriormente comunistas. Las actitudes se evaluaron principalmente en Alemania Occidental y, con respecto a los anticonceptivos orales y los DIU, pareció haber gran preocupación en cuanto a la seguridad de los dos métodos. En lo que se refiere a los anticonceptivos orales, es posible que la atención selectiva de los medios de difusión con respecto a posibles efectos secundarios de los anticonceptivos orales haya contribuido a esta situación.

Resumé Le présent exposé porte sur des études concernant l'utilisation et les attitudes actuelles à l'égard des méthodes contraceptives en Allemagne. Les anciennes Allemagne de l'ouest et de l'est y sont examinées. Sur la base des études existantes, il est difficile de se faire une idée claire des méthodes couramment utilisées dans ces deux pays et de l'évolution des pratiques contraceptives dans le temps. ces études reposant sur des méthodologies différentes. II est néanmoins permis de conclure que l'utilisation de méthodes contraceptives fiables est très répandue aussi bien à l'est qu'à l'ouest. A cet égard. l'Allemagne de l'est diffère considérablement des autres anciens pays communistes. Les attitudes sont évaluées principalement en Allemagne de l'ouest et, en ce qui concerne les contraceptifs oraux et les DIU, il semble que ces deux méthodes donnent lieu à de fortes préoccupations quant à leur sécurité. Dans le cas de la contraception orale, il est possible que cette attitude ait été créée par la focalisation sélective des médias sur d'éventuels effets secondaires des contraceptifs oraux.
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3.
A survey was made of 375 Russian gynecologists. The questionnaire on family planning and contraceptives was distributed at the beginning of three local educational symposia. Almost all participants filled in the questionnaire on attitudes, knowledge and experience with family planning. The sample consisted of departmental specialists and heads of departments/clinics, working mainly at in-or out-patient women's health clinics. The mean age was 37 years; 83% were women, living in medium-sized or large cities (80%). Half of them had been working as a gynecologist for more than 10 years. Only 55% had been trained in family planning. The main reasons mentioned for the high abortion rate in Russia were the lack of education, non-involvement of male partner, and lack of modern contraceptives. Most of the gynecologists were in favor of special family planning clinics with special attention to services for the users. About half of the physicians knew how the pill works and estimated that 41% of women know that the pill contains estrogens. Sixty-two percent found that patients are badly informed about available contraception. Main sources of information on contraception were journals/books, colleagues and mass media. The majority reported having a directive style of patient counseling, and stated that parents should be informed of their teenager's sexual experiences. The more experienced physicians with a training in family planning were better informed on contraception and showed a more patient-concerned attitude. It is concluded that health care providers should be the main target group of training and education in family planning, and need the support of Western European family planning organizations.Resumé Une enquête a été menée auprès de 375 gynécologues russes. Un questionnaire portant sur le planning familial et les contraceptifs a été distribué au début de trois colloques éducatifs locaux. Les participants ont presque tous rempli ce questionnaire sur les attitudes, les connaissances et les expériences en matière de planning familial. L'échantillon est composé de spécialistes de services et de chefs de services/cliniques travaillant pour la plupart dans des cliniques pour femmes en consultations externes ou internes. L'âge moyen était de 37 ans: 83% étaient des femmes vivant dans des villes de taille moyenne ou grande (80%). La moitié d'entre eux étaient gynécologues depuis plus de 10 ans. A peine 55% avaient reçu une formation en matière de planning familial. La principale raison évoquée pour expliquer le pourcentage élevé d'avortements en Russie concernait le manque d'éducation, le désengagement du partenaire masculin et le manque de contraceptifs modernes. La plupart des gynécologues se sont prononcés en faveur de cliniques spécialisées en planning familial, particulièrement orientées vers l'assistance à fourmir aux utilisatrices. Environ la moitié des cliniciens savent comment fonctionne la pilule. Ils supposent que 41% des femmes savent que la pilule contient des oestrogènes. L'expérience de 62% d'entre eux laisse penser que les patientes sont mal informées sur la contraception mise à leur disposition. Les principales sources d'information sur la contraception dont dispose le médecin sont les revues/livres, les collègues et les médias. La majorité d'entre eux a indiqué que leur rôle était de conseiller les patients et que les parents des jeunes devraient être informés des expériences sexuelles de ceux-ci. Les cliniciens les plus expérimentés, qui ont bénéficié d'une formation en matière de planning familial, sont mieux informés au sujet de la contraception et font preuve d'une attitude plus ouverte à l'égard des patientes. L'exposé conclut que ceux qui dispensent les soins de santé doivent constituer le principal groupe cible pour l'éducation et la formation en matière de planning familial et qu'ils ont besoin d'être appuyés par les organisations de planning familial d'Europe occidentale.
Resumen Se realizó un estudio entre 375 ginecólogos rusos. Un cuestionario sobre planificación familiar y anticonceptivos se distribuyó al principio de tres simposios educativos locales. Casi todos los participantes llenaron el cuestionario sobre actitudes, conocimientos y experiencia en materia de planificación familiar. La muestra consistió en especialistas de departamentos y jefes de departamento/clínicas, que trabajaban principalmente en clínicas de mujeres con consultas internas y externas. La edad media era 37 años; el 83% eran mujeres que vivían en ciudades de tamaño mediano o grande (80%). La mitad eran ginecólogos desde hacía más de 10 años. Sólo el 55% había sido capacitado en materia de planificación familiar. Las principales razones citadas para explicar el alto porcentaje de abortos en Rusia se referían a la falta de educación, la falta de interés del compañero y la escasez de anticonceptivos modernos. La mayoría de los ginecólogos se mostraron a favor de clínicas especializadas en planificación familiar, orientadas en particular a los servicios prestados a las usuarias. Alrededor de la mitad de los médicos clínicos saben cómo funciona la píldora. Suponen que el 41% de las mujeres saben que la píldora contiene estrógenos. La experiencia del 62% de ellos indica que las pacientes están mal informadas acerca de los anticonceptivos disponibles. Las principales fuentes de información sobre anticonceptivos de que disponen los médicos son las revistas/libros, los colegas y los medios de difusión. La mayoría señaló que orienta a las pacientes y que los padres de adolescentes debían estar informados de las experiencias sexuales de éstas. Los médicos de más expriencia, que habían sido capacitados en materia de planificación familiar, están mejor informados sobre los anticonceptivos y manifiestan una actitud más abierta con respecto a las pacientes. Se llega a la conclusión de que los proveedores de atención de la salud deben constituir el principal grupo a alcanzar en la esfera de la capacitación y educación sobre planificación familiar. y que se necesita el apoyo de organizaciones de planificación familiar de Europa Occidental.
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4.
This article examines the beliefs about Depo-Provera held by three groups of contraceptors utilizing urban family planning clinics in the United States (n=836). Patients choosing Depo-Provera, oral contraceptives, and Norplant were asked about their beliefs regarding Depo-Provera in the following four domains: effectiveness in preventing pregnancy, convenience, side-effects, and risk to health; and also for their perceptions regarding the physical discomfort and cost associated with the method.Findings reveal that patients choosing the pill and Norplant give Depo-Provera significantly lower ratings for both convenience and effectiveness than do Depo-Provera acceptors. Given the documented effectiveness of Depo-Provera, this is a potential cause for concern. Moreover, Norplant and pill choosers are most likely to hold inaccurate beliefs regarding both the cost of Depo-Provera, and certain side-effects associated with its use. Although more than half of all patients believe that Depo-Provera would cause menstrual changes and weight gain, it is noteworthy that the proportions are not higher, given their known association with the method. Knowledge about the likelihood of these side-effects is essential, particularly for those choosing Depo-Provera. Implications for physicians, counselors, and other family planning professionals are discussed.
Resumen Este artículo examina las creencias acerca de Depo-Provera en tres grupos de usuarias de anticonceptivos que recurrían a clínicas de planificación familiar en Estados Unidos (n=836). A las pacientes que escogieron Depo-Provera, anticonceptivos orales y Norplant se les preguntó qué pensaban de Depo-Provera en los cuatro aspectos siguientes: eficacia en prevenir el embarazo, conveniencia, efectos secundarios y riesgo para la salud, y también acerca de sus percepciones relativas al malestar físico y al costo asociados con el método.Los resultados revelan que las pacientes que escogieron la píldora y Norplant dieron a Depo-Provera una puntuación en cuanto a conveniencia y eficacia significativamente inferior a la de las mujeres que aceptaban Depo-Provera. Dada la eficacia documentada de Depo-Provera, ésta es una causa potencial de preocupación. Por otra parte, es más probable que las mujeres que eligen Norplant y la píldora tengan creencias inexactas relativas al costo de Depo-Provera y a ciertos efectos secundarios asociados con su uso. Si bien más de la mitad de las pacientes consideran que Depo-Provera causaría cambios menstruales y aumento de peso, cabe señalar que las proporciones no son más altas en vista de su asociación conocida con el método. El conocimiento de las probabilidades de estos efectos secundarios es esencial, especialmente para las que eligen Depo-Provera. Se tratan las repercusiones para los médicos, asesores y otros profesionales de la planificación familiar.

Resumé Cet article examine ce que pensent du Depo-Provera trois groupes de patientes fréquentant des cliniques de planning familial en zone urbaine aux Etats-Unis (n=836). On a demandé à des femmes qui avaient choisi d'utiliser le Depo-Provera, les contraceptifs oraux et le Norplant, d'abord ce qu'elles pensaient du Depo-Provera dans les quatre domaines suivants: efficacité à prévenir une grossesse, commodité, effets secondaires et risques pour la santé, ensuite quelle était leur attitude à l'égard de la gêne physique et du coût associé à cette méthode.Les résultats ont révélé que les patientes qui choisissent la pilule et Norplant attribuent au Depo-Provera des avantages significativement inférieurs à la commodité et à l'efficacité que ne le font celles qui utilisent Depo-Provera. Etant donné l'efficacité bien établie du Depo-Provera, il y a potentiellement lieu de s'inquiéter. En outre, les femmes qui avaient choisi Norplant et la pilule avaient davantage tendance à se faire une idée erronée non seulement du coût du Depo-Provera mais aussi de certains effets secondaires associés à son utilisation. Même si plus de la moitié de toutes les patientes croyaient que le Depo-Provera occasionnerait des changements dans le cycle menstruel et ferait prendre du poids, on peut néanmoins s'étonner du fait que cette proportion ne soit pas plus élevée, vu que l'on sait que ces inconvénients sont associés à cette méthode. Il est essentiel, surtout pour les femmes qui choisissent le Depo-Provera, de savoir que ces effets secondaires sont susceptibles de se manifester. L'article examine ce que cela signifie pour les médecins, les conseillers et les autres professionnels du planning familial.
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5.
Nota editorial     
Wide differences exist among European countries as regards national reimbursement schemes and the resulting individual expenditure on contraception. In this current research project annual expenditure and costs in the first year of use were calculated, taking into account existing reimbursement levels, for oral contraceptives, intrauterine devices, condoms, and sterilization in eight Western European countries: Italy, France, United Kingdom, Spain, West Germany, Austria, Sweden and Denmark. The costs were expressed in Swiss francs. For users of oral contraceptives it emerged that the annual expenditure on contraception ranged from nil in the United Kingdom to 172.32 Swiss francs in Austria. In the case of condoms, the cost to users was lowest in the United Kingdom (57.44 Swiss francs) and highest in Spain (105.95 Swiss francs). Expenditure on the use of an intrauterine device in the first year ranged from nil in the United Kingdom and Sweden ro 449.87 Swiss francs in Austria, while sterilization was carried out free of charge in France, West Germany and Denmark, as compared with a cost of 677.57 Swiss francs in Italy. The variation in expenditure was largely explained by the extent to which contraception costs are reimbursed in the respective countries. Correlation of the calculated expenditure on a method and its use did not show any statistically significant trend. This suggests that the wide differences in the choice of contraceptive methods between countries are not related to differences in national reimbursement schemes and resulting costs to users, and that other factors must be involved.
Resumen Hay grandes diferencias entre los países europeos en cuanto a programas nacionales de reembolso y los gastos individuales resultantes en métodos anticonceptivos. En el actual proyecto de investigación, se calcularon los gastos y costos anuales en el primer año de utilización, teniendo en cuenta los niveles existentes de reembolso relativos a anticonceptivos orales, dispositivos intrauterinos, preservativos y esterilización en ocho países de Europa Occidental: Italia, Francia, el Reino Unido, Españo, Alemania Occidental, Austria, Suecia y Dinamarca. Los costos se expresaron en francos suizos. En el caso de las mujeres que utilizaban anticonceptivos orales, se observó que el gastro anual en anticonceptivos variaba de cero en el Reino Unido a 172,32 francos suizos en Austria. En el caso de los preservativos, el costo para las usuarias registraba el nivel más bajo en el Reino Unido (57,44 francos suizos) y el más alto en Españo (105,95 francos suizos). Los gastos en la utilización de un dispositivo intrauterino en el primer año variaban de cero en el Reino Unido y Suecia a 449,87 francos suizos en Austria, mientras que la esterilización se realizaba gratuitamente en Francia, Alemania Occidental y Dinamarca, en comparación con un costo de 677,57 francos suizos en Italia. La variación en los gastos se explicaba en gran medida por el grado en que el costo de los anticonceptivos era reembolsado en los respectivos países. La correlación de los gastos calculados de un método y su utilización no indicó ninguna tendencia estadísticamente significativa. Ello sugiere que las grandes diferencias en la elección de métodos anticonceptivos entre países no están relacionadas con diferencias en los programas nacionales de reembolso y los costos resultantes para las usuarias y que podría haber otros factores involucrados.

Resumé Les régimes nationaux de remboursement des frais encourus individuellement pour la contraception varient énormément d'un pays européen à l'autre. Dans le projet de recherche actuel, on a calculé les dépenses et les coûts annuels durant la première année d'utilisation, en faisant entrer en ligne de compte les pourcentages de remboursement pour les contraceptifs oraux, les dispositifs intra-utériens, les préservatifs et la stérilisation dans huit pays européens: Italie, France, Royaume-Uni, Espagne, Allemagne de l'ouest, Autriche, Suède et Danemark. Les coûts sont exprimés en francs suisses. Pour les utilisatrices de contraceptifs oraux, il est apparu que la dépense annuelle allait de zéro au Royaume-Uni à 172,32 FS en Autriche. Dans le cas des préservatifs, le coût est le plus faible au Royaume-Uni (57,44 FS) et le plus élevé en Espagne (105,95 FS). Pour les dispositifs intra-utérins, les dépenses de la première année d'utilisation se sont situées entre zéro au Royaume-Uni et en Suède et 449,87 FS en Autriche, alors que la stérilisation est pratiquée gratuitement en France, en Allemagne de l'Ouest et au Danemark, par comparaison avec un coût de 677,57 FS en Italie. Cette variation des dépenses peut largement s'expliquer par la mesure dans laquelle les frais de contraception sont remboursés dans les différents pays. La corrélation entre les dépenses calculées pour une méthode et son utilisation n'a pas révelé de tendance statistiquement significative, ce qui semble indiquer que les importantes différences dans le choix de la méthode contraceptive d'un pays à l'autre ne sont pas liées aux différences entre les régimes de remboursement nationaux et les coûts qui en résultent pour les utilisateurs, mais que d'autres facteurs interviennent probablement.
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6.
This paper analyzes data from a population-based survey fielded in Sri Lanka, which showed that almost half of the women interested in using Norplant contraceptive subdermal implants were actually those who wanted to limit childbearing, a pattern also found in international Norplant clinical studies. A comparison between recently sterilized women and professed limiters of potential Norplant users showed the limiters to be socio-economically and demographically a significantly different group of women from those sterilized. Among several variables analyzed, the most important factor distinguishing the two groups was their relative economic status. Further comparison of the limiters with professed spacers interested in using Norplant showed that the spacers were yet another distinct category of women, the most important characteristic distinguishing between the two groups being the total number of living children. The preliminary results suggest that the Norplant implants system is not necessarily a substitute for sterilization; it appears potentially a popular method among those who want no more children but are not ready to accept sterilization. These findings that the potential Norplant implants users represent different gradients of women in the population have implications for provider counseling and user satisfaction as well as continuation.
Resumen En este trabajo se analizan los datos provenientes de un estudio efectuado en la población de Sri Lanka, que indicó que casi la mitad de las mujeres interesadas en utilizar implantes anticonceptivos subcutáneos Norplant eran efectivamente las que deseaban limitar sus embarazos, constatación efectuada igualmente en estudios clínicos internacionales realizados con tales implantes. Una comparación entre mujeres recientemente esterilizadas y usuarias potenciales de Norplant que manifestaron que deseaban limitar los nacimientos señaló que estas últimas constituían un grupo de mujeres que presentaban, desde el punto de vista económico y demográfico, diferencias significativas respecto de las mujeres esterilizadas. Entre las diversas variables analizadas, el factor más importante que distinguió a los dos grupos fue su respectivo nivel económico. Por otra parte, una comparación entre las mujeres que deseaban limitar los nacimientos y las que manifestaban que deseaban espaciarlos y se interesaban por el método Norplant indicó que estas últimas constituían incluso otra categoría de mujeres; la característica más importante que distinguía a los dos grupos fue el número total de hijos con vida. Los resultados preliminares sugieren que el método de implantes Norplant no es necesariamente una solución que reemplaza a la esterilización. Potencialmente, este método parece ser popular entre las mujeres que no desean tener más hijos pero que no están dispuestas a aceptar la esterilización. El hecho de que se pudieran definir, entre las usuarias potenciales de implantes Norplant, diferentes categorías de mujeres en la población tiene repercusiones en cuanto a los servicios de asesoramiento, la satisfacción de las usuarias y la continuación del método.

Resumé Cet exposé analyse les données résultant d'une étude effectuée dans la population du Sri Lanka, qui a révélé que près de la moitié des femmes intéressées par l'utilisation des implants contraceptifs sous-cutanés Norplant étaient effectivement celles qui souhaitaient limiter leurs grossesses, constatation faite également lors d'études cliniques internationales conduites sur ces implants. Une comparaison entre, d'une part des femmes récemment stérilisées et, d'autre part des utilisatrices potentielles de Norplant ayant affirmé qu'elles souhaitaient limiter les naissances, a fait apparaître que ces dernières consituaient un groupe de femmes présentant, du point de vue économique et démographique, des différences significatives par rapport à celles qui avaient été stérilisées. Parmi plusieurs variables analysées, le statut économique respectif était l'élément le plus important distinguant les deux groupes. De plus, une comparaison entre les femmes souhaitant limiter les naissances et celles qui déclaraient vouloir les espacer et s'intéresser à la méthode Norplant a montré que ces dernières constituaient encore une autre catégorie de femmes, la caractéristique la plus importante distinguant les deux groupes étant le nombre total d'enfants vivants. Les résultats préliminaires suggèrent que la méthode d'implants Norplant n'est pas forcément une solution de remplacement à la stérilisation. Potentiellement, cette méthode semble être une méthode d'élection pour les femmes qui désirent ne plus avoir d'enfants mais qui ne sont pas prêtes à accepter la stérilisation. Le fait que l'on ait pu définir, parmi les utilisatrices éventuelles d'implants Norplant, différentes catégories de femmes dans la population, a des incidences à la fois sur les services de guidance, sur la satisfaction des utilisatrices et sur la continuation de la méthode.
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7.
Los contraceptivos orales protegen frente al cáncer epitelial ovárico y el cáncer de endometrio. El grado de protección frente a ambos tipos de cáncer aumenta con la duración de su uso y persiste durante más de una década tras la interrupción del tratamiento. El carcinoma hepatocelular, es una consecuencia muy poco frecuente de la utilización de los contraceptivos orales en aquellos países en los que las cifras de frecuencia de esta enfermedad son bajas, pero no se ha demostrado esta complicación en las regiones donde la hepatitis C es endémica y las tasas subyacentes son elevadas. El riesgo de los adenomas celulares hepáticos también es mayor entre las usuarias de los contraceptivos orales. El colangiocarcinoma y el carcinoma de la vesícula biliar no se han asociado con la utilización de los contraceptivos orales. Se ha observado de modo bastante preciso que a mayor duración del empleo de los contraceptivos orales también es mayor el riesgo de aparición de un carcinoma cervical de células escamosas, tantoin situ como invasivo, incluso después de eliminar los posibles efectos confusivos de los exámenes citológicos y el comportamiento sexual de las mujeres estudiadas y sus parejas. El riesgo del adenocarcinoma cervical también se ha asociado con el uso de los contraceptivos orales. El empleo de estos preparados no se ha relacionado con una alteración global del riesgo de cáncer de mama en los estudios en los que se incluyeron mujeres con una amplia variación de edades. Sin embargo, su utilización a largo plazo se ha asociado con un aumento del riesgo del cáncer de mama en mujeres de menos de 45 años. El empleo de los contraceptivos orales no se ha relacionado con el riesgo de aparición del melanoma maligno.Esta publicación está basada en una presentación hecha durante la sesión organizada por la SAC (Sociedad para el Estudio y Progreso de la Anticoncepción) Beneficios y Riesgos de la Anticoncepción Oral' durante el XIV Congreso Mundial de Fertilidad y Esterilidad en Caracas, Noviembre de 1992.  相似文献   

8.
This paper presents and discusses data on oral contraception from a national representative survey (n-1072) on knowledge, attitudes and practice with regard to contraceptive use in the Czech and Slovak Federal Republic (CSFR). Only 7% of the women at risk of unplanned pregnancy used the pill. The low rate of use seems to be due to the general negative image of oral contraception, reinforced by the experiences of past users and opinions expressed by relative, friends, doctors, and the media. In particular, perceived psychological disadvantages have an important bearing on the decision not to use the method, whereas perceived advantages have hardly any impact. It is likely that this negative image is closely linked with the types of oral contraceptives that have been available in the country and also with the limited choice. Second- and thirdgeneration oral contraceptives have only very recently become available. It is recommended that balanced information on the advantages and disadvantages of oral contraception be made available to doctors and to the general public on a large scale and through a variety of channels.
Resumen En este trabajo se presentan y examinan datos relativos a anticonceptivos orales de una muestra representativa nacional (n=1072) sobre los conocimientos, actitudes y prácticas de utilización de anticonceptivos orales en la República Federal Checa y Eslovaca. La píldora se utiliza muy poco: el 7% de las mujeres corre el riesgo de un embarazo no planificado. Este porcentaje bajo se debe, según parece, usuarias y las opiniones expresadas por parientes, amigas, médicos y medios de difusión. En particular, ciertas percepciones en cuanto a desventajas psicológicas ejercen un efecto importante sobre la decisión de no recurrir a este método, mientras que la percepción de ventajas prácticamente carece de efecto. Es probable que esta imagen negative esté estrechamente relacionada con los tipos de anticonceptivos orales disponibles en el país así como su elección limitada. Los anticonceptivos orales de la segunda y tercera generación sólo existen ahí desde hace poco. Se recomienda facilitar información equilibrada sobre las ventajas y desventajas de los anticonceptivos orales a los médicos y al público en general, en gran escala y a través de numerosos medios diferentes.

Resumé Cet exposé présente et examine les données sur la contraception orale tirées d'une enquête nationale représentative (n=1072) sur les connaissances, attitudes et pratiques de l'utilisation des contraceptifs en République fédérale tchèque et slovaque. La pilule est très peu utilisée: par 7% des femmes risquant une grossesse non planifiée. Ce faible pourcentage semble être d à l'image généralement négative de la contraception orale, renforcée par l'expérience d'anciennes utilisatrices et les avis exprimés par des parents, amies, médecins et les médias. En particulier, certaines perceptions d'inconvénients psychologiques ont d'importantes incidences sur la décision de ne pas faire appel à cette méthode, alors que les avantages connus n'ont pratiquement aucun effet. Il est possible que cette image négative soit étroitement liée aux types de contraceptifs oraux disponibles dans ce pays ainsi qu'à leur choix limité. Les contraceptifs oraux de deuxième et troisième génération ne sont disponibles que depuis très peu de temps. Il est recommandé de mettre largement à la disposition des médecins et du grand public, par de nombreux moyens différents, une information équilibrée sur les avantages et les inconvénients de la contraception orale.
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9.
US women attending family planning clinics in Texas, were surveyed to determine which characteristics, experiences, behavior and specific needs were associated with the selection of the contraceptive NorplantR. Race, ethnic origin, age and education were unrelated to choice of method. Increased numbers of previous pregnancies, familiarity with the method, dissatisfaction with previous methods, and sources of information about Norplant were associated with its selection. There was significant variation among the clinics in the proportion of patients to which they dispensed the method. Therefore, clinic selection may have influenced the outcomes of contraceptive decisions.
Resumen Las mujeres que asistían a clínicas de planificación familiar en Texas, Estados Unidos, fueron objeto de un estudio a los efectos de determinar qué características, experiencias, conducta y necesidades específicas se asociaban con la elección, del anticonceptivo NorplantR. La raza, el origen étnico, la edad y la educación no influían sobre la elección del método. El número creciente de embarazos anteriores, la familiarización con el método, la insatisfacción con métodos anteriores y las fuentes de información acerca de Norplant se asociaban con su elección. Había variaciones significativas entre las clínicas en cuanto a la proporción de pacientes a las que se suministraba este método Por consiguiente, es posible que la elección de clínica haya influido sobre los resultados de las decisiones adoptadas en materia de anticonceptivos.

Resumé Les femmes fréquentant des cliniques de planning familial au Texas (Etats-Unis) ont fait l'objet d'une étude destinée à cerner les caractéristiques, expériences, comportement et besoins particuliers qui les avaient poussées à choisir la méthode contraceptive NorplantR. La race, l'origine ethnique, l'âge et le niveau d'instruction n'avaient aucun rapport avec le choix de la méthode. Il était cependant lié au nombre croissant de grossesses antérieures, au fait que les patientes comprenaient bien cette méthode ou qu'elles étaient mécontentes de méthodes précédemment adoptées, ainsi qu'aux sources d'information sur les implants. La proportion des patientes auxquelles cette méthode était dispensée variait significativement d'une clinique à l'autre. Il est donc possible que le choix de la clinique ait influencé la suite des décisions prises concernant la contraception.
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10.
To investigate relative efficacy of intrauterine diclofenac and ibuprofen as adjuvants to intrauterine quinacrine for nonsurgical sterilization, a total of 900 women were systematically allocated to 2 monthly insertions of pellets of diclofenac (75 mg) or ibuprofen (55.5 mg) as adjuvants to intrauterine quinacrine (216 mg) in a rural private practice in West Bengal, India. All women were prescribed oral contraceptives for three month from first insertion. In the middle of the study increased care was taken to insert pellets at the fundus. There was no statistically significant difference found in cumulative life-table pregnancy failure rates at 36 months for women receiving diclofenac (2.7±0.82) or ibuprofen (3.4±0.89). Taking care to insert pellets at the fundus resulted in a decline of failures at 24 months from 4.4±0.92 to zero. Intrauterine administration of pellets of quinacrine (216 mg) plus diclofenac (75 mg) or ibuprofen (55.5 mg) with 3 months' oral contraception provides acceptable efficacy if pellets are inserted to the fundus.
Resumen A fin de investigar la eficacia relativa de diclofenac e ibuprofen intrauterinos como adyuvantes de la quinacrina uterina para la esterilización no quirúrgica, se asignó sistemáticamenete un total de 900 mujeres a 2 inserciones mensuales de bolitas de 75 mg de diclofenac o de 55,5 mg de ibuprofen como adyuvantes de 216 mg de quinacrina intrauterina en un consultorio rural privado de Bengala Occidental, India. A todas las mujeres se les recetaron anticonceptivos orales durante tres meses desde la primera inserción. A mediados del estudio se prestó especial atención a la inserción de las bolitas en el fondo. No se determinó ninguna diferencia estadísticamente significativa en las tasas de fallo de las tablas de vida acumulativas a los 36 meses en el caso de las mujeres a las que se había recetado diclofenac (2,7±0,82) o ibuprofen (3,4±0,89). El cuidado en la inseción de las bolitas en el fondo originó una disminució de los fallos a los 24 meses, de 4,4±0,92 a cero. La administración intrauterina de bolitas de 216 mg de quinacrina más 75 mg de diclofenac o 55,5 mg de ibuprofen con 3 meses de anticonceptivos orales proporciona una eficacia aceptable si las bolitas se insertan en el fondo.

Resumé Lors d'une étude conduite dans le cabinet médical dune zone rurale au Bengale occidental (Inde) en vue de déterminer l'utilité relative du diclofénac et de l'ibuprofen en tant qu'adjuvants à la quinacrine, tous administrés par voie intrautérine pour la stérilisation non chirurgicale, on a pratiqué sur un total de 900 femmes, à 1 mois d'intervalle, 2 insertions de pellets contenant soit 75 mg de diclofénac soit 55,5 mg d'ibuprofen en tant qu'adjuvants à 216 mg de quinacrine. Des contraceptifs oraux ont été prescrits à toutes les femmes pendant les trois mois qui ont suivi la première insertion. Au milieu de la période d'étude, on a veilé plus particulièrement à insérer les pellets au fond de la cavité. On n'a constaté aucune différence statistiquement significantive dans les taux d'échec par grossesse sur les tables de survie cumulées à 36 mois, que les femmes aint recu du diclofénac (2,7±0,82) ou de l'ibuprofen (3,4±0,89). En prenant soin d'insérer les pellets au fond de la cavité, il a été possible de ramener le taux d'échecs à 24 mois de 4,4±0,92 à zéro. L'administration par voie intrautérine de pellets de 216 mg de quinacrine, plus 75 mg de diclofénac ou 55,5 mg d'ibuprofen, accompagnée d'une contraception orale pendant 3 mois est d'une utilité acceptable si les comprimés sont insérés au fond de la cavité.
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11.
Family planning in Italy   总被引:1,自引:0,他引:1  
In the past 5 years, four knowledge, attitude and practice (KAP) surveys on family planning have been organized by the Unit of Population Survey Methodology of the Istituto Superiore di Sanita' (National Institute of Health). These surveys show that during the past 20 years, use of reliable contraceptives in Italy has increased, particularly in the North, encouraged by the more open attitude toward sexual behavior, following legalization of the provision of information on contraception and abortion upon request, and other social and cultural changes.In 1989 and 1991, 25% of women in Central and Southern Italy were using the pill or an IUD. However, the percentage of women not using contraceptives was still high (26% in 1989, and 19% in 1991) and withdrawal was the most widley used method (31% and 33%). The data show large regional differences.The main reasons for not using contraception, in the 1989 study, were fear of side-effects and ignorance, especially in the youngest and oldest women. Those least likely to use modern contraception were the young, the ill-educated and the nulliparous women.Lack of information seems to be the main problem in Italy. In fact, the 5044 women interviewed showed a medium level of knowledge of contraception, with only 63% who could identify correctly the fecund period in the menstrual cycle. However, their attitude toward the use of modern contraception was positive; 65% of the women interviewed said they would recommend the Pill or an IUD to a friend, and 10% of them would recommend condoms.Induced abortion is still common in Italy (13 reported abortions per 1000 women aged 15–44), although the incidence has steadily decreased since 1982. In the vast majority of cases, abortion was an emergency measure after the failure of contraceptive methods. It has been calculated that from 10% to 50% of induced abortions might be prevented in a short period through appropriate programs of health education and family planning involving the 2474 governmental maternal and child healt clinics in Italy.
Resumen En los 5 últimos años, la Sección de Metodología de Encuestas Demográficas del Istituto Superiore di Sanità realizó cuatro estudios de conocimiento, actitud y práctica (KAP) respecto a la planificación familiar. Estos estudios indican que, en los 20 últimos años, el uso de anticonceptivos fiables en Italia ha aumentado, especialmente en el norte, fomentado por una actitud más abierta en cuanto a la conducta sexual, tras la legalización y otros cambios sociales y culturales.En 1989 y 1991, el 25% de las mujeres de la región central y meridional de Italia utilizaban la pídora o el DIU. Sin embargo, el porcentaje de mujeres que no utilizaban anticonceptivos continuaba siedo alto (26% en 1989 y 19% en 1991) y elcoitus interruptus era el método más utilizado (31% y 33%). Los datos indican grandes differencias regionales.Los motivos principales de la no utilización de anticonceptivos, en el estudio de 1989, eran el temor a los efectos secundarios y la ignorancia, especialmente entre las mujeres de menor y de mayor edad. Las que probablemente menos utilizaran anticonceptivos modernos eran las mujeres jóvenes, las de bajo nivel de educación y las nulíparas.La falta de información parece ser el problema principal en Italia. En realidad, las 5044 mujeres entrevistadas tenían un nivel medio de conocimiento y sólo el 63% pudo identificar correctamente el período de fecundidad del ciclo menstrual. Sin embargo, su actitud respecto al uso de anticonceptivos modernos era positiva; el 65% de las mujeres entrevistadas manifestaron que recomendarían la píldora o el DIU a una amiga y el 10% de ellas recomendarían preservativos.El aborto provocado continúa siendo común en Italia (13 abortos notificados por cada 1000 mujeres de 15–44 años de edad) si bien su incidencia ha disminuido constantemente desde 1982. En la gran mayoría de los casos, el aborto era una medida de emergencia después del fracaso de un método anticonceptivo. Se ha calculado que del 10 al 50% de los abortos provocados podría impedirse en un plazo breve mediante programas apropiados de educación sanitaria y planificación familiar con la participación de las 2474 clínicas maternoinfantiles estatales de Italia.

Resumé Au cours de cinq dernières années, le service chargé de la méthodologie pour les enquêtes sur la population à l'Istituto Superiore di Sanità a organisé quatre enquêtes sur les connaissances, les attitudes et les pratiques en matière de planning familial. Ces enquêtes ont révélé qu'au cours de vingt dernières années en Italie, l'utilisation de contraceptifs fiables s'est répandue, notamment dans le nord du pays, encouragée par une attitude plus ouverte à l'égard du comportement sexuel à la suite de changements législatifs et autres dans le domaine social et culturel.En 1989 et 1991, 25% des femmes en Italie centrale et méridionale utilisaient la pilule ou un DIU. Le pourcentage de femmes ne faisant appel à aucune méthode de contraception était cependant encore élvé (26% en 1989 et 19% en 1991) et le retrait était la méthode la plus fréquemment adoptée (31% et 33%). Les données font apparaître d'importantes différences régionales. D'après l'étude de 1989, les raisons essentielles du non emploi des contraceptifs provenaient de la crainte d'éventuels effects secondaires et de l'ignorance, surtout chez les juenes et les femmes plus âgées. Les femmes les moins susceptibles de faire appel à la contraception moderne étaient les jeunes, les femmes peu éduquées et les nullipares.Le manque d'information semble être le problème principal en Italie. En fait, les 5044 femmes interrogées ont fait preuve de connaissances moyennes sur la contraception, 63% à peine étant capables d'identifier correctement la période de fécondité du cycle menstruel. Leur attitude à l'égard de la contraception moderne était cependant positive; 65% des femmes interrogées ont répondu qu'elles recommanderaient la pilule on un DIU à une amine, et 10% qu'elles recommanderaient le préservatif.Les avortements provoqués sont encore fréquents en Italie (13 avortements signalés pour 1000 femmes de 15 à 44 ans), mais leur incidence a progressivement diminué dequis 1982. Dans la grande majorité des cas, l'avortement est une mesure d'urgence après l'échec des méthodes de contraception. On a calculé que 10 à 50% des avortements provoqués pourraient être évités en peu de temps si l'on prévoyait des programmes appropriés d'éducation sanitaire et de planning familial dans les 2474 cliniques maternelles et infantiles qui existent en Italie.


This paper is a revised version of one presented at the Workshop Acceptance and Effectiveness of Modern Contraception, organized by the International Health Foundation at the SAC Meeting, Barcelona, Spain, October 1992.  相似文献   

12.
The postpartum period is an ideal time to begin contraception, as women are more highly motivated to adopt contraception at this time and it is convenient for both patients and service providers. For intrauterine device (IUD) contraception, this period offers other advantages, such as ease of insertion and minimal adverse impacts on breastfeeding. Among early studies, most postpartum insertions were performed anywhere from a few hours to seven days or more after delivery, and retention of the IUD in the uterus was poor. Since the 1970s, immediate postplacental insertion (IPPI), i.e., IUD insertion performed within 10 minutes after placental delivery, has been advocated, and fairly low expulsion rates have been reported. Up to now, IPPI has not been widely accepted in clinics because its expulsion rate still appears to be higher than that of interval insertion. In order to further study IPPI and perfect this contraceptive technique, it is essential to comprehensively review IPPI results and compare the Chinese experience with that of the rest of the world.
Resumen El período de posparto es el momento ideal para iniciar el uso de anticonceptivos, no sólo porque las mujeres están en ese momento más motivadas a adoptar un método anticonceptivo sino también porque este período es más práctico para las pacientes mismas y para el personal que las atiende. En lo que respecta a la anticoncepción mediante el DIU, este período ofrece otras ventajas, tales como la inserción fácil y un mínimo de consecuencias desfavorables desde el punto de vista del amamantamiento. Entre los primeros estudios realizados, la mayoría de las inserciones durante el posparto se realizaban entre algunas horas y siete días o más después del parto y la retención del DIU en el útero era deficiente. A partir de los años 70 se recomendó la inserción del DIU inmediatamente después de la expulsión de la placenta (IPPI), es decir, en los 10 minutos siguientes, registrándose tasas de expulsión más bien bajas. Hasta ahora, este método no ha sido aceptado ampliamente en las clínicas porque las tasas de expulsión continúan pareciendo más altas que en el caso de la inserción después de un intervalo. A fin de continuar estudiando la IPPI y perfeccionar esta técnica anticonceptiva, es esencial examinar exhaustivamente los resultados de la IPPI y comparar la experiencia de China con la del resto del mundo.

Resumé La période de post-partum est le moment idéal pour commencer la contraception, non seulement parce que les femmes sont à ce moment plus motivées pour adopter une méthode contraceptive mais aussi parce que cette période est plus pratique pour les patientes elles-mêmes et pour le personnel soignant. En ce qui concerne la contraception par les DIU, cette période offre d'autres avantages, tels que leur facilité d'insertion et un minimum de conséquences défavorables du point de vue de l'allaitement maternal. D'après les premières études réalisées, la plupart des insertions au cours du post-partum étainet pratiquées entre quelques heures et sept jours ou plus après l'accouchement et la rétention du dispositif par l'utérus laissait à désirer. Depuis les années 70, on préconise l'insertion d'un DIU immédiatement après l'expulsion du placenta (IPPI), c'est-à-dire dans les 10 minutes qui suivent, et on a observé des taux d'expulsion bien plus faibles. Jusqu'ici, cette méthode n'a pas été largement acceptée dans les cliniques car le taux d'expulsion semble encore être plus élevé que dans le cas de l'insertion après un intervalle de temps. Il est essentiel, pour la poursuite de l'étude de la méthode IPPI et pour perfectionner cette technique contraceptive, d'en réexaminer en profondeur les résultats et de comparer l'expérience chinoise à celle du reste du monde.
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13.
Contraceptive choices are being reduced rather than being expanded in many parts of the world, particularly in Western countries. Although this paper presents an Australian perspective, the concerns are shared by family planners in other countries. The reasons for this are multiple and complex and often interrelated but ultimately depend on commercial considerations.The community expectation is that an ideal contraceptive can and does exist, but the media sensationalization of contraceptive problems has given many contraceptive methods a poor image.Contraceptive availability is also affected by liability issues, which have increased the cost of product liability insurance, and medical liability insurance of health professionals, increasing both the cost of contraceptives to the individual and the availability of services such as IUD insertions and sterilization, as practitioners withdraw their services, due to cost of insurance.The cost of marketing a new contraceptive from the time the idea is first developed until it is approved for marketing also deters manufacturers from developing new contraceptives. Delays in drug evaluation procedures in many countries deters companies with already well established contraceptives from marketing them in such countries.The effect of political stands by radical feminists or consumer groups also effect both the image and the availability of contraceptives, as can be seen with the saga of Depo-Provera, RU486 and intrauterine devices. Similarly, the moral perceptions of anti-abortion groups and health care providers is also a threat to fertility control services.Possible solutions to some of these problems are offered in the paper.
Resumen La elección de anticonceptivos se está reduciendo, en lugar de aumentar, en muchas partes del mundo, especialmente en los países occidentales. Si bien esta monografía presenta la perspectiva australiana, las preocupaciones son compartidas por los encargados de la planificación familiar en otros países, por motivos múltiples y complejos, frecuentemente interrelacionados pero que dependen, en última instancia, de consideraciones comerciales.La comunidad tiene la expectativa de que debe haber y existe un anticonceptivo ideal, pero el sensacionalismo con que los medios de difusión informan sobre los problemas de la anticoncepción ha perjudicado la reputación de un gran número de métodos anticonceptivos.La disponibilidad de anticonceptivos se ve igualmente afectada por cuestiones de responsabilidad, que han aumentado el costo del seguro de los productos, del seguro médico de los profesionales de la salud, incrementando tanto el costo de los anticonceptivos para el individuo como el de la disponibilidad de servicios, entre ellos los necesarios para la colocación de DIU y la esterilización, al retirar los médicos sus servicios debido al costo del seguro.El costo de la comercialización de un nuevo anticonceptivo, desde el momento en que se formula la idea hasta el momento en que es aprobado para la comercialización, también disuade a los fabricantes de desarrollar nuevos anticonceptivos. Las demoras en los procedimientos de evaluación de medicamentos en muchos países disuade a las compañías que ya producen anticonceptivos bien conocidos de comercializarlos en tales países.El efecto de las actitudes políticas de grupos radicales feministas o de grupos de consumidores también afecta tanto la imagen como la disponibilidad de anticonceptivos, como sucedió en el caso de las reacciones al Depo-Provera, al RU486 y a los dispositivos intrauterinos. Del mismo modo, las percepciones de orden moral de los grupos opuestos al aborto y de los servicios de atención médica constituyen asimismo una amenaza a los servicios de control de la fecundidad.La presente monografía ofrece posibles soluciones a algunos de estos problemas.

Resumé Dans de nombreuses parties du monde, notamment dans les pays occidentaux, le choix des contraceptifs se rétrécit plutôt qu'il n'augmente. Bien que cet exposé présente la perspective australienne, les préoccupations sont partagées par les responsables du planning familial dans d'autres pays, pour des raisons multiples et complexes et souvent liées les unes aux autres mais dépendant, en dernier ressort, de considérations commerciales.La communauté en général tient pour acquis qu'il doit y avoir et qu'il existe un contraceptif idéal, mais la manière sensationnelle dont les médias ont rapporté les problèmes de la contraception a nui à la réputation d'un grand nombre de méthodes contraceptives.La disponibilité des contraceptifs est également liée à des questions de responsabilité, qui ont augmenté le coût de l'assurance des produits, de l'assurance médicale des professionnels de la santé, augmentant du même coup le prix des contraceptifs pour l'individu et celui de la mise à disposition de services tels que ceux qui interviennent pour l'insertion des DIU et la sterilisation, les praticiens abandonnant ces services en raison des frais d'assurance.Le coût de la commercialisation d'un nouveau contraceptif, depuis le moment où l'idée est formulée jusqu'au moment où il est approuvé à des fins commerciales n'incite pas non plus les fabricants à mettre au point de nouveaux contraceptifs. La longueur des procédures d'évaluation des médicaments dans de nombreux pays empêche les sociétés qui produisent déjà des contraceptifs bien connus de les commercialiser dans ces pays.L'effet des attitudes politiques affichées par des groupes radicaux féministes ou des groupes de consommateurs se répercute aussi à la fois sur l'image et sur la disponibilité des contraceptifs, comme en ont témoigné les réactions au Depo-Provera, au RU486 et au dispositif intra-utérin. De même, les perceptions d'ordre moral des groupes opposés à l'avortement et des services de soins médicaux constituent une menace à l'encontre des services de régulation de la fécondité.Le présent exposé offre des solutions possibles à certains de ces problèmes.


This paper is based on a presentation given at the Seventh International Meeting of the Society for the Advancement of Contraception, which was held in Singapore on 4–11 November, 1990.  相似文献   

14.
The changes in the levels of individual phospholipids were studies in women during prolonged use of three types of steroidal contraceptive preparation: high-dose combined pills (Noriday 1+50 Fe); low-dose combined pills (Nominest Fe) and progestin-only injectables (Depo-Provera). Women on high-dose combined pills had significantly higher (p<0.05) mean lysophosphatidylcholine (LPC), sphingomyelin (SPH), phosphatidylserine (PS) and phosphatidylethanolamine (PE) levels, respectively, than the women on low-dose combined pills, progestin-only injectables and the controls, respectively. Women on low-dose combined pills had significantly lower (p<0.01) mean LPC and PS levels, respectively, than the controls, while women on progestin-only injectables had significantly lower (p<0.01) mean PS and PE levels, respectively, than the controls. Based on the reported high activities of PS and PE in hemostasis, the PE/total plasma phospholipids, PS/total plasma phospholipids and the sum of PE and PS/total plasma phospholipids ratios were calculated to assess the possible overall effect of the changes in plasma phospholipids in steroidal contraceptive users. The results obtained using these indices agree with some earlier reports of an estrogen dose-dependent risk/incidence of thrombosis in steroidal contraceptive users. It is concluded that the observed dose-dependent estrogen-induced alterations in phospolipids, and, most especially, the PE and PS fractions may bear a relationship with thrombotic conditions.
Resumen Se estudiaron, en mujeres que utilizaban desde hace tiempo tres clases de anticonceptivos de tipo esteroide, las modificaciones ocurridas en las cantidades de determinados fosfolípidos. Estos productos son: las píldoras combinadas de dosis altas (Noriday 1+50 Fe), las píldoras combinadas de dosis bajas (Nominest .Fe) y la progesterona sola inyectable (Depo-Provera). Las mujeres que utilizaban píldoras combinadas de dosis altas registraron valores significativamente más altos (p<0,05) de lisofosfatidilcolina (LPC), esfingomielina (SPH), fosfatidilserina (PS) y fosfatidiletanolamina (PE) que los controles y que las mujeres que utilizaban las píldoras combinadas de dosis bajas o la progesterona sola inyectable. Las mujeres que utilizaban las píldoras combinadas de dosis bajas tenían respectivamente niveles medios de LPC y PS significativamente más bajos (p<0,01) que los controles, mientras que aquéllas que utilizaban la progesterona sola inyectable tenían niveles de PS y PE significativamente inferiores (p<0,01) que los controles. A fin de evaluar el efecto global posible de los cambios en los fosfolípidos plasmáticos en las usuarias de anticonceptivos de tipo esteroide, se calcularon, teniendo en cuenta la actividad importante ya conocida de los PS y PE en la hemostasia, las proporciones siguientes: PE/fosfolípidos plasmáticos totales, PS/fosfolípidos plasmáticos totales y la suma de los PE y PS/fosfolípidos plasmáticos. Los resultados obtenidos utilizando estos índices confirman ciertos informes anteriores que indicaban que el riesgo y la incidencia de trombosis en las usuarias de anticonceptivos de tipo esteroide dependería de la dosis de estrógeno. El artículo llegó a la conclusión de que tal vez haya una relación entre las alteraciones provocadas por la dosis de estrógeno, tales como las observadas en los fosfolípidos, y las trombopatías, en particular en lo que se refiere a las fracciones PE y PS.

Resumé On a étudié, chez des femmes utilisant depuis longtemps trois types de contraceptifs stéroïdiens, les modifications survenues dans les quantités de phospholipides particuliers. Ces produits: les pillules combinées à fortes doses (Noriday 1+50 Fe), les pillules combinées à faibles doses (Nominest.Fe) et de la progestone seule injectable (Depo-Provera). Les femmes utilisant des préparations fortement dosées ont respectivement donné des valeurs significativement plus élevées (p<0,05) de lysophosphatidylcholine (LPC), sphingomyéline (SPH), phosphatidylsérine (PS) et phosphatidyléthanolamine (PE) que les témoins et que les femmes utilisant les pillules combinées à faible dosage ou la progestérone seule en injection. Les femmes utilisant les pillules combinées à faible dosage avaient respectivement des niveaux moyens de LPC et PS significativement plus bas (p<0,01) que les témoins, tandis que celles qui utilisaient la progestérone injectable seule avaient des niveaux de PS et PE significativement plus faibles (p<0,01) que les témoins. Pour évaluer le résultat global possible des changements dans les phospholipides plasmatiques chez les utilisatrices de contraceptifs stéroïdiens, on a calculé, compte tenu de l'importante activité déjà connue des PS et PE dans l'hémostase, les rapports suivants: PE/phospholipides plasmatiques totaux, PS/phospholipides plasmatiques totaux et somme des PE et PS/phospholipides plasmatiques. Les résultats obtenus en utilisant ces indices confirment certains rapports antérieurs indiquant que le risque et l'incidence de la thrombose chez les utilisatrices de contraceptifs stéroïdiens dépendraient de la dose d'oestrogène, telles qu'observées sur les phospholipides, et les thrombopathies, tout particulièrement pour ce qui concerne les fractions PE et PS.
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15.
This study assesses potential demand for NorplantR implants using data from a population-based survey conducted in rural Sri Lanka. Overall, 35% of currently married non-sterilized women of childbearing age expressed interest in using the implants, 52% did not want to use the method, and 13% were unsure about using it. The demand was substantially higher (44% vs 28%) among younger age groups (<30 years) than among older age groups (30–44). The results showed that life-cycle variables (age, parity and marital duration) and fertility preference variables (desire for another child and desired birth-interval) were generally more important than socioeconomic variables in determining variations in potential demand for Norplant in Sri Lanka. Desired birth spacing was found to be a powerful indicator of the potential demand. The majority (85%) of respondents interested in using Norplant were also willing to absorb at least some of the cost of the implants. Among older age groups, those who were using modern temporary methods of contraception either exclusively or in combination with traditional methods had a higher demand for Norplant than non-users or exclusive users of traditional methods. For the younger women, however, potential demand did not vary significantly according to whether they were currently using a method or the type of method used.
Resumen En este estudio se evalúa la demanda potencial de implantes Norplant según datos recopilados de una encuesta demográfica del área rural de Sri Lanka. En general, el 35% de las mujeres casadas no esterilizadas y en edad de procrear manifestaron interés en utilizar implantes, el 52% no deseaba utilizar este método y el 13% sentía dudas respecto de su utilización. La demanda era considerablemente mayor (44% en comparación con 28%) entre las más jóvenes (<30 años) que en el grupo de mujeres de más edad (30 a 44 años). Los resultados indicaron que las variables de condiciones de vida (edad, número de hijos y duración del matrimonio) y las variables de preferencias en materia de fecundidad (deseo de tener otro hijo y deseo de un intervalo determinado entre nacimientos) eran por lo general más importantes que las variables socioeconómicas en la determinación de las variaciones relativas a la demanda potencial de Norplant en Sri Lanka. Se observó que el deseo de espaciar los nacimientos era un fuerte indicador de la demanda potencial. La mayoría de las mujeres (85%) interesadas en utilizar implantes Norplant también estaban dispuestas a absorber al menos una parte de los costos. En el grupo de mujeres de más edad, la demanda era más alta entre las que utilizaban temporalmente métodos anticonceptivos modernos, ya fuera exclusivamente o en combinación con otros métodos clásicos, que entre las que no practicaban la anticoncepción o bien recurrían a métodos tradicionales. Sin embargo, entre las más jóvenes, la demanda potencial no variaba significativamente según si utilizaban en ese momento algún método o el tipo de método utilizado.

Resumé L'étude présentée cherche à déterminer la demande potentielle pour les implants Norplant d'après les données recueillies lors d'une enquête auprès de la population rurale au Sri Lanka. Dans l'ensemble, 35% des femmes mariées non privées de leur possibilité de procréer ont exprimé de l'intérêt en faveur de l'utilisation des implants, 52% ne voulaient pas appliquer cette méthode et 13% hésitaient à l'employer. La demande était considérablement plus élevée (44% contre 28%) chez les plus jeunes (<30 ans) que dans le groupe de femmes plus âgées (30 à 44 ans). Les résultats ont montré que la demande potentielle pour les Norplant au Sri Lanka dépendait en général plus de variables relatives aux conditions de via (âge, nombre e'enfants et durée de mariage) et de variables dans les préférences en matière de fécondité (désir d'avoir un autre enfant et désir de prévoir un intervalle entre les naissances) que des variables socio-économiques. On a constaté que le désir d'espacer les naissances était un indicateur puissant de la demande potentielle. La majorité des femmes (85%) ayant répondu que l'utilisation des Norplant les intéressait étaient également disposée à en absorber au moins une partie des coûts. Dans le groupe des femmes plus âgées, la demande était plus élevée chez celles qui utilisaient temporairement des méthodes de contraception modernes, soit exclusivement soit en combinaison avec d'autres méthodes classiques, que chez celles qui ne pratiquaient pas de contraception ou faisaient appel à des méthodes traditionnelles. Chez les plus jeunes, par contre, la demande ne variait pas de façon significative selon qu'elles utilisaient à l'époque une méthode quelconque, ni selon le type de méthode employé,
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16.
This study investigates family planning activity in 308 Nigerian women attending an antenatal clinic. Family planning awareness was present in 234 women (76%) and practice occurred in 168 (54.5%). Proposal to practice family planning occurred in 66 of 137 women who had never used contraception while 69 (22.4%) had no intention to practice family planning.The best-known type of contraception was the condom, 182 women (59.1%); the most commonly used, the safe period (rhythm), 73 women (23.7%); while Billings' contraception was the most commonly proposed type, 72 women (23.4%).Knowledge of the beneficial effects of the chosen method of contraception was claimed by 102 women (43.6%) while 33 (14.2%) conceded ignorance of this. Similarly, 81 women (34.6%) claimed to know the adverse effects of their chosen method of contraception, while 119 (50.9%) admitted ignorance of it.The most common source of information on contraception was the printed media, 112 (47.9%), while the least common was lecture/sex instruction, 27 (11.5%).Lack of adequate information and ignorance are key factors militating against family planning practice in Nigeria. Family planning activity in Nigeria would be improved by wider dissemination of information on family planning through public lectures and the electronic media; training of family planning counselors to facilitate grass-roots coverage; universal entrenchment of family planning counseling into routine antenatal clinic activities; and integration of private medical centers into the national family planning service.
Resumen Este estudio investiga la actividad de planificación familiar entre 308 nigerianas que concurrieron a una clinica prenatal. Se observó conocimiento de la planificación familiar en 234 mujeres (76%) y su práctica en 168 (54,5%). La intención de recurrir a la planificación familiar se registró en 66 de 137 mujeres que nunca habian recurrido a anticonceptivos y 69 (22,4%) manifestaron no tener intención alguna de practicar la planificación familiar. El tipo de anticonceptivo conocido más comúnmente era el preservativo (182 mujeres (59,1%); el utilizado más comúnmente, el método del ritmo (73 mujeres (23,7%)) y el método anticonceptivo de Billings, el tipo propuesto más comúnmente (72 mjueres (23,4%)).Hubo 102 mujeres (43,6%) que dijeron conocer el efecto benéfico del método anticonceptivo elegido y 33 (14,2%) manifestaron no saber nada el respecto. Del mismo modo, 81 mujeres (34,6%) dijeron conocer los efectos adversos del método anticonceptivo que habian elegido y 119 (50,9%) manifestaron no conocerlos.La fuente más común de información sobre anticonceptivos fue el material impreso, (112 mujeres (47,9%)), y la menos común fueron las conferencias/instrucciones sobre relaciones sexuales (27 mujeres (11,5%)).La falta de información adecuada y la ignorancia son los principales factores que militan en contra de la práctica de la planificación familiar en Nigeria. La actividad de planificación familiar en Nigeria se veria mejorada en general por una mayor difusión de información sobre la planificación familiar a través de conferencias públicas y los medios de difusión electrónicos; la capacitación de asesores de planificación familiar en las actividades habituales de las clinicas prenatales, y la integración de centros médicos privados en el servicio nacional de planificación familiar.

Resumé La présent étude porte sur les activités de planning familial de 308 femmes nigérianes fréquentant une clinique de consultation prénatale. Deux-cent-trente-quatre (76%) femmes savaient que le planning familial existait et 168 (54,5%) le pratiquaient. Le planning familial a été proposé à 66 sur 137 qui n'avaient jamais fait appel à la contraception, et 69 (22,4%) ont déclaré n'avoir aucune intention d'y recourir. L'usage des préservatifs était la méthode de contraception la mieux connue, par 182 femmes (59,1%); la méthode la plus utilisée était celle de la période de fécondité (des rythmes), par 73 femmes (23,7%); tandis que la méthode de contraception de Billing était le type le plus souvent envisagé, par 72 femmes (23,4%).Cent deux femmes (43,6%) se sont dites au courant des effets favorables de la méthode de contraception choisie, tandis que 33 (14,2%) ont reconnu les ignorer. Par ailleurs, 81 femmes (34,6%) ont affirmé connaïtre les effets contraires de la méthode de contraception qu'elles avaient adoptée, tandis que 119 (50,9%) ont admis leur ignorance.La presse écrite avait été la principale source d'information sur la contraception pour 112 femmes (47,9%), et les conférences ou l'éducation sexuelle avaient été les moins fréquentes (27 femmes, soit 11,5%).Le manque d'information adéquate et l'ignorance sont les principaux obstacles auxquels se heurte le planning familial au Nigéria. L'activité générale du planning familial dans ce pays serait considérablement améliorée par une plus large diffusion de l'information à ce sujet, au moyen de conférences et par des médias électroniques, par la formation de conseillers en la matière, qui faciliteraient l'élargissement des connaissances au niveau de la population, par l'implantation universelle des conseils en matière de planning familial dans les activités normales des cliniques de consultation prénatale, et par l'intégration de centres médicaux privés dans le service national de planning familial.
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17.
Carbohydrate metabolism was prospectively studied in 28 women using triphasic oral contraceptives (TOC) for two years. They were tested using a 100-gram oral glucose tolerance test with measurements of plasma glucose and insulin levels during the three-hour test. The women were randomly assigned to either a norethindrone-containing TOC or a levonorgestrel-containing TOC. Both types of drugs contained the estrogen ethinyl estradiol. No significant changes were noted in the norethindrone TOC group. The levonorgestrel TOC two-year test had a significant elevation of the 0.5- and 2-hour plasma glucose values and the fasting insulin value. These data show that the two triphasic oral contraceptive preparations affect carbohydrate metabolism differently.
Resumen Se realizó un estudio del metabolismo de los glúcidos durante 2 años con 28 mujeres que utilizaban anticonceptivos orales trifásicos (AOT). A tal efecto, se utilizó el test de tolerancia a 100 gramos de glucosa administrada por vía oral a fin de medir la glucosa plasmática y los niveles de insulina durante una prueba de tres horas. Se entregaron a estas mujeres al azar AOT que contenían noretindrona o bien levonorgestrel. Los dos tipos de producto contenían noretindrona o bien levonorgestrel. Los dos tipos de producto contenían el estrógeno etinil-estradiol. No se verificó ningún cambio significativo en el grupo que utilizaba el AOT con noretindrona. En cuanto a los tests efectuados durante dos años en el grupo que utilizaba el AOT con levonorgestrel, se observó un aumento significativo de los valores plasmáticos de la glucosa a las 0.5 y 2 horas así como del nivel de insulina en ayunas. Estos resultados demuestran que estas dos fórmulas de anticonceptivos trifásicos orales afectan en forma diferente el metabolismo de los glúcidos.

Resumé Une étude du métabolisme des glucides a été conduite pendant 2 ans avec 28 femmes qui utillsaient les contraceptifs oraux triphasiques (COT). A cet effet, on a employé le test de tolérance à 100 grammes de glucose administré par voie orale pour mesurer le glucose plasmatique et les niveaux d'insuline durant une épreuve de trois heures. On a distribué au hasard à ces femmes des COT contenant soit de la noréthindrone soit du lévonorgestrel. Ces deux types de produits contenaient l'oestrogène éthinyl-oestradiol. Aucun changement significatif n'a été constaté dans le groupe utilisant le COT à la noréthindrone. Quant aux tests effectués pendant deux ans sur le groupe utilisant le COT au lévonorgestrel, ils ont mis en évidence une élévation significative des valeurs plasmatiques du glucose à 0,5 et 2 heures et de la teneur en insuline à jeun. Ces résultats montrent que ces deux formules de contraceptifs triphasiques oraux atteignent différemment le métabolisme des glucides.
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18.
This report analyzes various aspects of contraception in Spain. One notable finding is the wide socioeconomic, cultural and health variation among regions.Since 1975 a significant drop in the birth rate has been observed overall. Twenty per cent of the women studied at risk of pregnancy are using oral contraceptives. The most widespread contraceptive method is stillcoitus interruptus, followed by oral contraception and the condom, as well as the rhythm method. The highest use of oral contraceptive and IUDs is seen in Catalonia (20% and 26% respectively) followed by Andalusia, Madrid and Valencia.Although contraception has only recently become legal in Spain, it is widely available either without charge or very inexpensively; all methods including abortion are available.At present, priority is given to special interest groups such as women in special circumstances, teenagers, etc. and to special programs like Integrated Care for Women which includes contraception, STD, pregnancy monitoring, early diagnosis of gynaecologic cancer and menopause.
Resumen En este informe se analizan diversos aspectos des uso de anticonceptivos en España. Un resultado notable es la gran variación socioeconómica, cultural y sanitaria entre las distintas regiones.Desde 1975 se ha observado un gran disminución de la tasa de natalidad en general. El 20% de la mujeres estudiadas corren el riesgo de quedar embarazadas utilizando anticonceptivos orales. El método anticonceptivo màs difundido continúa siendo el del coito interrumpido, seguido de los anticonceptivos orales y el preservativo, al igual que el método del ritmo. El mayor uso de anticonceptivos orales y de DIU se observa en Cataluña (20% y 26%, respectivamente) seguida de Andalucía, Madrid y Valencia.Si bien el uso de anticonceptivos es legal en España desde hace poco tiempo, se hallan ampliamente disponibles en forma gratuita o bien muy económica; se dispone de todos los métodos, incluso el aborto.Actualmente se da prioridad a grupos de intereses especiales, tales como mujeres en circunstancias especiales, adolescentes, etcétera y a programas especiales como el de Atención Integral de la Mjuer, que comprende anticonceptivos, enfermedades transmitidas por contacto sexual, monitorización del embarazo, diagnóstico precoz del càncer ginecológico y menopausia.

Resumé Le présent article analyse les différents aspects de la contraception en Espagne. Une constatation notable a été faite, â savoir qu'il existe de larges variations socio-économiques, culturelles et sanitaires entre les différentes régions.Depuis 1975, on a observé dans l'ensemble un déclin significatif du taux de naissances. Vingt pour cent des femmes comprises dans l'étude risquant une grossesse utilisaient les contraceptifs oraux. La méthode contraceptive la plus fréquente est encore le coït interrompu, suivie de la contraception orale et du condom, ainsi que la méthode des rythmes. La contraception orale et les DIU sont les méthodes les plus utilisées en Catalogne (respectivement 20% et 26%), puis viennent l'Andalousie, Madrid et Valencia.Bien que la contraception n'ait été légalisée que récemment en Espagne, elle est largement accessible, soit gratuitement soit â des prix très modestes; toutes les méthodes sont disponibles, y compris l'interruption de grossesse.Actuellement, la priorité est accordée â des groupes particuliers, par exemple â des femmes dans des circonstances spéciales, des adolescentes, etc. et â des programmes spéciaux tels que les Services de santé intégrés pour les femmes', qui portent sur la contraception, les MST, le suivi de la grossesse, le dépistage de cancers gynécologiques et la ménopause.
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19.
The knowledge and use of oral contraception were investigated in 498 students from 5 tertiary institutions in south-eastern Nigeria. Awareness of the pill was high (92.2%) but usage was comparatively low (17.5%). Post-coital oral contraception was more often used (11.5%) than the other types.Perceptions about the risks of the pill were variable: 46.4% of the students believed that it could damage the uterus, and 41% said it could cause infertility; 31.7% believed that it caused amenorrhea, while only 14.9% of the students admitted ignorance of the risks of the pill.There was a lack of desire to use the pill in 72.3% of the respondents. Only 18.7% desired to do so, including students already using the pill.The most common source of information on contraception was peer groups (43.6%), while lectures and sex instructions constituted the least common source (11.2%). Poor information on the pill and ignorance were identified as the major factors militating against pill usage. Accordingly, the role of early and adequate sex and contraceptive education in improving pill usage in this population and developing countries in general is highlighted.
Resumen Se realizó un estudio entre 498 estudiantes de 5 institutos de nivel terciario del sudeste de Nigeria a fin de examinar el conocimiento y uso de anticonceptivos orales. Estas estudiantes conocían en general (92,2%) la píldora pero la usaban relativamente poco (17,5%). El anticonceptivo oral poscoito era más frecuentemente utilizado (11,5%) que los otros tipos.Los riesgos de la píldora eran advertidos de modo variable: el 46,4% de las estudiantes pensaba que dañba el útero y el 41% dijo que podía provocar esterilidad; el 31,7% consideraba que causaba amenorrea y el 14,9% reconoció que desconocía los riesgos relacionados con la píldora. Se verificó que el 72,3% de las personas entrevistadas no deseaba utilizar la píldora. Sólo el 18,7% deseaba hacerlo, porcentaje que incluía a estudiantes que ya la utilizaban.La fuente más común de información acerca de los anticonceptivos eran los grupos de compañeras (43,6%), mientras que las conferencias y la educación sexual constituían la fuente menos común (11,2%). La falta de información y la ausencia de conocimientos relativos a la píldora se identificaron como las principales razones contra el uso de la misma. En consecuencia, se destaca la función de la educación sexual, temprana y adecuada, sobre anticonceptivos para mejorar la utilización de la píldora en esta población y en los países en desarrollo en general.

Resumé Une enquête a été menée auprès de 498 étudiantes de 5 établissements du troisième niveau dans le sud-est du Nigéria en vue de faire le point sur les connaissances et l'utilisation des contraceptifs oraux. Ces étudiantes étaient généralement (soit 92,2%) au courant de la pilule mais l'utilisaient relativement peu (17,5%). La contraception orale post-coïtale était plus fréquemment employée (11,5%) que les autres méthodes.Les risques que présente la pilule étaient perçus de façon variable: 46,4% des étudiantes pensaient qu'elle endommageait l'utérus et 41% ont affirmé qu'elle compromettait la fertilité; 31,7% croyaient qu'elle provoquait une aménorrhée, alors que 14,9% ont admis qu'elles ignoraient les risques liés à la pilule.On a constaté que 72,3% des personnes interrogées ne voulaient pas utiliser la pilule. 18,7% à peine étaient disposées à la prendre, y compris celles qui l'avaient déjà adoptée. Des renseignements sur la contraception étaient le plus souvent recherchés auprès de groupes de camarades (43,6%), tandis que les cours et l'éducation sexuelle étaient la source d'information la moins courante (11,2%). Le manque d'information et l'absence de connaissances au sujet de la pilule ont été identifiés comme étant les principales raisons qui jouent contre l'utilisation de la pilule. Par conséquent, le présent exposé met l'accent sur le rôle de l'éducation sexuelle et de l'enseignement en matière de contraception, dispensés tôt et de manière satisfaisante, si l'ont veut améliorer l'utilisation de la pilule au sein de cette population et généralement dans les pays en développement.
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20.
Metabolic parameters were studied in 30 patients over 12 treatment cycles in a double-blind randomized comparative trial of the new progestogen gestoden in a triphasic formulation against a fixed dose combination pill containing desogrestrel, in Bandung, Indonesia. The results of this laboratory experience affirm findings in similar previous metabolic studies that: (1) the changes induced by modern low-dose pills are clinically and statistically insignificant; (2) throughout the treatment cycles, the values of the various laboratory tests remain well within the normal range; and (3) the favorable balance between coagulation and fibrinolysis is maintained.Results of lipoprotein, coagulation, fibrinolytic and liver function tests in 27 patients are presented. Gestoden's pharmacologic profile, and the worldwide clinical experience with the triphasic gestoden formulation in 4285 women are discussed.
Resumen En Bandung, Indonesia, se realizó un estudio de los parámetros metabólicos de treinta pacientes durante 12 ciclos de tratamiento, en un ensayo al azar doble ciego. Este estudio comparaba un nuevo progestógeno, gestoden, de fórmula trifásica, con una píddora combinada de dosis fija que contenía desogestrel. Los resultados de esta experiencia de laboratorio confirman las constataciones hechas anteriormente en estudios metabólicos similares, a saber, que: 1) los cambios aportados por las píldoras modernas de dosis baja no son significativos desde el punto de vista clínico y estadístico; 2) durante los ciclos de tratamiento, los valores de las diversas pruebas de laboratorio permanecen esencialmente dentro de los límites normales; 3) el equilibro entre la coagulación y la fibrinólisis se mantiene de modo favorable.Este estudio presenta los resultados de las pruebas, entre 27 pacientes, de lipoprotreína, coagulación, fibrinólisis y función hepática. Examina asimismo el perfil farmacológico del gestoden así como la experiencia clínica mundial de la fórmula trifásica del gestoden en 4.285 mujeres.

Resumé A Bandung en Indonésie, on a procédé à une étude des paramètres métaboliques chez trente patientes pendant 12 cycles de traitement dans le cadre d'un essai randomisé en double-aveugle. Cette étude comparait un nouveau protestogène, le gestoden, de formule triphasique, à une pillule comportant un mélange fixe contenant du désogestrel. Les résultats de cette expérience en laboratoire confirment les constatations faites précédemment lors d'études métaboliques similaires, à savoir que: (1) les changements apportés par les pillules modernes minidoses ne sont pas significatifs des points de vue clinique et statistique: (2) pendant les cycles de traitement, les valeurs des divers tests en laboratoire restent bien dans les limites normales; et (3) l'équilibre entre coagulation et fibrinolyse est maintenu de façon favorable.Cette étude présente les résultats des tests, chez 27 patientes, de lipoprotéine, de coagulation, de fibrinolyse et de la fonction hépatique. Elle examine également le profil pharmacologique du gestoden ainsi que l'expérience clinique sur le plan mondial de la formule triphasique du gestoden sur 4285 femmes.
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